Dans certains pays, il existe des « body farms », des zones dans lesquelles on dépose des corps dans différentes postures (jonchant le sol, à moitié immergé, caché dans le coffre d’une voiture, pendu à un arbre) dans le but d’étudier leur décomposition. Les données servent à la police scientifique.
Il y a plusieurs dizaines de ces zones dans le monde. Celle de l’Université du Tennessee fait 10 000 m² et contient en permanence une centaine de corps à différents stades de décomposition et dans différentes postures. Des centaines d’autres corps sont légués chaque année, soit par les personnes dans leur testament, soit par les familles souhaitant aider la science à progresser dans le domaine.
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Ça me rappelle un épisode de la série Bones...