La loi des titres de Betteridge est une règle empirique visant à lutter contre le journalisme désinformatif. Elle énonce que si un titre d'article de presse est une question, alors la réponse est "non". En effet, un journaliste sûr de son affirmation n'a pas besoin de le présenter via une question.
Le créateur de cette loi, Ian Betteridge, enfreignit sa propre loi quelque temps après en écrivant un article intitulé "Le Mac App Store d'Apple permet-il d'utiliser ses logiciels à des fins commerciales ?"
Il se défendit toutefois en expliquant que, dans ce cas particulier, la réponse avait été "oui."
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Ca me paraît facile et orgueilleux ! Mais bon c'est qu'une impression hein haha.
Ce qui signifie qu'au maximum. 2% de la population décidait.
Un petit groupe de priviligiés qui décidé de tout = aristocratie
La question des médias est extrêmement compliquée aujourd'hui quand on sait que la plupart sont détenus par des grands groupes qui ont à la fois des intérêts financiers et politiques. (Je ne parle pas de la rubrique chats écrasés et autres faits divers, mais de l'information "utile" à la démocratie, à la république, etc)
On peut facilement arriver à la conclusion qu'on pourrait encadrer les médias. Seul petit problème : les libertés d'expression et de la presse sont fondamentales pour notre système politique.
Mais la presse est-elle vraiment libre quand elle est possédée par un grand groupe industriel / financier ?
Bref. Très compliqué tout ça.
Donc, dans la phrase, il n'est pas abordé le sujet d'une "bonne information" ..
Elle signifie être mal informé dans le sens "l'information donnée est erronée"
=> "les chats sont capables de voler", information erronée, fausse.
Toi tu parles des idées que souhaitent véhiculer chacun de ces journaux, ce qui amène la question de point de vue.
La différence de perception que peuvent voir chacun d'un journaux que tu as cité n'amène pas d'informations "erronées" en tant que telles, elle amène simplement des informations sous des points de vus différents.
Après, il s'agit de trouver une vision qui s'approche le plus de notre réalité parmi les affirmations de chacun de ces journaux, c'est ce qui fait la diversité des opinions.
Et justement, dans ce cas de figure, il n'y a pas d'informations bonnes ou mauvaises vu que chacun d'entre nous perçoit le monde qui l'entoure a sa manière et créer donc sa propre réalité, sa propre vérité.