Le Parc national Wapusk, au Canada, n'a que 150 visiteurs par an. L'accès est en effet restreint pour protéger la faune et la flore, et à cause du risque d'attaque d'ours blancs. Ainsi, les visiteurs doivent porter une arme ou être accompagnés par un guide habilité, le plus souvent muni d'un fusil à pompe, lorsqu'ils sortent d'une enceinte protégée.
Commentaires préférés (3)
Bah avec 150 visiteurs seulement par an, y mange quoi l’ours blanc ??
C'est toujours un sujet assez compliqué que les différentes approches de la protection de la nature.
Déjà il y a l'angle nord américain très axé sanctuarisation du lieu (quit a virer les populations locales), faire payer l'entrée. Un peu parc d'attraction naturel. On finance le parc comme ça.
Puis il y a l'angle qu'on a adopté en France où la nature est un bien commun et on a pas à payer pour les parcs naturels. De plus, on peut vivre dans un parc. On considère que les retombées economiques indirects financent le parc.
Et puis il y a la limitation du nombre de visiteur. Dans la première approche ca se fait financièrement, des prix élevés et des prestations premium reduise le volume de visiteur mais augmente la valeur. Ca fait un peu privatisation.
Dans la seconde approche, il y a la profusion : si on a suffisamment d'endroit sympathique, tout le monde va pas vouloir aller au même. Et le cas échéant un système de réservation permet de réguler, genre le mont Blanc.
Je suis allé au Torres del Paine au Chili. Une journée de rando entre le transport, l'entrée et l'emplacement coûte dans les $100.
J'ai fait le gr20 en Corse. Une journée coutait 6€ pour l'emplacement de tente.
Le Torres del Paine était une autoroute très abîmé par le tourisme et noir de monde. Sur le GR20 il y avait un nombre très raisonnable de randonneurs.
Il y a une approche que je trouve quand même beaucoup plus efficace.
Bon faut dire que les parcs chiliens ont une gestion quasi mafieuse.
On l'a fait un 4 juillet, jour de fête nationale, on nous avait parlé de réservation devant être pris 3 ans à l'avance pour cette date.
Parti à l'improviste, fleur au fusil, on a quand même eu la chance de se greffer sur la réservation d'une dame (venue d'Ethiopie avec son fils) sur laquelle deux personnes étaient manquantes (en 3 ans, il peut y avoir pas mal de contre temps).
Bah du coup c'était gratuit pour nous.
Tous les commentaires (40)
Bah avec 150 visiteurs seulement par an, y mange quoi l’ours blanc ??
C'est toujours un sujet assez compliqué que les différentes approches de la protection de la nature.
Déjà il y a l'angle nord américain très axé sanctuarisation du lieu (quit a virer les populations locales), faire payer l'entrée. Un peu parc d'attraction naturel. On finance le parc comme ça.
Puis il y a l'angle qu'on a adopté en France où la nature est un bien commun et on a pas à payer pour les parcs naturels. De plus, on peut vivre dans un parc. On considère que les retombées economiques indirects financent le parc.
Et puis il y a la limitation du nombre de visiteur. Dans la première approche ca se fait financièrement, des prix élevés et des prestations premium reduise le volume de visiteur mais augmente la valeur. Ca fait un peu privatisation.
Dans la seconde approche, il y a la profusion : si on a suffisamment d'endroit sympathique, tout le monde va pas vouloir aller au même. Et le cas échéant un système de réservation permet de réguler, genre le mont Blanc.
Je suis allé au Torres del Paine au Chili. Une journée de rando entre le transport, l'entrée et l'emplacement coûte dans les $100.
J'ai fait le gr20 en Corse. Une journée coutait 6€ pour l'emplacement de tente.
Le Torres del Paine était une autoroute très abîmé par le tourisme et noir de monde. Sur le GR20 il y avait un nombre très raisonnable de randonneurs.
Il y a une approche que je trouve quand même beaucoup plus efficace.
Bon faut dire que les parcs chiliens ont une gestion quasi mafieuse.
Un lien wikipedia en français (plus sommaire) :
fr.wikipedia.org/wiki/Parc_national_Wapusk?wprov=sfla1
On y apprend que le cri est une langue algonquienne (famille de langues parlées en Amérique du nord) parlée par les Cris.
On l'a fait un 4 juillet, jour de fête nationale, on nous avait parlé de réservation devant être pris 3 ans à l'avance pour cette date.
Parti à l'improviste, fleur au fusil, on a quand même eu la chance de se greffer sur la réservation d'une dame (venue d'Ethiopie avec son fils) sur laquelle deux personnes étaient manquantes (en 3 ans, il peut y avoir pas mal de contre temps).
Bah du coup c'était gratuit pour nous.
Par contre, le camping sauvage est interdit, à cause des abus, des gros cons qui font n'importequoi, ça, c'est triste. J'ai toujours été respectueux de la nature, et la première règle consiste à mettre ses déchets dans son sac à dos en partant...
