Dans la Rome Antique, les femmes n'avaient pas de prénom original. Leur prénom était celui de leur père féminisé. Par exemple, la fille de Marcus Vispanius Agrippa s'appelait Agrippina. S'il y avait une autre fille, alors on rajoutait une caractéristique : Agrippina l'ainée, Agrippina la jeune.
De plus, les femmes étaient considérées comme la propriété de leur père (via le pater familias), puis propriété de leur mari. Si le mari venait à mourir, elles appartenaient de nouveau à leur père ou frère. Toutefois, si la femme veuve ou divorcée choisissait de rester seule, alors elle avait les mêmes droits qu'un homme libre.
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Merci à gthegrey pour les précisions aussi !
Je m'immisce vite fait dans le débat H.Bekir/hoope/QuoVade et autres, je comprends que chacun d'entre vous veuille défendre son steak (pointer du doigt ou défendre à tout prix) et je ne prétends pas tout savoir mais il est quand même de notoriété que dans certains pays (sans faire cas de la religion ou du régime politique) l'égalité homme-femme n'est pas présente ou alors, inscrite aux lois "pour faire plaisir".
L'exemple d'H.Bekir (arabie saoudite) est bon sur certains points, on aurait pu citer d'autres pays certainement et pas forcément musulman ou à majorité musulmane (bolivie il me semble).
Enfin je rejoint l'avis d'Artemus, il ne sert à rien de "secouer" quelqu'un qui n'a pas le même opinion, on peut tacler gentiment mais il faut argumenter aussi derrière sinon c'est inutile...
Je suis le seul à trouver que le titre de l'anecdote ne veut rien dire ? Que signifie « les prénoms étaient balisés » ?