Le 3 février 1972 en Bolivie, un journaliste obtint une interview avec Klaus Altmann, le présumé Klaus Barbie. Une question posée en français, une langue qui lui était inconnue, fut le point de départ de sa déchéance. Une empreinte fut prise grâce à une photo tendue vers l'individu, qui donna ainsi son empreinte digitale et permit de l'identifier formellement.
Tous les commentaires (85)
Voilà LA raison de mon commentaire, et je m'insurgerai tout autant d'une personne cherchant à mettre en relation "Musulman"et "terroriste".
Quant à la suite de ton texte, ce sont tes opinions et je me garderai bien de vouloir les modifier.
La video de Mamytwink mise en lien est vraiment excellente et retrace bien cette histoire, je vous la conseille
Non, et ils savaient que montrer qu'ils tenaient leur parole valait tous les pass droits du monde étant donné les clients que ça rapportait...
Par contre leur montrer que ou qu’ils soient dans le monde, ils seront traqués et punis, ça c’est clair.
Après on peut toujours discuter des méthodes...
Je tiens a préciser que, sur un sujet aussi sensible, j'ai trouvé la discussion courtoise et cordiale. Ca a échangé ferme mais jamais dérapé.
J'ai meme pas osé poster ce que je pensais parce que j'avais pas envie que ça parte en couille mais franchement, je suis fier d'aimer ce site et l'intégralité de ses contributeurs sans exception (a part Tybs... MOUAHAHAH, il m'énerve lui ;) )
Peut être que je posterai ce que je pense demain, mais j'ai écrit déja ce que je pense et c'est trop dur et la discussion est tellement en paix en ce moment que je ne voudrais pas tout casser.
Belle communauté ici. Pas de haine, c'est chouette.
Hein?
OUI je suis bourré, et alors?
Tu me dira, les escorts girl aussi on l'impression d'être indépendantes.
;-)
Anecdote ultra mal racontée. C'est tout simplement incompréhensible.
ladislas de hoyos, excellent journaliste et présentateur du jt.
La dernière phrase est réellement très mal rédigée ... je ne suis pas certain que ceux qui ne connaissaient pas cette anecdote aient bien compris.
Par conséquent, que ce soit des juifs français, ou des juifs israéliens qui ont perpétré des crimes en tuant des nazis, ils l'ont fait en criminel, et personne ne peut invoquer la notion de justicier ou de vengeance car cela légitime donc les actes nazis dont l'idéologie s'est nourri de ces aprioris.
Contre-argumenter en affirmant que dénoncer des crimes, de quelques parties qu'ils sont, s'ils sont commis par des juifs est antisémite/antijudaique relève soit de la propagande soit de l'argument d'autorité, mais absolument pas de la raison.
C'est comme un surveillant dans un collège, il y a des valeurs à appliquer pour éduquer. S'il tabasse un élève violent, il démontre donc à tous les autres élèves que seul la violence prime. Et pour faire un sophisme dans la loi de l'oeil pour l'oeil, tout le monde devient aveugle.
Soit on croit au droit, soit non. L'exception a été à la fin de la guerre, où les esprits échauffés ont toutes légitimités à crier vengeance et à agir en animaux. Quand cela intervient 6 mois ou 10 ans plus tard, ce sont des crimes qui sont punis par d'autres crimes.
"leur montrer que ou qu’ils soient dans le monde, ils seront traqués et punis, ça c’est clair." -> Vous avez raison. Ce qui serait pas mal efficace, ce serait de rendre un ou des crimes dont ils peuvent être accusés imprescriptibles. Comme ça, même des décennies plus tard, ces personnes ne pourront pas être totalement tranquilles: des petits coup de stress en se demandant si quelqu'un les a reconnus, ne pas pouvoir voyager au risque d'être arrêté et jugé dans le pays, etc. Leur imposer une vie de fugitif à vie en gros.
Ah mais attendez! C'est justement ce qu'on a fait.