La seconde consiste à éviter d'écrabouiller la nature avec des chaussures de marche... les sentiers, c'est pas pour les lapins! ^^
C'est le cas en ce moment dans le parc naturel de Chartreuse où le Marquis de Quinsonnas commence à interdire le passage sur "ses" chemins qui font bien partie du parc naturel. Par contre, organiser des safaris de chasse dans le parc, ça ne le dérange pas et il en fait même un business très lucratif !
Par camping, on entend plusieurs jours au même endroit, et bivouac, c'est juste pour passer la nuit.
La France c'est encore cool comparé à l'Espagne par exemple.
J'ai été très marquée par les panneaux "Down is optional, Up is mandatory" qui longent la marche...
Très amusée aussi de voir...les "randonneurs du dimanche" , en tongues, aller uniquement sur le haut du plateau, parfois se risquer à descendre jusqu'au premier palier...
C'est un autre monde, les USA.
Si les visiteurs sont munis d’une arme c’est certeinement pour se défendre de l’attaque d’un ours blanc et donc prendre le risque de le buter
Ou es l’intérêt de visiter ce parc ?
Si vous optez pour des vacances itinérantes en Espagne, mieux vaut savoir avant tout, ce qui est interdit par rapport au camping...
En règle générale, mieux vaut partir du principe qu'il est interdit de planter sa tente, en dehors des campings et des zones habilitées par les municipalités à cet effet.
Néanmoins, il y a des exceptions, tant au niveau Régional (Communautés Autonomes) comme Municipales.
Il y a, par contre, une autre forme de "camping" qui est autorisé sur tout le territoire: Le "vivac" ou "vivaquear" qui en bon Francais de Molière, n'est autre que le bivouac, ou bivouaquer.
Comme dans beaucoup d'autres aspects, tout est dans la subtilité... vous pouvez dormir bien au chaud dans votre sac de couchage, à l'orée d'un bois, par exemple...si vous ne vous trouvez pas à l'intérieur d'une tente. Bref, dormir "à la belle étoile" ....et tant pis s'il se met à pleuvoir à 03 heures du mat'.
Par ailleurs, vous ne pouvez pas faire de feu pour vous réchauffer votre dîner... mais un petit réchaud à gaz, pour arriver au même résultat, est autorisé.
Et il y a encore une exception... vous pouvez faire du feu pour réchauffer votre gamelle, si vous vous trouvez au sein d'une zone destinée à préparer un barbecue, qui sont invariablement construites en ciment ou ciment et briques.
Dans certaines communautés, existent encore des exceptions, comme celles concernant la finalité du camping, ou encore le nombre de participants, ou le nombre de tentes.
Il faut vraiment être désespéré pour bouffer un être humain! ^^
Les abus... le P.Q, c'est biodégradable, c'est trop difficile de l'enterrer? C'est de ça que je parle, et du reste! ^^
Après c'est clair qu'il faut respecter la nature et l'endroit, je ne comprend même pas la motivation pour laisser traîner des déchets lors d'une rando, si on en fait c'est parce qu'on aime la nature, donc on la respect, non?
Quand j'étais plus jeune 10-12 ans, on allait camper dans un petit bois près de chez nous pendant quelques jours, c'était une autre époque, les adultes du coin devaient sans doute faire la même chose plus jeune et ça semblait normal, maintenant la génération a changée, beaucoup plus de balises, beaucoup de justiciers et de juges, envoyer 3452 par SMS et voter pour le meilleur chanteur, pâtissier, coiffeur, aventurier,....
C'était mieux avant mon bon monsieur. Mais vachement plus dangereux quand même ^^
Je suis en train de lire un "Club des 5", ils campent et enterrent leurs déchets, mais c'était avant le plastique (que du papier, les déchets).
Aujourd'hui, il ne se passe pas une ballade sans que je ramasse les merdes des autres, mais en vrai, le pire, c'est que c'est pas les jeunes qui dégueulassent tout, c'est les gens de ma génération, qui en ont rien a foutre, les quinqua.
Les jeunes font attention même si lobotomisés par les écrans. Les gens de ma génération, j'ai envie de leur coller des baffes des fois!
Je ne plaisante pas. Observez bien discrètement du coin de l'œil et vous verrez que j'ai raison.
La génération 70, c'est vraiment la pire!
L'éducation est très importante la dessus.
Mais en même temps...je connais aussi des "jeunes" de ma génération (qui sont dans la trentaine), et qui se fichent royalement de toutes ces questions d'écologie et de préservation de la Nature. J'en connais un qui me dit que même quand le composteur sera obligatoire, malgré son grand jardin et le fait qu'il a un potager, JAMAIS il ne s'embêtera à avoir un composteur. "Ça pue, ça ne sert à rien", "de toute façon ce sont les grands distributeurs qui doivent arrêter d'importer des fruits exotiques, moi j'aime manger les ananas, les bananes, les mangues et les fruits de la passion alors je ne vais surtout pas arrêter d'en manger : ils ont qu'à arrêter d'en vendre...".
Bref...je crois qu'il y a des idiots dans toutes les générations...