Deux alpinistes amateurs se perdirent en 1956 dans le massif du Mont Blanc, pris dans une tempête. L'armée dépêcha sur place un hélicoptère qui s'écrasa. Les pilotes furent secourus mais pas les alpinistes, qui moururent abrités dans la carlingue. Suite à cette affaire furent créés les pelotons de gendarmerie de haute montagne.
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Je ne critique pas les gens qui prennent des risques, ils ont leur libre arbitre mais il doivent assumer les éventuelles conséquences, pas la société.
Il existe des moyens simples de limiter ces chances de mourir et des moyens simples de les augmenter drastiquement ( état dans lequel on conduit en est un des meilleurs exemples).
J’aurais pu être pédiatre à la limite vu que les enfants n’ont pas conscience des conséquences de leur faibles choix ou ne sont pas responsables des choix de leur parents.
J’espère que vous n’aurez pas d’enfant.
La société tout entière commence à réfléchir comme cela quand on voit que le sauvetage en hélico est maintenant payant dans certains cas en montagne ou que le déplacement des pompiers pour des personnes saoules est facturé dans certaines villes. Cela vous choque aussi ?
Il faut sauver le plus de monde possible si on peut garantir la sécurité des sauveteurs. Dans le cas contraire il n’y a rien de choquant à arrêter les opérations de secours.
Il a du mal a exprimer des regrets quand il leur arrive des bricoles.
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