La célèbre maison d'édition Gallimard a refusé d'éditer au cours de son existence plusieurs grands écrivains français ou romans célèbres, comme "Du côté de chez Swann" de Marcel Proust, "Voyage au bout de la nuit" de Louis-Ferdinand Céline ou "Autant en emporte le vent de Margaret Mitchell. Ces loupés furent rattrapés par la suite en intégrant ces auteurs à prix d'or.
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On peut également citer : J.K Rowling refoulée à 12 reprises des maisons d'édition londoniennes. Il me semble d'ailleurs qu'elle a du accepter d'éditer le premier tome (à 500 exemplaires) avec un nom d'homme.
Aujourd'hui on peut rajouter "millions" après le chiffre.
Anna Gavalda ou Stephen King ont également essuyé plusieurs refus avant d'être connu.
Ce qui pose la question du nombre de chef oeuvres et d'auteurs qui n'ont jamais été publiés/reconnus.
Et bien sûr, des maisons d'éditions qui deviennent de plus en plus grosses (encore ce matin, je lisais le projet de fusion d'Editis-Hachette), avec le danger de se focaliser sur les oeuvres grand public au détriment de la diversité.
Je kompran m1tenan pk il Zon refuser mais romant
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On peut également citer : J.K Rowling refoulée à 12 reprises des maisons d'édition londoniennes. Il me semble d'ailleurs qu'elle a du accepter d'éditer le premier tome (à 500 exemplaires) avec un nom d'homme.
Aujourd'hui on peut rajouter "millions" après le chiffre.
Anna Gavalda ou Stephen King ont également essuyé plusieurs refus avant d'être connu.
Ce qui pose la question du nombre de chef oeuvres et d'auteurs qui n'ont jamais été publiés/reconnus.
Et bien sûr, des maisons d'éditions qui deviennent de plus en plus grosses (encore ce matin, je lisais le projet de fusion d'Editis-Hachette), avec le danger de se focaliser sur les oeuvres grand public au détriment de la diversité.
Je kompran m1tenan pk il Zon refuser mais romant
Par contre, elle a bien utilisé un pseudo masculin pour ses romans policiers post-HP. Mais c'est entièrement son choix, pour avoir un avis neutre sur son travail.
Il me semble que c'est Stephen King qui écrit également sous pseudonyme car il a peur de réaliser un travail médiocre et de ne pas s'en rendre compte à cause de sa postérité. Son nom seul suffit à faire vendre le bouquin indépendamment de sa qualité intrinsèque.
Cela me fait penser au livre Martin Eden, où le protagoniste se retrouve lui aussi confronté à la difficulté de l’édition et de la reconnaissance. Roman qui est un écho de ce qu’a vécu son auteur, Jack London.
La détermination et la persévérance paient mais au prix de nombreux efforts. Bravo à tous ces auteurs pour leur ténacité malgré les refus !
Il reste toujours l'auto-édition et étrangement on n'y trouve pas de best-seller cosmique. :m
Le roman c’était « Chantier », énorme succès, dont la critique a dit « le nouveau Stephen KING est arrivé »… bah … presque !
Pour chaque génie incompris, il y a des milliers d'imbéciles rejetés avec raison.
Alors, bien évidement, il faut avoir du talent c'est évident., ca se résume ainsi.
Au début, seul ton entourage te connait, tu fais lire ton pavé, ca plait, où pas.
A force de travail , (un bouquin, ca peut se réécrire, s'améliorer sans fin), se faire connaitre par les entourages de tes entourages.
A force de diffuser son oeuvre, tenter les maisons d'édition pour voir, où maintenant, la diffusion sur les réseaux.
Si on a de la chance, quelqu'un qui est dans le milieu littéraire, où qui en connait un, peut tomber sur ton bouquin, et faire une critique positive qui, elle, sera lue par plus de monde (le fameux pallier est là) et... publication-test.
Si ca se vend, on republie, et on commence à se faire un petit nom et par réaction en chaine, plus on est connu, plus on parle de toi, plus on parle de toi, plus on est connu et ainsi de suite jusqu'à ce qu'on connaisse ton nom jusqu'au fin fond de la forêt amazonienne où du Kansas. ^^
Le plus dur, c'est d'atteindre ce fameux pallier. Beaucoup renoncent alors qu'ils ont du talent.
J'ai tenté l'aventure, un roman-test que j'ai fait lire à un max de gens, relevé les critiques, les points faibles (et dieu sait qu'il y en avait^^) et les points forts, puis second roman, rebelotte.
Conclusion, j'écris bien, j'ai de l'imagination, mais... (toujours ce foutu MAIS grrrr^^) comme je n'ai pas un talent de génie, cela me demanderai un tel travail de sortir quelquechose d'acceptable pour espérer être édité, et je ne pourrai jamais vivre de ça en sortant un bouquin tous les 5 ans. Voilou ;)