Les Britanniques ont voté en faveur du "Brexit" mais la Grande Bretagne avait pourtant tout fait pour entrer dans l'Europe économique. En 1961, Londres avait demandé à entrer dans le marché commun, mais un véto en 1963 du général De Gaulle avait empêché la chose. Le même scénario s'était produit en 1967. De Gaulle suspectait Londres de vouloir être un "cheval de Troie" au service des Etats-Unis, menaçant l'indépendance de l'union. Ils sont finalement entrés dans l'Europe économique en 1973.
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Ils y a ceux qui sont influencés par les pro brexit, et ceux qui sont influencés par les pro UE... en fait c'est plus une bataille de médias que d'opinion individuelle... comme en France d'ailleurs !
C'est un humain qui demande à un autre humain ce qu'il veut plusieurs fois et sans obtenir de réponse parce que cette autre personne est indécise.
Un peu comme les négociations du Brexit. Les britanniques n'arrivent pas à se mettre d'accord surtout qu'ils ne sont pas du tout en position de force devant l'UE.
Il y a quand même un gros raccourci dans cette anecdote : au départ, le Royaume-Uni avait refusé d’intégrer la CECA (1952), puis la CEE (1957), privilégiant deux autres organisations créées par et pour lui (le Commonwealth et l’AELE).
Ces deux associations ne leur étant pas aussi profitables qu’espérer, les Britanniques se sont retournés en direction de la CEE
Keep calm and Brexit
Humour, érudits européistes s'abstenir : finalscape.com/humour-i-want-to-brexit/
En 57 le RU refuse de participer au traité de Rome ; 6 autres pays le signent, et rapidement le RU demande à y entrer devant, comme tu le dis, le fait qu'il se soit isolé... De Gaulle refuse, etc, etc...
C'est donc bien : "je ne veux pas"... puis "je veux". Où est le raccouci ?
On s'éloigne *un peu* du sujet, merci de rester dans le thème de l'anecdote svp...
Concernant le RU, c'est tout de même "je ne veux pas", puis "je veux" ; puis "je veux mais sans changement de monnaie", puis "je ne veux plus" (Brexit), et bientôt peut-être (on en parle) "je veux de nouveau", ou "je maintiens que je ne veux plus mais à mes conditions" :)
Sans être un "problème", quand même, v'la le partenaire fiable et de confiance ! :)
Et en plus de ça, ils nous mettent une branlée au rugby... :(
Un visionnaire ce Degaulle. J'imagine qu'avec un homme comme lui au pouvoir on ne serait pas rentrés dans cette folie qu'est l'euro. Ou en tout cas pas aux conditions exigées par l'Allemagne.
Non parce que un oiseau qui possède un chat...
OK je sort... OU PAS !
Désolé.
De Gaulle n'aimait vraiment pas les anglais.
Comme je dis souvent:
- « la démocratie pour l’être humain c’est la pire chose qui existe, mais on a pas encore trouvé mieux... »