Au début de l'aviation, on se tirait dessus à coup de fusil

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Au début de la Première Guerre Mondiale, les pilotes des avions de reconnaissance et des bombardiers s'affrontaient avec leurs fusils ou leur armes de poing, avec une précision bien aléatoire. Mais en janvier 1915, Raymond Saulnier et un certain Roland Garros mirent au point la mitrailleuse embarquée et le tir à travers l'hélice.


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Et si les balles ricoche sur l'hélice ?

a écrit : Merci Roland et Raymond! invention utile ou inutile.. Utile entre de bonnes mains inutile dans d'autre.. Quelque soit son utilisateur, cette invention est forcément utile.

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a écrit : Merci Roland et Raymond! invention utile ou inutile.. Utile entre de bonnes mains inutile dans d'autre.. Explique nous quand et dans qu'elle mains ça a une utilité ?

a écrit : Il est dit dans les sources que les tirs étaient synchronisés avec l'hélice mais que parfois les balles touchaient celle ci..... Qui était tout de même blindé : ouf mais pas tellement rassurant en plein vol ! Les sources sont complètement fausse car les mitrailleuses n'était pas du tout synchronisées avec les pâles. Roland garros testa en fait la résistance de pâles semblable a celle des avions de l'époque : il tira à travers les pales d'un ventilo. Il remarqua deux choses : la première étant que les balles touchaient rarement les pâles et la deuxième étant que les pâles n'était pas ou peu abimées par les balles de son arme.

Donc les tournois de tennis on lieu sur des terrains en l'honneur d'un meurtrier de guerre ?! Enfin, meurtrier, on dit héro dans certains pays ;-)

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a écrit : Ça projetait des balles de tennis? Bah oui !!!

a écrit : Explique nous quand et dans qu'elle mains ça a une utilité ? Dans les mains d'un pilote de chasse, en situation de conflit, au hasard ? Parce que je me doute qu'un jardinier à la pleine lune n'aura pas grande utilité de ce système...

a écrit : Donc les tournois de tennis on lieu sur des terrains en l'honneur d'un meurtrier de guerre ?! Enfin, meurtrier, on dit héro dans certains pays ;-) Le stade Roland-Garros, et par extension le célèbre tournoi qui s'y déroule, a été nommé en l'honneur d'un sportif accompli, d'un aviateur courageux qui a eu plusieurs record à son actif, d'un pilote de chasse doué, inventeur d'un système qui a révolutionné l'aviation militaire, d'un soldat qui s'est évadé après trois ans d'essais infructueux et d'une captivité très dure, et qui finalement est mort au combat.

Tu ne connais pas Roland Garros, sinon tu ne dirais pas que c'était un meurtrier. C'était un soldat, qui par ailleurs a accomplis nombre d'exploit remarquables dans sa vie, pas un criminel de guerre. Je te prierais donc de ne pas insulter sa mémoire en le traitant d'assassin.

Ces anecdotes sur l'aéronautique sont juste des développement des QCM du B.I.A :P
Je plaisante, pour les plaisantins sur la blague du tennis, sachez qu'une anecdote en rapport dit pourquoi est-ce que le terrain de tennis a pris le nom de ce grand aviateur.

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a écrit : Quelqu'un peu m'expliquer comment il tiraient à travers l'hélice ? Tu n as jamais vu de cylindre (canon) â l'axe de l helice?

a écrit : Tir à travers l'hélice? Je dis peut-être une bêtise mais les balles ne heurtaient jamais les pales? Non, car les tirs etaient synchronisés avec la rotation de l'hélice :)

D'ailleurs, les pilotes français patrouillant à la frontière et se faisant toucher tentaient le tout pour le tout afin de ne pas tomber en territoire ennemi, mais ca n'a pas empêché les Allemands de récupérer la technologie apres quelques mois.

Mais Rolland Garros c'est surtout la première traversée de la Méditerranée en avion, en 1913 !

