Dans la seconde moitié du XIXe siècle, les cercueils "Fisk" rencontrèrent un vif succès auprès d'une clientèle fortunée. Ces sarcophages métalliques conçus sur mesure étaient totalement hermétiques, et comportaient un hublot permettant de voir le visage du défunt.
Pour éviter la dégradation du corps, on pouvait faire le vide dans le cercueil, ou le remplir avec un gaz préservant.
Commentaires préférés (3)
Personne n'échappe au fisc.
Ils sont bêtes ces riches. Il suffit de faire comme les Torajas d'Indonésie. On déterre Mémé, on la lave, on l'habille et on peut prendre l'apéro avec elle. A la fin de la journée, on la réenterre et on recommence l'année d'après.
Une tradition très étrange mais qui avait 2 rôles : les honorer et montrer qu'on pense toujours à eux mais aussi pour que la prochaine récolte soit bonne (tradition faite principalement l'été avant de semer)
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Personne n'échappe au fisc.
Ils sont bêtes ces riches. Il suffit de faire comme les Torajas d'Indonésie. On déterre Mémé, on la lave, on l'habille et on peut prendre l'apéro avec elle. A la fin de la journée, on la réenterre et on recommence l'année d'après.
Une tradition très étrange mais qui avait 2 rôles : les honorer et montrer qu'on pense toujours à eux mais aussi pour que la prochaine récolte soit bonne (tradition faite principalement l'été avant de semer)
La vidéo YouTube figurant dans les sources est un bon complément d’anecdote, notamment en ce qui concerne les bodyfarm. Je la recommande à votre visionnage
Suis-je le seul à ne jamais pouvoir ouvrir les liens youtube en source ? Aucun soucis quand c'est en commentaire par contre.
Une niche fiskale