C'est bien moins de 1% des humains qui détiennent plus que la moitié de l'humanité

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On parle souvent des 1% des personnes les plus riches, qui possèderaient à eux réunis plus que la moitié des humains les plus pauvres. Mais ce pourcentage est faux. D'après une étude de l'ONG britannique Oxfam, en 2016, ce sont seulement 62 personnes qui détiennent plus que la moitié des humains les plus pauvres, soit approximativement 0.000001% de la population mondiale. Il existe bien une statistique sur les 1% les plus riches : ils détiendraient à eux tous réunis plus de patrimoine que les 99% restants.


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Le problème au delà de la justesse du mode de calcul de l'étude c'est que les 1% les plus riches (en capital, donc ce qui veut dire principalement en actions en bourse, en terrains immobiliers, ect...) sont de plus en plus riches et de plus en plus rapidement et ce depuis le debut des années 2000 (le "pire" etant les années 80). Ça ne dérangerait pas si nous ne vivions pas une crise mondiale qui augmente la paupérisations dans les pays dits développés et que la situation ne semble pas s'améliorer pour les pays en voie de développement qui représente une grande majorité de l'humanité... Perso sachant ça je trouve qu'il y a un vrai problème de redistribution des ressources.

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a écrit : Stiglitz milite aussi activement à augmenter le capitalisme de connivence et l'Etat providence (la première étant la cause de l'enrichissement massif d'une élite et l'autre étant la cause de la stagnation/dégradation des classes moyennes).

Autant il mérite son Nobel, mais depuis qu
9;il a un accès illimité aux médias américains son idéologie keynésienne est à vomir. Afficher tout
Donc l'Etat providence ruine les classes moyennes, Stiglitz milite pour une économie corrompue, "son idéologie keynésienne est à vomir"... Mais il mérite tout de même son Nobel. Merci pour cet éclairage.

C'est vrai que le résultat des politiques économiques néo libérales que l'on a connu ces dernières décennies est très satisfaisant. Tu parles de capitalisme de connivence mais regardes ce qui c'est passé avec Goldman Sach pendant et au lendemain de la crise des subprimes.

J'ai parlé de Stiglitz mais Pikkety réalise des travaux dans le même esprit ( "le capital au 21e siecle" , "l'économie des inégalités"...) . Mais peut être que son "idéologie" est également "à vomir"...

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a écrit : Une étude soit dit en passant très contestée parce que ce qui est pris en compte c'est le patrimoine net (possession moins dette), et le fait d'avoir ce référentiel veut dire que l'homme le moins riche de la planète est Jérôme Kerviel (il doit des milliards à la SG). Ça veut aussi dire que les étudiants américains endettés jusqu'au cou pour leur cursus universitaire sont plus pauvres que les africains qui n'ont rien (ni possessions ni dettes). Afficher tout "Les africains qui n'ont rien" cette tournure me gêne en tant que africain...

a écrit : C'est curieux de voir que aujourd'hui, malgré l'émergence d'une classe moyenne depuis a peu près un siècle et les prestations sociales dans certains pays, les inégalités n'ont jamais été aussi grandes. Ironie du sort: Durant la "belle époque" (avant la première guerre mondiale) un patron avait en moyenne 15 à 30 fois plus de fortunr que ses employés.... aujourd'hui ća grimpe a 150 à 300 fois plus que ses employés '^'

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a écrit : Ironie du sort: Durant la "belle époque" (avant la première guerre mondiale) un patron avait en moyenne 15 à 30 fois plus de fortunr que ses employés.... aujourd'hui ća grimpe a 150 à 300 fois plus que ses employés '^' En moyenne ? Sérieusement ?
Si vous prenez les "patrons" du CAC40 (qui sont très généralement employés mais passons) peut être.
Mais on trouve beaucoup de patrons en France qui n'ont pas beaucoup plus (si c'est plus) que leurs employés. Et ils sont en large majorité.

a écrit : Donc l'Etat providence ruine les classes moyennes, Stiglitz milite pour une économie corrompue, "son idéologie keynésienne est à vomir"... Mais il mérite tout de même son Nobel. Merci pour cet éclairage.

