La livraison en deux roues de plats à domicile n'est pas nouvelle

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a écrit : Je ne comprends pas l'usage du "mais" dans ce cas Ben ils ne faisaient pas ça pour le spectacle..?
Surtout ils n’étaient pas payé pour leurs talents ‘d’équilibriste’
Même si c’était impressionnant, les pauvres gars galéraient plus que nos livreurs modernes en vélo électriques ou scooter et ne s’amusaient pas eux aussi à le faire à mon avis
Quoique l’offre et la demande devait être différentes d’aujourd’hui, comme les moyens techniques, l’un rentre en corrélation avec l’autre

a écrit : Comment fait-il pour déscendre le plat tout en haut ? C'est celui qui est destiné à un client habitant au premier étage.

Info complémentaire, le terme Demae est utilisé pour ce type de livraison rapide.
Mais l’origine du mot est plus ancienne et n’a rien avoir avec le milieu de la livraison. Datant du 17 eme siècle, le mot signifie « sortir devant » et était utilisé lorsqu’une prostituée en apprentissage pouvait quitter son yûkaku ( maison de prostituées ) pour proposer ses services ailleurs.
Demae est la contraction du terme « omae-san no tokoro he demuku » ce qui signifie nous nous rendons directement chez vous.
D’ailleurs Demae Ramen est une marque connue de nouilles instantanées.


Tous les commentaires (19)

Je ne comprends pas l'usage du "mais" dans ce cas

Déjà publier avec le même texte même photographie….

a écrit : Je ne comprends pas l'usage du "mais" dans ce cas Ben ils ne faisaient pas ça pour le spectacle..?
Surtout ils n’étaient pas payé pour leurs talents ‘d’équilibriste’
Même si c’était impressionnant, les pauvres gars galéraient plus que nos livreurs modernes en vélo électriques ou scooter et ne s’amusaient pas eux aussi à le faire à mon avis
Quoique l’offre et la demande devait être différentes d’aujourd’hui, comme les moyens techniques, l’un rentre en corrélation avec l’autre

Bon apparemment au Japon, on connaissait le vélo mais pas le triporteur (vélo à 3 roues, muni d'une remorque) :)
Ce dernier est très répandu dans le nord de la France et dans le Bénélux plus largement (pour déposer les enfants à l'école par exemple). C'est même en plein développement aujourd'hui.

Dans la mesure où, dans les pays occidentaux, on ferme de plus en plus l'accès des centres-villes aux autos, on en verra de plus en plus pour assurer la livraison du dernier kilomètre.

Perso , je trouve que le livreur impose le respect . Par contre il vaut mieux qu'il prenne un chemin sans pont et qu'il fasse attention en rentrant dans un maison .

Comment fait-il pour déscendre le plat tout en haut ?

a écrit : Comment fait-il pour déscendre le plat tout en haut ? C'est celui qui est destiné à un client habitant au premier étage.

Info complémentaire, le terme Demae est utilisé pour ce type de livraison rapide.
Mais l’origine du mot est plus ancienne et n’a rien avoir avec le milieu de la livraison. Datant du 17 eme siècle, le mot signifie « sortir devant » et était utilisé lorsqu’une prostituée en apprentissage pouvait quitter son yûkaku ( maison de prostituées ) pour proposer ses services ailleurs.
Demae est la contraction du terme « omae-san no tokoro he demuku » ce qui signifie nous nous rendons directement chez vous.
D’ailleurs Demae Ramen est une marque connue de nouilles instantanées.

L'anecdote me fait penser au manga Initial D où le personnage principal devait livrer rapidement du tofu avec sa voiture sans en renverser.

a écrit : Info complémentaire, le terme Demae est utilisé pour ce type de livraison rapide.
Mais l’origine du mot est plus ancienne et n’a rien avoir avec le milieu de la livraison. Datant du 17 eme siècle, le mot signifie « sortir devant » et était utilisé lorsqu’une prostituée en apprentissage pouvait quitter son yûkaku
( maison de prostituées ) pour proposer ses services ailleurs.
Demae est la contraction du terme « omae-san no tokoro he demuku » ce qui signifie nous nous rendons directement chez vous.
D’ailleurs Demae Ramen est une marque connue de nouilles instantanées.
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Mais d'où te vient tant de connaissance sur la prostitution nippone ? ^^

Ha nan mais laaaaa... Le mec en n'est clairement pas à sa première livraison !
Dc en gros moi je dirais pour chaque livraison:
1 descendre du vélo
2 poser par terre la tour de nouilles
3 choper le plat du haut à livrer
4 remetre la tour sur l'épaule puis remonte sur le vélo.

a écrit : Bon apparemment au Japon, on connaissait le vélo mais pas le triporteur (vélo à 3 roues, muni d'une remorque) :)
Ce dernier est très répandu dans le nord de la France et dans le Bénélux plus largement (pour déposer les enfants à l'école par exemple). C'est même en plein développement aujourd'h
ui.

Dans la mesure où, dans les pays occidentaux, on ferme de plus en plus l'accès des centres-villes aux autos, on en verra de plus en plus pour assurer la livraison du dernier kilomètre.
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C'est vrai, ça, pourquoi pas un tricycle? Peut être une question de moyens, un vélo, ca coûte déjà très cher pour certaines catégories de population pauvre, alors à l'époque...

