Un détachement belge fut envoyé en Russie pendant la Première Guerre mondiale. L'unité fut prise dans la révolution russe puis dans la guerre civile. Les Belges qui ne pouvaient rentrer par l'Europe durent faire le tour du monde en passant par les États-Unis pour rejoindre la Belgique, libre.
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Une histoire belge dans toute sa splendeur :-)
Les allemands l'attrape à leur tour, l'enrôle dans leur armée pensent que c'était un japonais et l'envoi en Normandie où finalement les américains l'attrape.
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J'étais persuadé que cette anecdote avait déja été publiée, mais en fait non.
Serais je victime de crytomnésie inversée ??!!
Une histoire belge dans toute sa splendeur :-)
Ah, la mémoire et l'age ne fait pas bon ménage !
Ca a pas déja été posté ca ?
Elle est pas mal celle-là, je reprends Leolio sur l'orthographe d'un mot et je fait une faute sur le même mot.
Non mais quel c** !
Excellent début de scénario.
Les allemands l'attrape à leur tour, l'enrôle dans leur armée pensent que c'était un japonais et l'envoi en Normandie où finalement les américains l'attrape.
Ce belges étaient des équipages d'automitrailleuses. Suite à la révolution, ils les ont vendues afin de pouvoir se payer le voyage jusqu'à l'autre bout de la Russie.
Le SEUM !
-Bon les loulous, voila le tableau. Plan A: On traverse deux fois les lignes ennemies plus leur territoire dans le sens de la longueur pour rentrer. C'est plus court mais faut bien baisser la tête pour éviter les balles. Plan B: On fait le tour du monde. Vous décidez quoi?
-Plan B, chef. Après tout, engagez-vous, vous verrez du pays, qu'ils disaient, donc autant faire honneur à la tradition!
-Ouais, et au passage, on en profitera pour goûter des oeufs parfaits en traversant la Chine.
La Belgique, libre ... Pas tout à fait. Seule une petite partie de la Belgique est restée libre durant la Première Guerre mondiale. Plus précisément, c'était une zone frontalière avec la France et englobée par l'Yser, un petit fleuve côtier. C'est d'ailleurs grâce à ce dernier que les Belges ont pu arrêter l'avancée des Allemands. Le commandement de l'époque a en effet eu la brillante idée d'inonder les plaines environnentes pour stopper les ennemis, en ouvrant les vannes des écluses à marée montante et en les refermant à marée descendante.
Et pour continuer l'anecdote, les soldats furent bien de retour sur le sol européen en juillet 1918, un peu avant la fin de la guerre.