Dans la Rome Antique, les femmes n'avaient pas de prénom original. Leur prénom était celui de leur père féminisé. Par exemple, la fille de Marcus Vispanius Agrippa s'appelait Agrippina. S'il y avait une autre fille, alors on rajoutait une caractéristique : Agrippina l'ainée, Agrippina la jeune.
De plus, les femmes étaient considérées comme la propriété de leur père (via le pater familias), puis propriété de leur mari. Si le mari venait à mourir, elles appartenaient de nouveau à leur père ou frère. Toutefois, si la femme veuve ou divorcée choisissait de rester seule, alors elle avait les mêmes droits qu'un homme libre.
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Anecdote déjà postée le 4 décembre 2013.
Mais bon ca fait pas de mal une petite piqûre de rappel :)
Ce n'est pas exact. Le prénom des femmes romaines n'était pas la féminisation du prénom de leur mari comme l'anecdote le suggère mais de leur nomen, l'équivalent de notre nom de famille.
Les hommes portent un praenomen, prénom individuel (même s'il n'existe qu'une douzaine de prénoms répandus), et un nomen, nom de la gens à laquelle ils appartiennent. Les membres des plus grandes familles portent également un cognomen, surnom évoquant souvent une particularité physique ou un trait de caractère.
Ainsi, la fille de Cicéron, dont le nom complet est Marcus Tullius Cicero, s'appelle Tullia ; celle de César s'appelle Julia.
J'ai cru qu'à terme, elles appartiendraient au chat ou au chien du cousin...
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Anecdote déjà postée le 4 décembre 2013.
Mais bon ca fait pas de mal une petite piqûre de rappel :)
Ce n'est pas exact. Le prénom des femmes romaines n'était pas la féminisation du prénom de leur mari comme l'anecdote le suggère mais de leur nomen, l'équivalent de notre nom de famille.
Les hommes portent un praenomen, prénom individuel (même s'il n'existe qu'une douzaine de prénoms répandus), et un nomen, nom de la gens à laquelle ils appartiennent. Les membres des plus grandes familles portent également un cognomen, surnom évoquant souvent une particularité physique ou un trait de caractère.
Ainsi, la fille de Cicéron, dont le nom complet est Marcus Tullius Cicero, s'appelle Tullia ; celle de César s'appelle Julia.
J'ai cru qu'à terme, elles appartiendraient au chat ou au chien du cousin...
Merci Rome Total War et la série Rome ;)
L'anecdote dit que le prénom du père est féminisé pour le donner à sa fille mais c'est faux. Ce sont les nomen et/pu praenomen qui le sont !
En somme, L'anecdote est en parti fausse..
Quelquefois, comme dans le cas d'Aggripine, c'est le cognomen qui est féminisé pour servir de prénom.
(Ajout à mon précédent commentaire que je ne peux pas éditer..,)
Haaaa ! Voila qui explique le prénom le prénom Bernadette !
Et ca s appelle Rome antique ?
Ce n'était pas dû uniquement au fait qu'on n'accordait pas d'importance aux femmes mais aussi au fait qu'on n'accordait pas d'importance aux prénoms en général, même pour les hommes. Il y avait très peu de prénoms usuels et donc le choix était limité et après quelques enfants les parents ne se creusaient plus la tête pour choisir un prénom si bien que le 5e s'appelait Quintus, le sixième Sextus, etc.
C'est pourtant si simple mais j'avais jamais remarqué !!
J'ai pas envie de lancer de débat mais c'est encore le cas dans certains pays arabes musulman (arabie saoudite), c'est juste pour montré que certains vivent comme dans le passé et c'est regrettable
Ton commentaire aurait dû être:
"C'est encore le cas dans certain pays."
ET C'EST TOUT.
Car c'est toujours comme ça (ici on parle bien de la femme comme citoyen de second classe) dans pas mal de pays d'Afrique centrale (chrétiens à très grande majorité), en asie du sud est ou même en europe avec la Biélorussie où les femmes ont moins de droit que les hommes.
Du coup la personne qui vit dans le passé avec ce genre de vision c'est toi.
Edit : tu n'as pas besoin d'être agressif mon commentaire ne l'était pas et je n'est pas été insultant non plus
Donc oui ton commentaire est faux car ici ce n'est pas un simple manque de précision.
Et je ne pense pas que mon précédent commentaire soit agressif, c'est ton préjugé qui est agressif ici.
Ce qui, à Rome, permettait principalement de distinguer une personne, c'est son nomen (le nom de famille) et son cognomen (le surnom) tiré d'une caractéristique physique (Cicero qui a une verrue, Claudius qui boite,...), du lieu des batailles on on s'est illustré (Africanus, Germanicus,...), d'une qualité (Augustus, Justus,...), ou d'une anecdote personnelle (Caligula, Caesar,...). Le praenomen était peu significatif, parce qu'il y en avait peu de différents (Marcus, Caius,...) et que le choix était vite épuisé. Quand on avait plus de trois ou quatre enfants et qu'on avait épuisé la liste des prénoms disponibles, on se contentait généralement de leur donner comme praenomen le numéro d'ordre de leur naissance (Quintus, Sextus, Septimus, Octavus,...).