La colombe n'existe que pour les francophones

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Le terme "colombe" est typiquement francophone et ne correspond pas à une classification scientifique : dans les autres langues, il n'existe pas de distinction entre le pigeon et la noble colombe. D'un point de vue biologique, ils appartiennent à la même espèce : celle des pigeons bisets. Une colombe dans le sens courant n'est donc qu'une race de pigeon au plumage blanc.


Tous les commentaires (111)

a écrit : Ben oui mais si on dirait les pigeons de la paix ça serait moins la classe !!!! Mdr Sauf que si on les appellerait (salut marinnette) pigeons de la paix on serait plus réalistes.

(Enfin à ma connaissance y a que chez les français -ou d autres aussi, les francophones par ex?- que pigeon signifie couillon, mais pigeonne de la paix ça va bien je trouve.)

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a écrit : Par chez moi, dans la Drôme, il y a un élevage de pigeons !! Et je peux te dire que c'est bon !!! Rillettes de pigeons, pigeons frais à cuisiner, c'est une " volaille ". Tu manges bien des poulets, des cailles ?? Bien, là, pareil !!! Un délice !!! Tu ne connais pas le pigeon aux petits pois ??? Quel dommage.... Tu devrais en parler avec ton volailler, si tu en as un. Sinon, vois peut-être avec ton boucher-charcutier ?!?! Bonne découverte et bonne dégustation !!!!!! Afficher tout Je confirme : Le pigeon se mange, et c'est très bon.

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a écrit : Sauf que si on les appellerait (salut marinnette) pigeons de la paix on serait plus réalistes.

(Enfin à ma connaissance y a que chez les français -ou d autres aussi, les francophones par ex?- que pigeon signifie couillon, mais pigeonne de la paix ça va bien je trouve.)
Ah enfin quelqu'un qui parle le même patois que moi !
Ben voui les pigeons de la paix (et de l'orthographe) sont légion !

a écrit : Un peu de lecture pour que tu comprennes enfin...


Leçon de la langue Française :

« Si j'aurais su, j'aurais pas venu ! »

Citation cultissime tirée du roman (ou du film) La guerre des boutons, cette expression laisse paraître deux erreurs de français : d'une p
art « si j'aurais su », dont le mode (conditionnel) ne peut pas être employé avec le mot subordonnant « si », et d'autre part « j'aurais pas venu », dans laquelle le participe passé de « venir » est combiné avec le verbe « avoir » au lieu du verbe « être » (on dit « être venu »). On ne s'intéressera qu'au premier.

Mettons-nous en situation...
P1 : Salut ! Tu te souviens de moi ? On s'est aperçu hier soir...
P2 : C’est pas vrai ? Si j’aurais su que c’était toi que j’ai vu ce soir-là, je serais venu à ta rencontre !

Où est l’erreur ? On ne peut pas écrire « si j’aurais su », cette formulation est incorrecte.
Pourquoi ? Dans cette phrase, on utilise deux méthodes de construction d'une phrase qui imposent toutes deux une condition, puisque :

Le mot « si » (on l'appelle subordonnée) marque automatiquement une condition : « si je fais à manger, tu mets la table. » peut autrement signifier « je fais à manger à condition que tu mettes la table ».
Le conditionnel (présent) « aurais su » fait lui-même état d'une condition dans la phrase, d'ailleurs ce mode existe en théorie pour cela et ne porte pas ce nom pour rien.

La solution…
Les solutions sont proposées directement par les règles instaurées par la grammaire française elle-même. Vous avez ainsi deux possibilités. Soit vous utilisez le conditionnel, soit vous utilisez le mot subordonnant « si », mais pas les deux en même temps !

Utilisation du conditionnel : « J’aurais su, je n’y serais pas allé. » Cette phrase, telle qu’elle est écrite ici, est tout à fait correcte et ne nécessite aucune transformation. On a tendance à rajouter « si » en début de phrase : c'est inutile et incorrect.

Utilisation d’un terme à caractère conditionnel (si) : « Si j’avais su, je n’y serais pas allé. » En quelques mots : lorsque l'on utilise « si », on n'utilise pas le conditionnel. Pourquoi ? Parce que le mot « si » est ce que l'on appelle une subordonnée conjonctive de condition, il ne peut donc jamais être suivi d'un temps du conditionnel. Pour s'exprimer correctement, on préférera certains temps du mode indicatif, dont le plus-que-parfait par exemple (si j'avais su), le présent (si je sais) ou encore l'imparfait (si tu savais).
On notera que le conditionnel est réutilisé en deuxième partie de phrase dans les deux cas : « J’aurais su, je n’y serais pas allé. » et « Si j’avais su, je n’y serais pas allé. »