Après, je me permet de supposer que la photo de l'anecdote a peut être été prise exprès, pour le folklore, sur une route impeccable, parce que, virtuose de l'équilibre où pas, au moindre petit caillou, tout se casse la gueule moi j'dis! ^^

a écrit : Ben ils ne faisaient pas ça pour le spectacle..?
Surtout ils n’étaient pas payé pour leurs talents ‘d’équilibriste’
Même si c’était impressionnant, les pauvres gars galéraient plus que nos livreurs modernes en vélo électriques ou scooter et ne s’amusaient pas eux aussi à le faire à mon avis
Quoique
l’offre et la demande devait être différentes d’aujourd’hui, comme les moyens techniques, l’un rentre en corrélation avec l’autre Afficher tout
C'est écrit "pouvait ressembler", avec le "mais" il y a un élément en trop. Soit il ressemble, mais il n'est pas, soit il peut ressembler, et il est x. Je me trompe peut-être car je suis incapable de citer une règle grammaticale, mais cette tournure est inhabituelle et me semble bizarre. Suis-je le seul dans ce cas ? Si oui, c'est moi qui est bizarre :)

a écrit : Bon apparemment au Japon, on connaissait le vélo mais pas le triporteur (vélo à 3 roues, muni d'une remorque) :)
Ce dernier est très répandu dans le nord de la France et dans le Bénélux plus largement (pour déposer les enfants à l'école par exemple). C'est même en plein développement aujourd'h
ui.

Dans la mesure où, dans les pays occidentaux, on ferme de plus en plus l'accès des centres-villes aux autos, on en verra de plus en plus pour assurer la livraison du dernier kilomètre.
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Sur un triporteur, ce n'est pas une remorque (qui est un véhicule que l'on attelle à un autre véhicule), la caisse fait partie du véhicule. Sur les triporteurs asiatiques, la caisse de transport est située à l'arrière, pouvant faire penser à une remorque...

Pour l'énoncé de l'anecdote, on ne dit pas "en" deux-roues, mais "à" deux-roues (comme "à" cheval, "à" vélo, "à" moto et contrairement à "en" voiture, "en" camion (où l'on est à l'intérieur du véhicule)).

a écrit : C'est écrit "pouvait ressembler", avec le "mais" il y a un élément en trop. Soit il ressemble, mais il n'est pas, soit il peut ressembler, et il est x. Je me trompe peut-être car je suis incapable de citer une règle grammaticale, mais cette tournure est inhabituelle et me semble bizarre. Suis-je le seul dans ce cas ? Si oui, c'est moi qui est bizarre :) Afficher tout C'est un problème de logique : rien n'aurait empêché que des artistes de cirque aient été les ancêtres des livreurs à domicile, donc il n'y a pas de contradiction entre les deux parties de la phrase c'est pourquoi ce "mais" parait bizarre. Ceci dit comme on parle déjà de livreurs dès le début de la phrase, ça aurait été encore plus bizarre de dire "mais ils étaient des livreurs". Une solution pour mettre les mêmes éléments dans une phrase plus logique aurait été de dire : "Ces cyclistes pouvaient ressembler à des artistes de cirque, mais ils étaient des livreurs de soba (un type de nouilles japonaises), ancêtres des livreurs de plats à domicile.

Ta dernière phrase aussi est bizarre : on dit "cest moi qui suis..." car le sujet est "moi" donc on conjugue à la 1ere personne du singulier.

Combien de gadins avant d'en arriver là ?
Un grand savoir faire qui mérite le respect
Je me serais fait virer avant de toucher les pédales avec un seul plateau

a écrit : C'est un problème de logique : rien n'aurait empêché que des artistes de cirque aient été les ancêtres des livreurs à domicile, donc il n'y a pas de contradiction entre les deux parties de la phrase c'est pourquoi ce "mais" parait bizarre. Ceci dit comme on parle déjà de livreurs dès le début de la phrase, ça aurait été encore plus bizarre de dire "mais ils étaient des livreurs". Une solution pour mettre les mêmes éléments dans une phrase plus logique aurait été de dire : "Ces cyclistes pouvaient ressembler à des artistes de cirque, mais ils étaient des livreurs de soba (un type de nouilles japonaises), ancêtres des livreurs de plats à domicile.

Ta dernière phrase aussi est bizarre : on dit "cest moi qui suis..." car le sujet est "moi" donc on conjugue à la 1ere personne du singulier.
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Ben merci, car ton explication est vraiment meilleure! Ca m’a éclairé aussi :)

a écrit : Comment fait-il pour déscendre le plat tout en haut ? C’est surtout ceux du milieu qui doivent être galère à récupérer :) ! Sérieusement, je leur fait total confiance pour avoir corrélé les emplacements des plats et le moment de la livraison …

a écrit : Sur un triporteur, ce n'est pas une remorque (qui est un véhicule que l'on attelle à un autre véhicule), la caisse fait partie du véhicule. Sur les triporteurs asiatiques, la caisse de transport est située à l'arrière, pouvant faire penser à une remorque...

Pour l'énoncé de l'anecd
ote, on ne dit pas "en" deux-roues, mais "à" deux-roues (comme "à" cheval, "à" vélo, "à" moto et contrairement à "en" voiture, "en" camion (où l'on est à l'intérieur du véhicule)). Afficher tout
Absolument, je me suis mal exprimé.