Avant 1970, il n'y avait pas de point d'exclamation sur les claviers. Sur les machines à écrire, il fallait taper un point, reculer le chariot d'un cran et taper une apostrophe afin que la superposition des caractères forme un point d'exclamation. Son usage était moins fréquent qu'aujourd'hui.
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Peut être qu'un jour on les aura au clavier électromécanique les "clins d'oeil" ^^
C'est pour ça que les boomers en abusent comme si on leur avait interdit de l'utiliser. Tout s'explique.
Ensuite, tu dis « on peut écrire les deux, j’ai choisis de … ». Tu ne peux pas défendre une règle pour ensuite dire « j’ai choisi de » car ça te discrédite. Soit tu défend le chacun fait comme il veut car la langue est un outil qui rassemble et qui évolue avec le temps (comme l’espace insécable de la virgule qui a disparut), soit tu ne parle pas de choix et tu te contente de préciser dans quel cas espace est masculin et dans quel autre cas il est féminin.
Un jour peut-être les gens réfléchiront un peu plus avant de dégainer des "faux" et des "perdu" à tout bout de champ sans raison et ces mots reprendront du sens...
S’il n’avait pas parlé de typographie, j’aurais fais une simple précision mais là, non.
Pour info, l’accent insécable est celui qui ne peut pas être détaché des mots avant et après lui. Ainsi, dans le cas d’un espace insécable, un retour à la ligne automatique en fin de ligne ramènera le mot avant à la ligne avec lui. Ça permet d’éviter d’avoir un point d’exclamation seul qui commence la nouvelle ligne.
D’ailleurs, pour être précis, pour le point virgule, le point d’interrogation et le point d’exclamation, on doit utiliser un espace insécable d’une largeur de 1/4 de cadratin (c’est la largeur du caractère suivant même si on est plus sur des largeurs généralisées aujourd’hui). L’espace, lui, a une largeur d’1 cadratin. Selon les polices d’écriture, la taille de l’espace fine et de l’espace peut varier en proportionnalité (je n’ai pas vérifié mais 72% d’un cadratin sur la police Arial selon Wikipedia)
A noté qu’au Québec, en cas d’absence d’espace insécable sur le logiciel de traitement de texte, il convient de ne pas mettre d’espace du tout.
Donc je maintient, perdu, on ne met pas d’espace devant un point d’exclamation, c’est une faute. Le français français ne reconnaît pas l’absence de l’espace fine insécable, le français québécois demande la suppression de l’espace fine s’il ne peut pas être insécable et les sites internet ne prenant pas en charge l’espace fine insécable magouillent en mettant un espace normal à la place.
Ah que c'est compliqué...
Quelle estcla pertinence d'argumenter sur des détails de ponction à la rigueur mathématique lorsque que l'on termine son message par un " : ) " et autres conneries, mais si ça vous fait plaisir.... ? ! !, : ) , ; )... bref
Je dois encore oublier tout un tas de termes techniques mais l’imprimerie est tout un monde qui me fascinera toujours, je ne pouvais pas résister
Tant que tu diras que l’espace insécable est une sorte d’espace, oui je vais rire mais d’une autre ironie.
En typographie on est précis, il n’y a pas de « sorte de » qui existe puisque la typographie est là pour standardiser. Si tu mets une espace à la place d’une espace fine insécable, tu viens juste de placer un caractère qui n’a rien à voir.
Pour le cas où tu aurais besoin d'un autre avis, je t'ai recopié la définition de Wikipedia :
Espace insécable
Une espace insécable (« ») est un signe typographique numérique consistant en une espace que l'on intercale entre deux mots (ou un mot et une ponctuation) ...
Eh oui, un(e) espace insécable est un(e) espace ! Quelle révélation ! Mais n'importe quel enfant d'école primaire qui ne dormait pas pendant le cours sur les adjectifs est capable de comprendre ça.
Bon c'est bon, vous avez fini, les gamins ?
;-)