C'est vrai que le résultat des politiques économiques néo libérales que l'on a
connu ces dernières décennies est très satisfaisant. Tu parles de capitalisme de connivence mais regardes ce qui c'est passé avec Goldman Sach pendant et au lendemain de la crise des subprimes.

J'ai parlé de Stiglitz mais Pikkety réalise des travaux dans le même esprit ( "le capital au 21e siecle" , "l'économie des inégalités"...) . Mais peut être que son "idéologie" est également "à vomir"...
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Stiglitz n'a pas eu son Nobel pour ses travaux idéologiques. Krugman non plus d'ailleurs ; ça ne les empêche pas d'utiliser leur notoriété pour leur agenda politique.

Ces dernières décennies ont vu la crise des banques centrales (le summum du capitalisme de connivence) et du "too big to fail". Rien à voir avec n'importe quel libéralisme, qu'il soit néo ou ultra.

Quant à Piketty, son livre sensationnaliste n'a aucun fondement ; à moins de faire comme Oxfam des statistiques truquées pour enfant de 12 ans. Sa théorie r > g est vrai dans un monde immobile ; quand on le compare aux faits réels, on remarque que les riches, en tant qu'être humains, changent.

"Combattre" les inégalités, d'accord. Truander des statistiques et prendre les gens pour des moutons, non merci.

a écrit : Stiglitz n'a pas eu son Nobel pour ses travaux idéologiques. Krugman non plus d'ailleurs ; ça ne les empêche pas d'utiliser leur notoriété pour leur agenda politique.

Ces dernières décennies ont vu la crise des banques centrales (le summum du capitalisme de connivence) et du "too big
to fail". Rien à voir avec n'importe quel libéralisme, qu'il soit néo ou ultra.

Quant à Piketty, son livre sensationnaliste n'a aucun fondement ; à moins de faire comme Oxfam des statistiques truquées pour enfant de 12 ans. Sa théorie r > g est vrai dans un monde immobile ; quand on le compare aux faits réels, on remarque que les riches, en tant qu'être humains, changent.

"Combattre" les inégalités, d'accord. Truander des statistiques et prendre les gens pour des moutons, non merci.
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Donc les théories libérales n'ont pas de responsabilités dans la crise actuelle. Piketty (école normale supérieure de Paris, London School of Economics), et Stiglitz (MIT) qui enseignent dans les plus grandes universités du monde sont des menteurs et des tocards. J'imagine que vous avez un sacré cv, préparez vous le Nobel arrive.

Quels économistes combattent les inégalités selon vous ?

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a écrit : Une étude soit dit en passant très contestée parce que ce qui est pris en compte c'est le patrimoine net (possession moins dette), et le fait d'avoir ce référentiel veut dire que l'homme le moins riche de la planète est Jérôme Kerviel (il doit des milliards à la SG). Ça veut aussi dire que les étudiants américains endettés jusqu'au cou pour leur cursus universitaire sont plus pauvres que les africains qui n'ont rien (ni possessions ni dettes). Afficher tout Très intéressante remarque !

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a écrit : Donc les théories libérales n'ont pas de responsabilités dans la crise actuelle. Piketty (école normale supérieure de Paris, London School of Economics), et Stiglitz (MIT) qui enseignent dans les plus grandes universités du monde sont des menteurs et des tocards. J'imagine que vous avez un sacré cv, préparez vous le Nobel arrive.

Quels économistes combattent les inégalités selon vous ?
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C'est quoi cet argument d'autorité à deux francs...?

"Taisez-vous, j'ai des diplômes, je sais mieux que vous."
Rofl.

Nulle part je n'ai mentionné des "tocards". Un idéologue n'est pas un tocard ni un idiot. Ils agissent par intérêt et d'ailleurs Piketty a été brillant dans sa communication (spécialement outre Atlantique).

