Dans la Rome Antique, les femmes n'avaient pas de prénom original. Leur prénom était celui de leur père féminisé. Par exemple, la fille de Marcus Vispanius Agrippa s'appelait Agrippina. S'il y avait une autre fille, alors on rajoutait une caractéristique : Agrippina l'ainée, Agrippina la jeune.
De plus, les femmes étaient considérées comme la propriété de leur père (via le pater familias), puis propriété de leur mari. Si le mari venait à mourir, elles appartenaient de nouveau à leur père ou frère. Toutefois, si la femme veuve ou divorcée choisissait de rester seule, alors elle avait les mêmes droits qu'un homme libre.
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"Numéro 4, à table..."
Un conseil mon ami : éteint ta télé et allume ton cerveau.
Donc à cette époque, les femmes pouvaient divorcer et être considérée comme des hommes libres.
Elles n'étaient pas SI mal lotie que ça. À la renaissance, elles n'étaient pas "possédée" mais avaient finalement moins de droit.
Et je me méfie toujours un peu de ce qu'on dit de ces époques dont on ne sait que les textes de lois, et dont on ne connaît absolument rien des pratiques réelles.
Est-ce qu'être "propriété" du père signifie la même chose qu'aujourd'hui ?
Je rappelle que la notion même de propriété privé, qui nous semble si naturelle, date à peine du milieux du XVIIIème.
Est-ce que dire "j'ai une fille" ou "j'ai un fils", voir j'ai 10 employés, n'est pas assimilable à une "propriété" ?
On parle bien d'avoir.
"Homme libre" signifiait avoir le droit de vote il me semble. Ça aussi c'est un statut qui n'à pas vraiment le même sens que aujourd'hui.
Les romains ne payaient pas d'impôts à l'époque. Seuls les soumis en payait un. Je ne suis pas sûr qu'aucun de nous ne serait considéré comme un "homme libre" pour les romains.
Plutôt que de parler de "propriété" qui ne veux pas dire grand chose, j'aurais préféré avoir plus d'information sur les droits réels, qui parlent déjà un peu plus.
Or visiblement, question droit, elles avaient le droit de divorcer et étaient considérée comme des hommes libres.
Bref, je me pose des question sur la réalité de la situation.
Soit ce qu'il dit est vrai, soit ce qu'il dit est faux. Dans le premier cas il n'a pas à se censurer au prétexte que cette vérité vous déplaît; dans le second, vous feriez mieux de lui expliquer en quoi il se trompe, plutôt que de l'insulter bêtement.
Donc c'est le cas dans tout les pays où l'islam est la religion majoritaire ? Vraiment ??
- Turquie 98.6% de musulman, la femme est l'égale de l'homme en droit
- Azerbaïdjan 98.4% de musulman, la femme est l'égale de l'homme en droit
- Indonésie 87.4% de musulman, la femme est l'égale de l'homme en droit
- Albanie 82.1% de musulman, la femme est l'égale de l'homme en droit
- Liban 54% de musulman, la femme est l'égale de l'homme en droit
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Etc etc etc.
Donc tu auras compris, ton commentaire est tout aussi faux que celui que tu défends
Et ce n'est pas une question de censure mais de se demander si le commentaire n'est pas là pour pousser un mépris d'une certaine partie de la population qui se fait à la mode de plus en plus.
Et je n'ai pas cru devoir préciser que César ne s'appelait pas Jules, à part dans Astérix... Il s'appelait Gaius, ou Caius, de la gens Julii.
Pas très romantique tout de même...
Mais peu importe, ce n'est pas parce que le message déplaît que les insultes sont justifiées.
On n'a jamais fait changer quelqu'un d'avis en l'insultant.
Il pourrait aussi faire allusion à la calvitie répandue chez les hommes de la famille. D'ailleurs, l'une des anecdotes les plus amusantes racontées par Suétone est à peu près celle-ci : "Mais, de tous les honneurs que le Sénat lui accorda, il n'en reçut aucun avec plus de plaisir que le droit de porter en permanence une couronne de laurier", qui dissimulait la calvitie qu'il traitait déjà, auparavant, à la Giscard (longues mèches rabattues vers l'avant du crâne)...