Gallimard n'a pas toujours eu le nez creux

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La célèbre maison d'édition Gallimard a refusé d'éditer au cours de son existence plusieurs grands écrivains français ou romans célèbres, comme "Du côté de chez Swann" de Marcel Proust, "Voyage au bout de la nuit" de Louis-Ferdinand Céline ou "Autant en emporte le vent de Margaret Mitchell. Ces loupés furent rattrapés par la suite en intégrant ces auteurs à prix d'or.


Commentaires préférés (3)

On peut également citer : J.K Rowling refoulée à 12 reprises des maisons d'édition londoniennes. Il me semble d'ailleurs qu'elle a du accepter d'éditer le premier tome (à 500 exemplaires) avec un nom d'homme.
Aujourd'hui on peut rajouter "millions" après le chiffre.

Anna Gavalda ou Stephen King ont également essuyé plusieurs refus avant d'être connu.

Ce qui pose la question du nombre de chef oeuvres et d'auteurs qui n'ont jamais été publiés/reconnus.
Et bien sûr, des maisons d'éditions qui deviennent de plus en plus grosses (encore ce matin, je lisais le projet de fusion d'Editis-Hachette), avec le danger de se focaliser sur les oeuvres grand public au détriment de la diversité.

Je kompran m1tenan pk il Zon refuser mais romant


Tous les commentaires (38)

On peut également citer : J.K Rowling refoulée à 12 reprises des maisons d'édition londoniennes. Il me semble d'ailleurs qu'elle a du accepter d'éditer le premier tome (à 500 exemplaires) avec un nom d'homme.
Aujourd'hui on peut rajouter "millions" après le chiffre.

Anna Gavalda ou Stephen King ont également essuyé plusieurs refus avant d'être connu.

Ce qui pose la question du nombre de chef oeuvres et d'auteurs qui n'ont jamais été publiés/reconnus.
Et bien sûr, des maisons d'éditions qui deviennent de plus en plus grosses (encore ce matin, je lisais le projet de fusion d'Editis-Hachette), avec le danger de se focaliser sur les oeuvres grand public au détriment de la diversité.

Je kompran m1tenan pk il Zon refuser mais romant

a écrit : Je kompran m1tenan pk il Zon refuser mais romant C'est désolant de voir qu'a cause de ça tu passe à côté de la postérité. Tant pis je vais me rabattre sur la collection Arlequins.

a écrit : Je kompran m1tenan pk il Zon refuser mais romant Tu m'étonnes, tu as oublié le t à la fin de kompran ^^

a écrit : Ce qui pose la question du nombre de chef oeuvres et d'auteurs qui n'ont jamais été publiés/reconnus.
Et bien sûr, des maisons d'éditions qui deviennent de plus en plus grosses (encore ce matin, je lisais le projet de fusion d'Editis-Hachette), avec le danger de se focaliser sur les oeuvres g
rand public au détriment de la diversité. Afficher tout
Et une fois connu et reconnu, est-ce le roman ou le nom de l'écrivain qui fait vendre ?

a écrit : On peut également citer : J.K Rowling refoulée à 12 reprises des maisons d'édition londoniennes. Il me semble d'ailleurs qu'elle a du accepter d'éditer le premier tome (à 500 exemplaires) avec un nom d'homme.
Aujourd'hui on peut rajouter "millions" après le chiffre.

Anna Gavalda ou Stephen King ont également essuyé plusieurs refus avant d'être connu.
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Refuse par Gallimart ?

a écrit : Et une fois connu et reconnu, est-ce le roman ou le nom de l'écrivain qui fait vendre ? Les deux dans une certaine proportion, mais effectivement à ce niveau là c'est le marketing qui prends le pas.

a écrit : Je kompran m1tenan pk il Zon refuser mais romant Ce qui pose la question du nombre d'auteurs et auteures qui pensent ne pas avoir été reconnus à la hauteur de leur "talent" :)

a écrit : On peut également citer : J.K Rowling refoulée à 12 reprises des maisons d'édition londoniennes. Il me semble d'ailleurs qu'elle a du accepter d'éditer le premier tome (à 500 exemplaires) avec un nom d'homme.
Aujourd'hui on peut rajouter "millions" après le chiffre.

Anna Gavalda ou Stephen King ont également essuyé plusieurs refus avant d'être connu.
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Ce n'est pas vraiment qu'elle a dû utiliser un nom d'homme, mais qu'elle a caché son prénom en utilisant les initiales (ce qui revient un peu au même, certes). En plus, ça fait penser à Tolkien, c'est plus vendeur.
Par contre, elle a bien utilisé un pseudo masculin pour ses romans policiers post-HP. Mais c'est entièrement son choix, pour avoir un avis neutre sur son travail.

a écrit : Ce n'est pas vraiment qu'elle a dû utiliser un nom d'homme, mais qu'elle a caché son prénom en utilisant les initiales (ce qui revient un peu au même, certes). En plus, ça fait penser à Tolkien, c'est plus vendeur.
Par contre, elle a bien utilisé un pseudo masculin pour ses romans policie
rs post-HP. Mais c'est entièrement son choix, pour avoir un avis neutre sur son travail. Afficher tout
Merci pour les précisions, j'ai mélangé les deux informations dans mes souvenirs alors.

