Un tatouage comme souvenir du défunt

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Si vous êtes très fier de vos tatouages, vous pouvez faire en sorte qu'ils vous survivent aux Etats-Unis. Une association propose en effet de prélever et d'embaumer la peau tatouée d'un défunt, afin qu'un proche puisse la conserver. Il est même possible de faire encadrer sous verre les tatouages, pour les faire trôner par exemple au-dessus de la cheminée.


Tous les commentaires (34)

a écrit : C'est justement une des dérives qui me vient à l'esprit. S'il est légalement possible d'avoir un morceau de peau tatouée, il doit être légalement possible d'avoir un morceau de peau non tatouée non ? Et pourquoi pas un autre morceau du corps ?
Et dans ce cas, les dérives peuvent être d&#
039;un côté ceux qui resteraient avec des morceaux plus ou moins grand de leur proches décédés, ce qui aurait certainement des conséquences psychologique.
D'un autre côté, la chasse serait-elle ouverte au récupération de morceaux d'artistes, acteur etc... Pour la vendre au plus offrant.
Après les restes de grands Saints bibliques se baladent bien un peu partout sur la planète donc pourquoi pas
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S'il est un jour possible d'obtenir un morceau de peau tatouée par un aménagement de la loi, celle ci devrait justement être suffisamment restrictive pour empêcher que de la peau non tatouée ou d'autres parties du corps ne puissent par un tour de passe-passe légal soudainement être ouverte au commerce, pas évident tout ça.

a écrit : S'il est un jour possible d'obtenir un morceau de peau tatouée par un aménagement de la loi, celle ci devrait justement être suffisamment restrictive pour empêcher que de la peau non tatouée ou d'autres parties du corps ne puissent par un tour de passe-passe légal soudainement être ouverte au commerce, pas évident tout ça. Afficher tout Il me semble qu'il y avait un chirurgien qui avait gravé ses initiales sur le foie d'un (ou plusieurs patients) au cours d'une opération. Du coup, il n'y a pas que la peau, qui pourrait être considérée comme une oeuvre d'art. Il y a aussi les dents limées ou décorées de diamants. On peut aussi tatouer les yeux... (la sclère de l'oeil, c'est à dire le blanc autour de l'iris. Et le tatouage sur fait plus précisément en injectant une encre entre la conjonctive et la sclère). Une personne qui voudrait que sont corps lui survive éternellement pourrait se faire tatouer ou sculpter pas mal d'endroits de son corps.

a écrit : Il me semble qu'il y avait un chirurgien qui avait gravé ses initiales sur le foie d'un (ou plusieurs patients) au cours d'une opération. Du coup, il n'y a pas que la peau, qui pourrait être considérée comme une oeuvre d'art. Il y a aussi les dents limées ou décorées de diamants. On peut aussi tatouer les yeux... (la sclère de l'oeil, c'est à dire le blanc autour de l'iris. Et le tatouage sur fait plus précisément en injectant une encre entre la conjonctive et la sclère). Une personne qui voudrait que sont corps lui survive éternellement pourrait se faire tatouer ou sculpter pas mal d'endroits de son corps. Afficher tout Oui c'est vrai, si on veut que notre corps nous survive il reste sinon au choix: la plastination, l'embaumement ou la cryogénisation (en pariant sur un futur pour récupérer le corps en pas trop mauvais état, ce qui n'est pas gagné). Ou alors une belle représentation en peinture, statue, voire un avatar/scan 3D numérique et on revient à l'artistique.

a écrit : Oui c'est vrai, si on veut que notre corps nous survive il reste sinon au choix: la plastination, l'embaumement ou la cryogénisation (en pariant sur un futur pour récupérer le corps en pas trop mauvais état, ce qui n'est pas gagné). Ou alors une belle représentation en peinture, statue, voire un avatar/scan 3D numérique et on revient à l'artistique. Afficher tout Moi cette histoire de survivre à son corps m'évoque tout de suite le don d'organes...

a écrit : Les dérives ? Je pensais dans le domaine artistique. L'univers de l'art tel qu'il est aujourd'hui génère de gros sous, les gros sous ça attire les appétits.
Des personnes dans la misère acceptant de se faire tatouer sur une petite surface de peau qu'on lui retire ensuite pour la vendre.<
br /> Ou bien accepter de l'argent pour se faire tatouer et donner sa peau à sa mort.
Ou bien la collection de peaux tatoués pouvant mener à des exhumations sauvages, du traffic etc.
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Que des bonnes idées ! J'écris tout ça sur mon carnet pour quand j'aurais les moyens de créer ma Big compagnie.