Source: Mes cours de BIA

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a écrit : Il "suffit" que le moteur qui entraîne l'hélice entraîne aussi une sorte de barillet, un peu comme une gatling. en théorie on a un synchronisation parfaite peu importe la vitesse de rotation de l'hélice, comme elle est couplée au rotor de l'arme.

Je parle a priori, je vais me rense
igner un peu, car c'est un petit défi technique quand même !

edit : bon, en vue des commentaires plus haut.. c'est pas ça ^^ dommage
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Le principe n'est pas mauvais
Il doit y avoir Du vrai dans ce que tu dis

a écrit : Il "suffit" que le moteur qui entraîne l'hélice entraîne aussi une sorte de barillet, un peu comme une gatling. en théorie on a un synchronisation parfaite peu importe la vitesse de rotation de l'hélice, comme elle est couplée au rotor de l'arme.

Je parle a priori, je vais me rense
igner un peu, car c'est un petit défi technique quand même !

edit : bon, en vue des commentaires plus haut.. c'est pas ça ^^ dommage
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Ce système n'est pas inintéressant ; les mitrailleuses gatlings ont en effet besoin d'une source d'énergie externe qui peut être fournie par le moteur de l'avion lui-même, et assurer la même vitesse de rotation entre les canons de la mitrailleuse et les pales est un bon moyen de synchroniser le tir.

Cependant, les mitrailleuses gatlings ont un gros inconvénient : elles sont très lourdes. Aujourd'hui, cela ne pose plus problème, car les moteurs des avions sont suffisamment puissant ; mais à l'époque, chaque kilogramme compte. Une mitrailleuse classique monocanon avec son système de synchronisation pneumatique est bien plus léger qu'une mitrailleuse gatling avec un système d'embrayage, ce qui explique leur non-utilisation.

D'autant qu'il n'existait pas à l'époque de mitrailleuse gatling en utilisation chez les belligérants, alors que les mitrailleuses classiques étaient disponibles immédiatement...

a écrit : Pour l'époque, reussir à creer une mitraillette qui soit calcer avec précision sur l'hélice, c'était un exploit technologique impressionnent :) Simplement un arbre accouplé à l'hélice, arbre qui est réglé pour pour percuter la douille au moment ou la-dite hélice (qui je le rappelle avait bien souvent seulement deux pales) n'est pas en face du canon. Rien d'insurmontable pour l'époque dans la réalisation bro'.

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a écrit : Il est dit dans les sources que les tirs étaient synchronisés avec l'hélice mais que parfois les balles touchaient celle ci..... Qui était tout de même blindé : ouf mais pas tellement rassurant en plein vol ! Bah, ce qui était risqué c'était de prendre les éclat de balles dans la tronche... et vu qu'il ne tiraient pas des cailloux de devait faire mal

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a écrit : Quelqu'un peu m'expliquer comment il tiraient à travers l'hélice ? En fait sa tirait seulement quand la pâle n'était pas devant le canon, mais comme un balle sa va vite et la pâle aussi (la balle est quand même 2 à 3 fois plus rapide je pense ^^) tu ne distingue pas bien le délais de tir donc tu crois que le pilote tire et qu'il prie pour que sa ne touche pas les pales

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a écrit : Il "suffit" que le moteur qui entraîne l'hélice entraîne aussi une sorte de barillet, un peu comme une gatling. en théorie on a un synchronisation parfaite peu importe la vitesse de rotation de l'hélice, comme elle est couplée au rotor de l'arme.

Je parle a priori, je vais me rense
igner un peu, car c'est un petit défi technique quand même !

edit : bon, en vue des commentaires plus haut.. c'est pas ça ^^ dommage
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Je pense que l'hélice devrait faire fonctionner un percuteur à chaque fois qu'elle était à l'horizontale ( je parle des hélices à deux pales) ce qui évitait de tirer sur les pales et donc éviter de s'écraser misérablement à cause d'un défaut de fabrication =P

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a écrit : Ok mais qui ce faisait chier a ramasser les balles ??? Bah... personne ^^

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a écrit : Tu n as jamais vu de cylindre (canon) â l'axe de l helice? Oui mais sa c'est un autre système, mais néanmoins intelligent

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