La révolte du camp de Sobibor

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Ouvert par les nazis en 1942, le camp d’extermination de Sobibor fut détruit seulement un an plus tard, après une révolte des prisonniers. Une dizaine de gardes fut tuée à l’aide de hachettes, et près de 300 déportés réussirent à s’évader. Seulement une cinquantaine survécut au conflit mondial.

Les nazis éliminèrent toute trace du camp après son arrêt, ce qui freina la publication des mémoires de Thomas Blatt, l’un des survivants. Entre 200 000 et 250 000 personnes moururent à Sobibor, malgré la courte durée de fonctionnement.


Commentaires préférés (3)

Cette anecdote me rappelle des souvenirs, Il y a un film qui date de la fin des années 80 avec l'acteur Rutger Hauer ce film relate cette évasion, son titre Les Rescapés de Sobibor.

Pour compléter l'anecdote :

- Ce camp d'extermination a été rudement "efficace", car il n'a été un camp d'extermination que de mai 1942 à juillet 1943. En 14 mois, c'est en moyenne 528 personnes qui sont tuées chaque jour. Mais on est monté à bien plus car fin 1942 ce camp avait déjà liquidé la quasi-totalité des juifs du gouvernement général de Pologne. Ce territoire représente environ un quart de la Pologne actuelle. Tellement efficace qu'il n'y avait presque plus personne à tuer, donc Himmler a donné l'ordre de le transformer en camp de concentration.

- L'annonce du changement de statut de ce camp est synonyme de condamnation à mort pour les Arbeitsjudens, les Juifs sélectionnés pour les travaux annexes à l'extermination. Avec l'arrivée de prisonniers juifs de l'Armée Rouge, ils élaborent un plan de révolte. Le jour J, ils tuent 9 gardes SS (le camp en a toujours compté 30 donc c'est presque 1/3 de tué) et 3 gardes Ukrainiens. Sur les 550 Arbeitsjuden, 320 s'enfuient mais beaucoup vont mourir directement, non pas des balles Allemandes mais à cause des mines autour du camp. Ceux qui n'ont pas fuit ont été abattu et un tout tout petit nombre envoyé dans des camps de concentration. En tout, et selon les sources, entre 50 et 58 personnes ont survécu (et ça se compte sur les doigts de la main les survivants qui n'ont pas fuit durant la révolte).

- Les Nazis grands poètes et amoureux de la nature ont planté des arbres et installé une ferme à la place du camp.

Pour compléter les liens de cette anecdote, voici quelques photos récemment rendues publiques (janvier 2020), en rapport avec le camp d'extermination de Sobibor.
elpais-com.cdn.ampproject.org/v/s/elpais.com/elpais/2020/01/28/album/1580238579_576819.amp.html?amp_js_v=a6&amp_gsa=1&usqp=mq331AQHKAFQArABIA%3D%3D#aoh=16189227413530&referrer=https%3A%2F%2Fwww.google.com&amp_tf=De%20%251%24s&ampshare=https%3A%2F%2Felpais.com%2Felpais%2F2020%2F01%2F28%2Falbum%2F1580238579_576819.html

Ces quelques photos (issues d'un lot de 350) appartenaient à Johann Niemann, un des Nazis du camp, et furent remises par ses descendants.

Elles ont, sous deux points, une valeur capitale.
Il ne se connaissaient pas de photos illustrant le camp de Sobibor.
...et sur certaines d'entre-elles, il se reconnaît John Demjanjuk, un Ukrainien qui participa dans l'assassinat des Juifs de Sobibor, fait qu'il niera toute sa vie.
Demjanjuk fut néanmoins extradé et condamné à cinq ans de prison, par un Tribunal Allemand, pour Crime contre l'Humanité.
------------------------------
Un autre camp d'extermination où les prisonniers organisèrent une rébellion et échappée contre leurs assassins, fut celui de Treblinka.
Tout comme celui de Sobibor, les Nazis firent détruire tout reste du camp après ce fait, afin de tenter cacher honteusement le lieu de leur macro-crime.
Le sol fut labouré et une petite maison destiné aux gardes, fut ultérieurement construite.