Ce peut être utile de récupérer les tatouages...plan d'une prison ou du rer tatoué sur le dos... deux références que je vous laisse retrouver.
Mon grand père avait un tatouage dans le dos écrit en gothique "NI DIEU! NI MAITRE!"
Il en parlait pas trop...mais je trouvais que cela posait bien le personnage...et puis ça se démode pas! Je connaissais un boat people vietnamien qui avait séjourné en camp avant d'arriver en France et qui avait sur la poitrine une superbe rose rouge sang réalisée avec de l'encre et un tesson de bouteille...et des scarifications...un personnage aussi

a écrit : Ce peut être utile de récupérer les tatouages...plan d'une prison ou du rer tatoué sur le dos... deux références que je vous laisse retrouver.
Mon grand père avait un tatouage dans le dos écrit en gothique "NI DIEU! NI MAITRE!"
Il en parlait pas trop...mais je trouvais que cela posait bien l
e personnage...et puis ça se démode pas! Je connaissais un boat people vietnamien qui avait séjourné en camp avant d'arriver en France et qui avait sur la poitrine une superbe rose rouge sang réalisée avec de l'encre et un tesson de bouteille...et des scarifications...un personnage aussi Afficher tout
Quand on veut se faire tatouer une maxime, il faut non seulement bien la choisir, mais il faut également éviter les fautes d'orhographe ! C'est arrivé à des célébrités, et c'est devenu viral sur les réseaux sociaux, avec des idéogrammes, mais j'ai vu aussi tatoué en haut du dos d'une jeune fille : "Only God can jugde me" (sic) !

a écrit : Au Vanuatu, certaines tribus conservent les morts dans de la terre glaise pendant quelques mois avant de les sortir et les manger. C’était leur façon de fêter les morts…
Source : le musée de Port-Vila
J'ai eu beau cherché, je n'ai rien trouvé sur cette coutume.
Ne pas oublier que le Vanuatu, c'est 83 îles, 138 langues différentes et autant de rites différents. La coutume que tu cites est peut-être très localisée, mais je n'en trouve pas trace.

a écrit : Au Vanuatu, certaines tribus conservent les morts dans de la terre glaise pendant quelques mois avant de les sortir et les manger. C’était leur façon de fêter les morts…
Source : le musée de Port-Vila
Le cannibalisme rituel a existé au Vanuatu, relaté par des voyageurs européens aux XVIIIe et XIXe siècle, mais sans doute pas comme rite funéraire, peut-être comme acte guerrier très exceptionnel ou comme rite de passage. Certains rituels de magie noire dans les îles du nord (notamment à Ambrym et Maewo) incluent des cérémonies oû il est question, mais de manière purement symbolique, de "manger" un individu. L'acte se limite à des incantations. Le cannibalisme (c'est-à-dire le fait de manger un être vivant de sa propre espèce) reste un acte littéralement contre nature. Les cas les plus avérés chez l'homme relèvent de rares dérèglements psychiques (mais qui font aisément la une des journaux) ou de situations extrêmes comme le cas de l'avion qui s'était écrasé dans les Andes.

a écrit : Cette pratique est totalement interdite en France où le corps d'un défunt est assimilé à celui d'un vivant, donc démembrement interdit. Il en est de même pour les cendres d'une personne crématisée que l'on ne peut partager. Démembrement interdit, mais don d'organes automatique (qui, pour moi, devrait être obligatoire) ??? Y'a pas quelque chose qui coince ???

a écrit : Il existe en effet des coutumes funéraires consistant à exhumer les défunts quelques années après l'inhumation, pour procéder à des rites spécifiques sur les restes. Le cas le plus connu est celui du famadihana (traduit en français par "retournement des morts") encore très couramment pratiqué sur les Hautes Terres de Madagascar. Afficher tout En France, nous procédons aussi à ce qui s'appelle une réduction, mais ce n'est pas une coutume. On fait de la place pour les suivants...

a écrit : Ce peut être utile de récupérer les tatouages...plan d'une prison ou du rer tatoué sur le dos... deux références que je vous laisse retrouver.
Mon grand père avait un tatouage dans le dos écrit en gothique "NI DIEU! NI MAITRE!"
Il en parlait pas trop...mais je trouvais que cela posait bien l
e personnage...et puis ça se démode pas! Je connaissais un boat people vietnamien qui avait séjourné en camp avant d'arriver en France et qui avait sur la poitrine une superbe rose rouge sang réalisée avec de l'encre et un tesson de bouteille...et des scarifications...un personnage aussi Afficher tout
A part prison break, j'ai pas la ref pour le RER ?
Ça me fait aussi penser à Foresti et son ''plan du parc tatoué sur le c.., si on creuse sous le toboggan on arrive direct chez zara!''