Le fameux titre "J'accuse" paru en 1898 dans le journal l'Aurore concernant l'affaire Dreyfus n'a pas été écrit par Emile Zola, comme on le lit souvent, mais par Georges Clemenceau, alors éditorialiste du journal. Le reste de la lettre est en revanche bien d'Emile Zola.
Pour rappel, cette lettre est restée célèbre en ce qu'elle est le symbole de la capacité de la presse à ébranler le pouvoir et défendre de justes causes.
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En répétant les mots "j'accuse", comme un leitmotiv, Zola, pour montrer son indignation, utilise ce que l'on appelle une anaphore
Je crois même avoir lu (à vérifier, j'ai vu ça dans un livre...) qu'on soupçonne sa prise de position d'avoir causé sa mort en 1902. En effet, plusieurs hommes qui ont pris le parti de Dreyfus sont morts intoxiqués par leur cheminée dans ces années là : les antisémites avaient assez mal pris le coup médiatique de Zola...
quel coïncidence ! mon tpe est justement sur l'affaire Dreyfus !
merci pour l'info :)
cette source de chaleur est certes économique , mais ne sera utilisé quand a point ... enfin je l'espère pour eux !
Juste pour le titre ? Quel est l'intérêt de cette anecdote ?
Euh franchement qui a réussi à lire un bouquin d'Emile Zola sans se faire ***** à un moment ou à un autre personne au bonheur des dames je me suis arrêter à la description de la vitrine
C'est aussi le titre d'une chanson de Damien Saez. Très belle d'ailleurs !
Si je ne m'abuse, Clemenceau n'était pas éditorialiste mais propriétaire du journal... :)