Sur les 200 prisonniers déportés qui réussirent à échapper du camp de Treblinka, le 02 Août 1943, 70 réussirent à survivre jusqu'à la fin du conflit mondial. Plusieurs d'entre-eux témoignèrent ultérieurement, aux travers d'autobiographies.
Le livre de J.F.Steiner (que vous avez peut être étudié à l'école), est une très bonne référence informative sur ce camp d'extermination Nazi.
C'est il y a 5 ans, que le dernier survivant de Treblinka est décédé. Samuel Willenberg était le dernier homme pouvant encore témoigner à la première personne, de l'horreur quotidienne qui se déroulait dans ce lieu.
Depuis une décennie, quelques recherches archéologiques ont été effectuées sur le lieu du camp d'extermination de Treblinka.
Cette prospection est délicate, car il s'agit aujourd'hui d'un lieu chargé d'une grande valeur émotionnelle et Spirituelle.
Néanmoins, des techniques de recherche non invasives, ont permis d'obtenir des informations dignes de foi, sur l'existence passée, de ce camp d'extermination.

Et si vous vous demandiez combien de camps et ghettos, les Nazis ont pu fonder en Europe occupée, eh bien... Accrochez vous !
42 500.
Entre 15 et 20 millions de prisonniers y sont passés, dont une large part y ont été assassinés.
amp-lefigaro-fr.cdn.ampproject.org/v/s/amp.lefigaro.fr/actualite-france/2013/03/05/01016-20130305ARTFIG00553-une-etude-revoit-a-la-hausse-le-nombre-de-camps-nazis.php?amp_js_v=a6&amp_gsa=1&usqp=mq331AQHKAFQArABIA%3D%3D#aoh=16189253323443&csi=1&referrer=https%3A%2F%2Fwww.google.com&amp_tf=De%20%251%24s&ampshare=https%3A%2F%2Fwww.lefigaro.fr%2Factualite-france%2F2013%2F03%2F05%2F01016-20130305ARTFIG00553-une-etude-revoit-a-la-hausse-le-nombre-de-camps-nazis.php


Tous les commentaires (17)

Cette anecdote me rappelle des souvenirs, Il y a un film qui date de la fin des années 80 avec l'acteur Rutger Hauer ce film relate cette évasion, son titre Les Rescapés de Sobibor.

Ces nazis étaient décidément vraiment pas très sympa

- Ludwig, on ferait pas mieux de leur donner des couteaux à beurre plutôt que des machettes pour manger ?
- Mais ça ne changerait rien, Hermann !
- Bon, si tu le dis...

a écrit : Cette anecdote me rappelle des souvenirs, Il y a un film qui date de la fin des années 80 avec l'acteur Rutger Hauer ce film relate cette évasion, son titre Les Rescapés de Sobibor. Pas assez cool ?

Pas très sympas : expression en décalage énorme avec leurs horribles exactions

Pour compléter l'anecdote :

- Ce camp d'extermination a été rudement "efficace", car il n'a été un camp d'extermination que de mai 1942 à juillet 1943. En 14 mois, c'est en moyenne 528 personnes qui sont tuées chaque jour. Mais on est monté à bien plus car fin 1942 ce camp avait déjà liquidé la quasi-totalité des juifs du gouvernement général de Pologne. Ce territoire représente environ un quart de la Pologne actuelle. Tellement efficace qu'il n'y avait presque plus personne à tuer, donc Himmler a donné l'ordre de le transformer en camp de concentration.

- L'annonce du changement de statut de ce camp est synonyme de condamnation à mort pour les Arbeitsjudens, les Juifs sélectionnés pour les travaux annexes à l'extermination. Avec l'arrivée de prisonniers juifs de l'Armée Rouge, ils élaborent un plan de révolte. Le jour J, ils tuent 9 gardes SS (le camp en a toujours compté 30 donc c'est presque 1/3 de tué) et 3 gardes Ukrainiens. Sur les 550 Arbeitsjuden, 320 s'enfuient mais beaucoup vont mourir directement, non pas des balles Allemandes mais à cause des mines autour du camp. Ceux qui n'ont pas fuit ont été abattu et un tout tout petit nombre envoyé dans des camps de concentration. En tout, et selon les sources, entre 50 et 58 personnes ont survécu (et ça se compte sur les doigts de la main les survivants qui n'ont pas fuit durant la révolte).

- Les Nazis grands poètes et amoureux de la nature ont planté des arbres et installé une ferme à la place du camp.

a écrit : Pas assez cool ?