Les théories libérales n'ont rien à voir avec les banques too big to fail, la crise financière et ces 1% qui ne sont riches que de monnaie de singe. C'est spécialement ce contre quoi se sont battus d'éminents auteurs pendant la seconde partie du XXeme siècle (Mises & Hayek pour ne citer que les plus connus). Il est toujours bon de rappeler que ceux qui se battent pour la libre entreprise ne défendent pas les intérêts de ceux qui se trouvent aujourd'hui être riches.

a écrit : Qui saurait quelle somme cela représente si on additionne les fortunes de ces 62 personnes? Ça doit être colossal... Ben les 3 premiers réunis ne sont pas loin des 200 milliards ,alors 62 ,on dépasse les 1000 milliards je pense.

a écrit : Qu'on les zigouilles et on se partage tout. Après tout ils auront bien vécu Ouais mais apres avec tout ces milliards ca va etre le bordel chez le notaire :-)

a écrit : Je ne me considère ni riche ni pauvre, la vraie richesse est le bonheur de sa famille. Vous ne pouvez pas savoir à quel point c'est bon d'entendre rire ses enfants. Et ça tout l'or du monde ne pourra l'acheter. ... O putain oui vous avez raisons , l'amour de nos enfant est tellement au dessus ,mais quand même c sans parler d'être millionnaire ou plus ,juste etre a peu prêt égaux finencierement parlant.

a écrit : "Seule la force de travail crée la richesse"

Si tous le monde en était conscient, on n'en serait pas la.
Non seule les vraies idées créé la richesse
Car la force de travail ne te rendras pas super riche
C'est comme dire "le monde appartient a ceux qui se lève tôt.

a écrit : Les inégalités sont plus grande du point de vue de la richesse. Le premier millardaire date des années 80 seulement. Ce que je veux dire c'est qu'il y a plus d'écart proportionellement entre un milliardaire et un smicard d'aujourd'hui qu'entre un millionaire et un ouvrier de la révoloution industrielle. Tu ne prends pas en compte le taux du dollars.
Renseigne toi sur john davidson rockefeller, il a une fortune estimé à plus de 330 milliards de dollars.
Il faut éviter de s'avancer pour rien.

a écrit : C'est fou l'importance qu'a l'argent en France (plus généralement dans le nord économique). Tellement de gens sont malheureux parce qu'ils veulent faire croire qu'ils en ont (voiture à crédit, iPhone, sac à main à 500€, etc.), c'est triste. Alors qu'il y a tellement d'autres manières d'être heureux (par exemple, avoir des passions), dès lors qu'on est pas dans la misère non plus. La majorité, me semble-t-il, cherche un travail qui rapporte avant un travail qui plaît. Ayant été confronté au choix très concret entre partir dans la finance (j'ai pas mal de camarades d'études tournent à plusieurs centaines de k par an, voire millions), j'ai opté pour la science et je crois avoir fait le bon choix (pour moi bien sûr). Évidemment je ne cacherait pas sur une augmentation, mais mon épanouissement est ailleurs.

L'image sociale, qui passe quasi-exclusivement par la fortune, est au coeur des préoccupations.
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Mon commentaire favoris sur ce post, je suis entièrement d'accord, passionné d'arts je vis plus difficilement de ma passion que si j'avais choisi la finance mais mon bonheur et mon épanouissement personnel à travers mon univers est tellement fort que je ne l'échangerai pour aucune richesse

Plusieurs commentaires prétendent qu'avec la méthode de calcul d'oxfam une personne endettée pour acquérir son logement serait plus pauvre qu'une personne qui ne posséderait rien. Mais je crois qu'il n'en est rien : une personne endettée pour son logement a un capital égal à la valeur du logement moins la dette correspondante, ce qui est donc largement positif assez rapidement (sauf éventuellement au début du remboursement et s'il y a peu d'apport)