Pour résumer,, lorsqu’une phrase commence par « si » dans le cas d’une condition, on n’utilise pas le conditionnel. A l’inverse, si l’on emploie le conditionnel dans la phrase, on n’utilise pas la conjonction « si ».
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Sauf qu'a relire Renette et Poland Tartes on redécouvre l'emploi substantatif du conditionnel subordonné au (p)Si... Ce qui fait qu'incommensurablement il suppute évident que la tournure archaïque du "si on aurait venu on aurait vaincu" est l'exacte traduction de la locution latine césarienne de l'empereur...
Et que faute a une querelle de traducteurs épiscopaliens du IXeme siècle la tradition traductionnarielle retint que les scies n'aimeront pas les raies, erreur pourtant largement condamnée dans l'Apostrophe de bernard pivot du 23 juillet 198X, suite à quoi l'académie patateticienne édictât une loi autorisant pour toujours toutes l'attitudes avec le scie.
Ce qui semblasse par ailleurs plussoyer indubitablement au fait que les chambrelans pussoient clamer en place publique comme dans les chaumières : si "j'aurais su, j'aurais venu !"

a écrit : Sauf qu'a relire Renette et Poland Tartes on redécouvre l'emploi substantatif du conditionnel subordonné au (p)Si... Ce qui fait qu'incommensurablement il suppute évident que la tournure archaïque du "si on aurait venu on aurait vaincu" est l'exacte traduction de la locution latine césarienne de l'empereur...
Et que faute a une querelle de traducteurs épiscopaliens du IXeme siècle la tradition traductionnarielle retint que les scies n'aimeront pas les raies, erreur pourtant largement condamnée dans l'Apostrophe de bernard pivot du 23 juillet 198X, suite à quoi l'académie patateticienne édictât une loi autorisant pour toujours toutes l'attitudes avec le scie.
Ce qui semblasse par ailleurs plussoyer indubitablement au fait que les chambrelans pussoient clamer en place publique comme dans les chaumières : si "j'aurais su, j'aurais venu !"
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Et tu comprends vraiment ce que tu as écrit ?!?!?!

a écrit : Sauf qu'a relire Renette et Poland Tartes on redécouvre l'emploi substantatif du conditionnel subordonné au (p)Si... Ce qui fait qu'incommensurablement il suppute évident que la tournure archaïque du "si on aurait venu on aurait vaincu" est l'exacte traduction de la locution latine césarienne de l'empereur...
Et que faute a une querelle de traducteurs épiscopaliens du IXeme siècle la tradition traductionnarielle retint que les scies n'aimeront pas les raies, erreur pourtant largement condamnée dans l'Apostrophe de bernard pivot du 23 juillet 198X, suite à quoi l'académie patateticienne édictât une loi autorisant pour toujours toutes l'attitudes avec le scie.
Ce qui semblasse par ailleurs plussoyer indubitablement au fait que les chambrelans pussoient clamer en place publique comme dans les chaumières : si "j'aurais su, j'aurais venu !"
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Ce n'est pas toi qui a dit dans l'anecdote précédente : "la culture c'est comme la confiture, moins on en a, plus on l'étale" ?

Et bien pour le coup tu l'as sacrément étalé, et tu as fait une belle tartine ! Bon ap !

a écrit : Pourtant dans les sites et dictionnaires de traduction en anglais "colombe" se dit " dove " et "pigeon" se dit " pigeon " ? En plus le logo de la marque " dove " est une colombe , alors est ce que le terme " dove " ne désignerait pas plutot le terme " colombe " que le terme pigeon ? La différenciation entre colmbe et pigeons n'est pas spécifiquement francophone : on fait la différence en breton : Koulm pour la colombe et Pigeon (pron. pichenn)

C'est sur, "les pigeons de la paix" c'est tout de suite moins crédible

a écrit : Sauf qu'a relire Renette et Poland Tartes on redécouvre l'emploi substantatif du conditionnel subordonné au (p)Si... Ce qui fait qu'incommensurablement il suppute évident que la tournure archaïque du "si on aurait venu on aurait vaincu" est l'exacte traduction de la locution latine césarienne de l'empereur...
Et que faute a une querelle de traducteurs épiscopaliens du IXeme siècle la tradition traductionnarielle retint que les scies n'aimeront pas les raies, erreur pourtant largement condamnée dans l'Apostrophe de bernard pivot du 23 juillet 198X, suite à quoi l'académie patateticienne édictât une loi autorisant pour toujours toutes l'attitudes avec le scie.
Ce qui semblasse par ailleurs plussoyer indubitablement au fait que les chambrelans pussoient clamer en place publique comme dans les chaumières : si "j'aurais su, j'aurais venu !"
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J'en reste coi...

Tu peux répéter plus lentement?

Ce n'est pas vrai du tout.
En italien colombe est "colomba" e pigeon "piccione".
En anglais "dove" traduit parfaitement colombe, mais pas pigeon. Ici on ne parle pas d'étymologie, mais de valeur sémantique du mot.

a écrit : Pourtant dans les sites et dictionnaires de traduction en anglais "colombe" se dit " dove " et "pigeon" se dit " pigeon " ? En plus le logo de la marque " dove " est une colombe , alors est ce que le terme " dove " ne désignerait pas plutot le terme " colombe " que le terme pigeon ? absolumineusement. Anectode fausse.

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