Pas très sympas : expression en décalage énorme avec leurs horribles exactions
RJV1 est un nazi de la sémentique :D

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Pour compléter les liens de cette anecdote, voici quelques photos récemment rendues publiques (janvier 2020), en rapport avec le camp d'extermination de Sobibor.
elpais-com.cdn.ampproject.org/v/s/elpais.com/elpais/2020/01/28/album/1580238579_576819.amp.html?amp_js_v=a6&amp_gsa=1&usqp=mq331AQHKAFQArABIA%3D%3D#aoh=16189227413530&referrer=https%3A%2F%2Fwww.google.com&amp_tf=De%20%251%24s&ampshare=https%3A%2F%2Felpais.com%2Felpais%2F2020%2F01%2F28%2Falbum%2F1580238579_576819.html

Ces quelques photos (issues d'un lot de 350) appartenaient à Johann Niemann, un des Nazis du camp, et furent remises par ses descendants.

Elles ont, sous deux points, une valeur capitale.
Il ne se connaissaient pas de photos illustrant le camp de Sobibor.
...et sur certaines d'entre-elles, il se reconnaît John Demjanjuk, un Ukrainien qui participa dans l'assassinat des Juifs de Sobibor, fait qu'il niera toute sa vie.
Demjanjuk fut néanmoins extradé et condamné à cinq ans de prison, par un Tribunal Allemand, pour Crime contre l'Humanité.
------------------------------
Un autre camp d'extermination où les prisonniers organisèrent une rébellion et échappée contre leurs assassins, fut celui de Treblinka.
Tout comme celui de Sobibor, les Nazis firent détruire tout reste du camp après ce fait, afin de tenter cacher honteusement le lieu de leur macro-crime.
Le sol fut labouré et une petite maison destiné aux gardes, fut ultérieurement construite.

Sur les 200 prisonniers déportés qui réussirent à échapper du camp de Treblinka, le 02 Août 1943, 70 réussirent à survivre jusqu'à la fin du conflit mondial. Plusieurs d'entre-eux témoignèrent ultérieurement, aux travers d'autobiographies.
Le livre de J.F.Steiner (que vous avez peut être étudié à l'école), est une très bonne référence informative sur ce camp d'extermination Nazi.
C'est il y a 5 ans, que le dernier survivant de Treblinka est décédé. Samuel Willenberg était le dernier homme pouvant encore témoigner à la première personne, de l'horreur quotidienne qui se déroulait dans ce lieu.
Depuis une décennie, quelques recherches archéologiques ont été effectuées sur le lieu du camp d'extermination de Treblinka.
Cette prospection est délicate, car il s'agit aujourd'hui d'un lieu chargé d'une grande valeur émotionnelle et Spirituelle.
Néanmoins, des techniques de recherche non invasives, ont permis d'obtenir des informations dignes de foi, sur l'existence passée, de ce camp d'extermination.

Et si vous vous demandiez combien de camps et ghettos, les Nazis ont pu fonder en Europe occupée, eh bien... Accrochez vous !
42 500.
Entre 15 et 20 millions de prisonniers y sont passés, dont une large part y ont été assassinés.
amp-lefigaro-fr.cdn.ampproject.org/v/s/amp.lefigaro.fr/actualite-france/2013/03/05/01016-20130305ARTFIG00553-une-etude-revoit-a-la-hausse-le-nombre-de-camps-nazis.php?amp_js_v=a6&amp_gsa=1&usqp=mq331AQHKAFQArABIA%3D%3D#aoh=16189253323443&csi=1&referrer=https%3A%2F%2Fwww.google.com&amp_tf=De%20%251%24s&ampshare=https%3A%2F%2Fwww.lefigaro.fr%2Factualite-france%2F2013%2F03%2F05%2F01016-20130305ARTFIG00553-une-etude-revoit-a-la-hausse-le-nombre-de-camps-nazis.php

Je suis toujours effarée de voir que l'on peut "effacer toutes traces" de ce genre de choses.
Effacer les traces physiques je veut bien, on peut raser un bâtiment et reconstruire par-dessus.
Mais il doit y avoir un million de traces écrites de ce genre de choses: bons de livraison des matériaux de construction, affectation de la main d'oeuvre, des soldats et autres employés du site, livraison de matériel et nourriture nécessaire après construction, etc.
Je veut bien croire que l'administration était moins "développée" qu'aujourd'hui, mais très souvent tous ces petits papiers étaient quand même archivés.
Et puis bon on ne peut pas trop compter sur le silence des bons petits soldats. Ils devaient bien se douter qu'après la guerre, qu'elle soit gagnée ou perdue, beaucoup raconteraient leur histoire aux familles ou amis.

