Le Mur de Berlin mesurait 155 kilomètres de longueur sur près de 4 mètres de hauteur et comportait 302 miradors, ce qui occupait du monde pour en assurer la surveillance : plus de 14 000 gardes et 600 chiens étaient employés à cet effet.
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Le Mur de Berlin mesurait 155 kilomètres de longueur sur près de 4 mètres de hauteur et comportait 302 miradors, ce qui occupait du monde pour en assurer la surveillance : plus de 14 000 gardes et 600 chiens étaient employés à cet effet.
Commentaires préférés (3)
Beaucoup de ces chiens ont été adoptés par leurs anciens maîtres-chien ou par des familles locales après la chute du mur. Certaines organisations ont facilité ces adoptions, cherchant à offrir aux chiens une nouvelle vie en dehors de leurs rôles de surveillance. Il est rapporté que les chiens restants ont été soit réaffectés à d'autres rôles ou, malheureusement, dans certains cas, euthanasiés en raison de leur âge ou de leur agressivité conditionnée par leur entraînement strict sous la RDA.L'histoire des chiens de garde du mur de Berlin reflète la complexité de la réunification allemande, où même les animaux ont été touchés par les bouleversements politiques et sociaux de l'époque. Cette situation particulière des chiens montre également comment les symboles et outils de division peuvent devenir, à leur tour, des sujets de réconciliation et de réadaptation après des périodes de conflits.
Deux petites anecdotes pour illustrer cela :
Un chien nommé "Vopo" (abréviation pour "Volkspolizei" ou police du peuple de l'Allemagne de l'Est) est devenu célèbre après sa réhabilitation. Après avoir été adopté par une famille de l'Allemagne de l'Ouest, Vopo est devenu le compagnon fidèle d'un jeune garçon qui, lui aussi, venait de l'Est. Le chien et l'enfant, tous deux déplacés de leurs maisons à cause de la réunification, ont formé un lien spécial, illustrant les nombreux petits miracles de l'unification allemande.
Un autre chien, appelé "Arko", a été adopté par une famille vivant près de Potsdam, à l'ouest de Berlin. Arko, qui avait été un chien de garde vigilant, a eu du mal à s'habituer à la vie sans murs à surveiller. Cependant, grâce à une formation intensive et à un peu de patience, il est finalement devenu un chien de famille doux et affectueux. Sa transition de la vigilance militaire à la vie de famille a été largement couverte par la presse locale comme un symbole de transformation et de réconciliation après la guerre froide.
Pour y être allé, je confirme, il reste pas mal de morceaux debout encore.
Tous les commentaires (11)
Aujourd'hui encore, la Russie applique cette recette miracle pour doper son économie et lutter contre le chômage :)
Dans un devoir de mémoire, reste t-il beaucoup de portions de mur dans la ville de Berlin.
Beaucoup de ces chiens ont été adoptés par leurs anciens maîtres-chien ou par des familles locales après la chute du mur. Certaines organisations ont facilité ces adoptions, cherchant à offrir aux chiens une nouvelle vie en dehors de leurs rôles de surveillance. Il est rapporté que les chiens restants ont été soit réaffectés à d'autres rôles ou, malheureusement, dans certains cas, euthanasiés en raison de leur âge ou de leur agressivité conditionnée par leur entraînement strict sous la RDA.L'histoire des chiens de garde du mur de Berlin reflète la complexité de la réunification allemande, où même les animaux ont été touchés par les bouleversements politiques et sociaux de l'époque. Cette situation particulière des chiens montre également comment les symboles et outils de division peuvent devenir, à leur tour, des sujets de réconciliation et de réadaptation après des périodes de conflits.
Deux petites anecdotes pour illustrer cela :
Un chien nommé "Vopo" (abréviation pour "Volkspolizei" ou police du peuple de l'Allemagne de l'Est) est devenu célèbre après sa réhabilitation. Après avoir été adopté par une famille de l'Allemagne de l'Ouest, Vopo est devenu le compagnon fidèle d'un jeune garçon qui, lui aussi, venait de l'Est. Le chien et l'enfant, tous deux déplacés de leurs maisons à cause de la réunification, ont formé un lien spécial, illustrant les nombreux petits miracles de l'unification allemande.
Un autre chien, appelé "Arko", a été adopté par une famille vivant près de Potsdam, à l'ouest de Berlin. Arko, qui avait été un chien de garde vigilant, a eu du mal à s'habituer à la vie sans murs à surveiller. Cependant, grâce à une formation intensive et à un peu de patience, il est finalement devenu un chien de famille doux et affectueux. Sa transition de la vigilance militaire à la vie de famille a été largement couverte par la presse locale comme un symbole de transformation et de réconciliation après la guerre froide.
Pour y être allé, je confirme, il reste pas mal de morceaux debout encore.
Maintenant on peut même devenir coach de coach de coach sur Instagram.
Sûrement les petits enfants...
A faire de l'argent avec n'importe quoi on a limite eu chaud que le mur ne se retrouve pas sur l'Atlantique.
Daniel Prevost, si tu nous lis... ;-)
Les chiens dans toutes les armées, y compris l'armée française, sont des machines de guerre qu'il est toujours difficile de réformer.
J'en ai croisé pendant mon service militaire, ces chiens sont impressionnants de sang-froid et de dangerosité.
Lui ne fait que vendre une matière déjà produite.
Les gens qui achètent sont contents.
Tout le monde est content.