Il me semble que c'est Stephen King qui écrit également sous pseudonyme car il a peur de réaliser un travail médiocre et de ne pas s'en rendre compte à cause de sa postérité. Son nom seul suffit à faire vendre le bouquin indépendamment de sa qualité intrinsèque.

a écrit : C'est désolant de voir qu'a cause de ça tu passe à côté de la postérité. Tant pis je vais me rabattre sur la collection Arlequins. E oçi mon refuser. Je rantre pas dent leur ligné d'editoriation

a écrit : Tu m'étonnes, tu as oublié le t à la fin de kompran ^^ C le korekter ortografik

a écrit : Ce qui pose la question du nombre d'auteurs et auteures qui pensent ne pas avoir été reconnus à la hauteur de leur "talent" :) Oué, ia comme meme 1 ta 2 gro nulos dent le lot ! Tmtc

Cela me fait penser au livre Martin Eden, où le protagoniste se retrouve lui aussi confronté à la difficulté de l’édition et de la reconnaissance. Roman qui est un écho de ce qu’a vécu son auteur, Jack London.

La détermination et la persévérance paient mais au prix de nombreux efforts. Bravo à tous ces auteurs pour leur ténacité malgré les refus !

Il reste toujours l'auto-édition et étrangement on n'y trouve pas de best-seller cosmique. :m

a écrit : Merci pour les précisions, j'ai mélangé les deux informations dans mes souvenirs alors.

Il me semble que c'est Stephen King qui écrit également sous pseudonyme car il a peur de réaliser un travail médiocre et de ne pas s'en rendre compte à cause de sa postérité. Son nom seul suffit à faire v
endre le bouquin indépendamment de sa qualité intrinsèque. Afficher tout
Oui, il a commencé à publier sous le nom de Richard BACHMAN tant il était persuadé un temps que son succès n’était plus dû à son talent mais à son simple nom sur une couverture …
Le roman c’était « Chantier », énorme succès, dont la critique a dit «  le nouveau Stephen KING est arrivé »… bah … presque !

a écrit : Il reste toujours l'auto-édition et étrangement on n'y trouve pas de best-seller cosmique. :m Est-ce dû au fait qu'ils ne sont pas présents? Ou au fait qu'il n'ont pas les réseaux de distribution et les ressources publicitaires pour se faire connaitre?

Pour chaque génie incompris, il y a des milliers d'imbéciles rejetés avec raison.

a écrit : Est-ce dû au fait qu'ils ne sont pas présents? Ou au fait qu'il n'ont pas les réseaux de distribution et les ressources publicitaires pour se faire connaitre? Je sais plus où j'avais lu ça, mais il y a une sorte de pallier qui, quand on le dépasse, peut déclencher une réaction en chaine.

Alors, bien évidement, il faut avoir du talent c'est évident., ca se résume ainsi.

Au début, seul ton entourage te connait, tu fais lire ton pavé, ca plait, où pas.
A force de travail , (un bouquin, ca peut se réécrire, s'améliorer sans fin), se faire connaitre par les entourages de tes entourages.
A force de diffuser son oeuvre, tenter les maisons d'édition pour voir, où maintenant, la diffusion sur les réseaux.
Si on a de la chance, quelqu'un qui est dans le milieu littéraire, où qui en connait un, peut tomber sur ton bouquin, et faire une critique positive qui, elle, sera lue par plus de monde (le fameux pallier est là) et... publication-test.
Si ca se vend, on republie, et on commence à se faire un petit nom et par réaction en chaine, plus on est connu, plus on parle de toi, plus on parle de toi, plus on est connu et ainsi de suite jusqu'à ce qu'on connaisse ton nom jusqu'au fin fond de la forêt amazonienne où du Kansas. ^^
Le plus dur, c'est d'atteindre ce fameux pallier. Beaucoup renoncent alors qu'ils ont du talent.

J'ai tenté l'aventure, un roman-test que j'ai fait lire à un max de gens, relevé les critiques, les points faibles (et dieu sait qu'il y en avait^^) et les points forts, puis second roman, rebelotte.
Conclusion, j'écris bien, j'ai de l'imagination, mais... (toujours ce foutu MAIS grrrr^^) comme je n'ai pas un talent de génie, cela me demanderai un tel travail de sortir quelquechose d'acceptable pour espérer être édité, et je ne pourrai jamais vivre de ça en sortant un bouquin tous les 5 ans. Voilou ;)