a écrit : Je suis toujours effarée de voir que l'on peut "effacer toutes traces" de ce genre de choses.
Effacer les traces physiques je veut bien, on peut raser un bâtiment et reconstruire par-dessus.
Mais il doit y avoir un million de traces écrites de ce genre de choses: bons de livraison des maté
riaux de construction, affectation de la main d'oeuvre, des soldats et autres employés du site, livraison de matériel et nourriture nécessaire après construction, etc.
Je veut bien croire que l'administration était moins "développée" qu'aujourd'hui, mais très souvent tous ces petits papiers étaient quand même archivés.
Et puis bon on ne peut pas trop compter sur le silence des bons petits soldats. Ils devaient bien se douter qu'après la guerre, qu'elle soit gagnée ou perdue, beaucoup raconteraient leur histoire aux familles ou amis.
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Ils ont tenté d'effacer ce qu'ils ont pu, mais cela n'a pas suffi pour dévoiler la vérité, elle finit toujours par ressortir, la vérité. Un jour où l'autre, c'est inévitable.

Sauf si on arrête de la chercher, la vérité, bien entendu.
C'est bien pour ça que les familles qui ont vécu un drame se contrefichent de la prescription... et qu'aujourd'hui encore, mais pas pour longtemps, on trouve encore des coupables de crimes de la seconde guerre mondiale bien planqués.
Rien a foutre qu'ils soient vieux! Qu'ils crèvent en prison, et encore, je suis gentil.

Ce que je trouve consternant c'est que la très grande majorité de ces allemands assassins se sont ensuite retrouvé dans la société civile comme maitres d'école, commerçants, fonctionnaires, policiers, politiciens, ingénieurs, médecins, postiers, comme si rien de tout cela n'était arrivé. Vous avez peut-être croisé l'un deux, et il a même semblé une personne très agréable.
Il y a là une grande contradiction entre la recherche et la condamnation d'un assassin dans notre société civile et celle opérée dans un contexte politique ou militaire.
Evidemment je ne suis pas dupe, voyez les salamalecs que délivrent nos incroyables gouvernants toxiques aux différents Xiaoping de la planète: le business, point.
Et justement, la médiocrité de Nuremberg est le résultat du business qui se dessinait à l'époque.

a écrit : Ce que je trouve consternant c'est que la très grande majorité de ces allemands assassins se sont ensuite retrouvé dans la société civile comme maitres d'école, commerçants, fonctionnaires, policiers, politiciens, ingénieurs, médecins, postiers, comme si rien de tout cela n'était arrivé. Vous avez peut-être croisé l'un deux, et il a même semblé une personne très agréable.
Il y a là une grande contradiction entre la recherche et la condamnation d'un assassin dans notre société civile et celle opérée dans un contexte politique ou militaire.
Evidemment je ne suis pas dupe, voyez les salamalecs que délivrent nos incroyables gouvernants toxiques aux différents Xiaoping de la planète: le business, point.
Et justement, la médiocrité de Nuremberg est le résultat du business qui se dessinait à l'époque.
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Les guerilleros FARC, les soldats de l'IRA, les artisans de l'Apartheid... L'histoire se répète et une vérité se confirme: on ne met pas fin à un massacre de masse en le remplaçant par un autre massacre. On doit pardonner, je n'ai pas dit oublier, mais pardonner et avancer.

a écrit : Je suis toujours effarée de voir que l'on peut "effacer toutes traces" de ce genre de choses.
Effacer les traces physiques je veut bien, on peut raser un bâtiment et reconstruire par-dessus.
Mais il doit y avoir un million de traces écrites de ce genre de choses: bons de livraison des maté
riaux de construction, affectation de la main d'oeuvre, des soldats et autres employés du site, livraison de matériel et nourriture nécessaire après construction, etc.
Je veut bien croire que l'administration était moins "développée" qu'aujourd'hui, mais très souvent tous ces petits papiers étaient quand même archivés.
Et puis bon on ne peut pas trop compter sur le silence des bons petits soldats. Ils devaient bien se douter qu'après la guerre, qu'elle soit gagnée ou perdue, beaucoup raconteraient leur histoire aux familles ou amis.
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Bien sûr qu'il existe des traces, -beaucoup de traces- et on en a encore découvert d'autres, ces dernières années : des fosses communes à la localisation oubliée, ont par exemple été découvertes dans l'Ex-URSS, durant la construction d'une tranchée pour poser un gazoduc.

