Cet homme travaille sur un simulateur de la NASA. Dans les années 60, les astronautes s’entraînaient dans un module qui tournait autour de cette réplique géante de la surface lunaire, réalisée à la main.
Nos applications mobilesFacebookTwitterFeeds16425 anecdotes - 271 lecteurs connectés
Cet homme travaille sur un simulateur de la NASA. Dans les années 60, les astronautes s’entraînaient dans un module qui tournait autour de cette réplique géante de la surface lunaire, réalisée à la main.
Commentaires préférés (3)
Le simulateur s'appelait LOLA pour "Lunar Orbit and Lunar Approach".
Les astronautes étaient placés dans des modules autour de la maquette et voyait la lune à travers des caméras et des fenêtres. Cela permettait d'appréhender la surface lunaire à l'équivalent de 322 km d'altitude (la lune faisant 6 mètres de diamètre). Il pouvait ainsi s'entraîner à visualiser les zones d'atterrissage pour le module.
Cela permettait également de s'entrainer à l'approche lunaire en visant le mieux possible la zone d'atterrissage.
Finalement, le simulateur n'a pas vraiment servi car le module était contrôlé par ordinateur. En cas de panne, un astronaute aurait toutefois pu logiquement reprendre le contrôle de l'appareil et le poser sans dommage.
C'est pas Stanley Kubrick qu'on aperçoit au fond à droite sur la photo
fr.wikipedia.org/wiki/Opération_Lune
Tous les commentaires (14)
Même si cette réplique est bien imitée, je me demande à quoi servaient ces entraînements, parce que les astronautes ont quand même bien dû remarquer en arrivant dessus, que la Lune est beaucoup plus grosse en vrai (et qu'il n'y a pas cette fenêtre carrée).
Après pour se poser, y'avait un autre simulateur:
Ça n'a servi à rien a part donner des repères visuelles à quelqu'un tournant autour à différentes altitudes.
Le simulateur s'appelait LOLA pour "Lunar Orbit and Lunar Approach".
Les astronautes étaient placés dans des modules autour de la maquette et voyait la lune à travers des caméras et des fenêtres. Cela permettait d'appréhender la surface lunaire à l'équivalent de 322 km d'altitude (la lune faisant 6 mètres de diamètre). Il pouvait ainsi s'entraîner à visualiser les zones d'atterrissage pour le module.
Cela permettait également de s'entrainer à l'approche lunaire en visant le mieux possible la zone d'atterrissage.
Finalement, le simulateur n'a pas vraiment servi car le module était contrôlé par ordinateur. En cas de panne, un astronaute aurait toutefois pu logiquement reprendre le contrôle de l'appareil et le poser sans dommage.
C'est pas Stanley Kubrick qu'on aperçoit au fond à droite sur la photo
fr.wikipedia.org/wiki/Opération_Lune
Photos de la lune prise par l'observatoire du pic du midi pour le compte de la nasa.
Sinon, oui, il l'est vraiment,septique.
Au passage, le LEM a été posé "à la main" car JUSTEMENT l'ordinateur allait faire poser l'atterrisseur dans un champ de cailloux et c'est l'humain qui a décidé de reprendre le contrôle manuel, pour Apollo 11..
Désastre évité à 30 secondes de carburant restant.
Heureusement que des simulations ont été faites avant...
-PUTAIN!!! Comment ca marche, ce truc???