Il y a aussi des témoignages de conducteurs de trains de wagons à bestiaux remplis de Déportés, qui sont là pour authentifier le Génocide.

Mais il y a surtout des décalages très importants dans le nombre de citoyens civils morts ou disparus durant le Conflit Mondial, qui ne peut que s'expliquer par la finalité voulue d'assassiner, selon l'opinion Politique, l'appartenance Ethnique ou Religieuse.
En France, 1,35% de sa population a trouvé la mort durant la Seconde Guerre Mondiale. Or, parmi les juifs de France, le pourcentage de décès (employons les mots justes: assassinats) grimpe à un peu plus de 20%. Un tel "décalage" ne peut pas du tout s'expliquer par le simple fait du hasard.

.... Et pourtant, il se trouve encore aujourd'hui, des types pour nous vomir des "thèses" de Négationnisme.
Pathétique.

a écrit : Bien sûr qu'il existe des traces, -beaucoup de traces- et on en a encore découvert d'autres, ces dernières années : des fosses communes à la localisation oubliée, ont par exemple été découvertes dans l'Ex-URSS, durant la construction d'une tranchée pour poser un gazoduc.

Il y a aussi
des témoignages de conducteurs de trains de wagons à bestiaux remplis de Déportés, qui sont là pour authentifier le Génocide.

Mais il y a surtout des décalages très importants dans le nombre de citoyens civils morts ou disparus durant le Conflit Mondial, qui ne peut que s'expliquer par la finalité voulue d'assassiner, selon l'opinion Politique, l'appartenance Ethnique ou Religieuse.
En France, 1,35% de sa population a trouvé la mort durant la Seconde Guerre Mondiale. Or, parmi les juifs de France, le pourcentage de décès (employons les mots justes: assassinats) grimpe à un peu plus de 20%. Un tel "décalage" ne peut pas du tout s'expliquer par le simple fait du hasard.

.... Et pourtant, il se trouve encore aujourd'hui, des types pour nous vomir des "thèses" de Négationnisme.
Pathétique.
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".... Et pourtant, il se trouve encore aujourd'hui, des types pour nous vomir des "thèses" de Négationnisme.
Pathétique."

Ce n'est pas pathétique, être pathétique c'est se mentir à soi-même sur la réalité des faits et s'en convaincre tout en en étant conscient, le négationnisme, c'est plutôt comme dire que le feu est froid.

-J'ai tué ces gens parce que je crois que c'était la bonne chose à faire!
Ca c'est pathétique.

-Ce n'ai pas moi qui l'ai tué, c'est mon revolver!
Ca c'est du négationnisme.

Ce n'est pas une critique hein, je veux juste clarifier les choses. :)

a écrit : ".... Et pourtant, il se trouve encore aujourd'hui, des types pour nous vomir des "thèses" de Négationnisme.
Pathétique."

Ce n'est pas pathétique, être pathétique c'est se mentir à soi-même sur la réalité des faits et s'en convaincre tout en en étant conscient,
le négationnisme, c'est plutôt comme dire que le feu est froid.

-J'ai tué ces gens parce que je crois que c'était la bonne chose à faire!
Ca c'est pathétique.

-Ce n'ai pas moi qui l'ai tué, c'est mon revolver!
Ca c'est du négationnisme.

Ce n'est pas une critique hein, je veux juste clarifier les choses. :)
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Sans vouloir t'offenser, mon "canard flingueur".

Pathétique (de chez Larousse) mauvais au point de susciter le mépris et la consternation, lamentable et pitoyable.

Je pense que la définition que tu me donnes, correspond plus pour celle de "Hypocrite".

Mais bon, je peux me tromper.

a écrit : Sans vouloir t'offenser, mon "canard flingueur".

Pathétique (de chez Larousse) mauvais au point de susciter le mépris et la consternation, lamentable et pitoyable.

Je pense que la définition que tu me donnes, correspond plus pour celle de "Hypocrite".

Mais bon, je peux me tromper.
effectivement, tu ne t'est pas trompé.

Je crois que je vais changer mon pathétique profil. ^^

Grammaire :
« Une dizaine de gardes fuRENT tuÉS ».
On ne tue pas la dizaine, mais les dix gardes.
Bonne journée à vous.