Le Nyotaimori est une pratique encore en cours au Japon qui consiste à manger des sushis sur le corps d’une femme nue. Elle date de l’ère Edo : après une victoire les samouraïs se retrouvaient dans les hanamachis pour y manger sur le corps des geishas nues. Le Nantaimori est sa variante masculine.
Commentaires préférés (3)
Même au Japon c'est considéré comme un jeu sexuel. Ceci étant, il y a une véritable préparation de la personne qui se fera sushimisr (néologisme qui veut dire se faire recouvrir de sushi). Pour les hommes comme pour les femmes, Epilation intégrale, nettoyage intégral et cela se termine par une douche froide, littéralement, car il faut que le corps ne soit pas très chaud pour conserver le goût des aliments (notamment les sushi qui se mangent frais).
Conctrairement à ce que j'ai pu imaginer, on ne mange pas sur le corps pour avoir un "un goût" supplémentaire car la pratique de mettre un element pour séparer le sushi du corps et fréquente (film plastique et autres joyeuseté).
Durant le Nantaimori, il ne faut se tromper de sushi ^^
Humour je précise.
Tous les commentaires (17)
J'adore les sushis !
Même au Japon c'est considéré comme un jeu sexuel. Ceci étant, il y a une véritable préparation de la personne qui se fera sushimisr (néologisme qui veut dire se faire recouvrir de sushi). Pour les hommes comme pour les femmes, Epilation intégrale, nettoyage intégral et cela se termine par une douche froide, littéralement, car il faut que le corps ne soit pas très chaud pour conserver le goût des aliments (notamment les sushi qui se mangent frais).
Conctrairement à ce que j'ai pu imaginer, on ne mange pas sur le corps pour avoir un "un goût" supplémentaire car la pratique de mettre un element pour séparer le sushi du corps et fréquente (film plastique et autres joyeuseté).
Durant le Nantaimori, il ne faut se tromper de sushi ^^
Humour je précise.
Comme pour l'anecdote précédente, une petite image aurait la bienvenue! C'est presque artistique comme pratique, tant qu'il y a de la nourriture bien sûr, après ça devient plus... voilà quoi.
Et la hop un p’tit Proute...
Autant j'avoue que côté esthétique, ça peut être un œuvre d'art dans la présentation (sensualité visuelle). Mais côté stimulation sexuelle, bof bof bof... (Toujours pour moi).
La libido est nettement plus augmentée quand les formes ne sont qu'à moitié dévoilées, voire juste suggérée... Cela fait fonctionner l'imagination ;)
Après, peut être que la photo d'illustration montre une personne japonaise typée eurasienne !
Ça n'empêche pas d'aller voir les sources, mais une illustration complète bien l'anecdote.
C'est peut être pour cela qu'elles sont aussi demandé d'ailleurs, ces petites images!
Imaginez, imaginez.. cela n'en sera que meilleur au palet.
Épilation complète... dommage pour le sympathique déjeuner sur l'herbe tout en parlant de l'origine du monde ;)
Bonsoir, je me permets de revenir un peu sur l’anecdote en essayant d’apporter des informations complémentaires sur cette pratique.
Désolé pour le manque d’image mais j’ai tapé cette anecdote rapidement et j’en ai zappé l’image. Sans doute l’émotion. :D
Le nyotaimori voit ses origines de la province d’Ichikawa situé au centre Nord de l’île d’Honshu.
Le premier livre à faire référence à cette pratique est l’Osamekamaijo, un livre qui traite de la sexualité durant l’ère Edo.
C’est un jeu sexuel codifié et les geishas de l’époque se devaient d’en connaître les règles, tout comme elles devaient savoir jouer du shamisen (un genre de luth japonais), savoir tenir une conversation raffinée ou connaitre par coeur le chanoyu (la cérémonie du thé).
Le nyotaimori est donc un art alliant sensualité et nourriture et est considéré comme le plus haut niveau de raffinement.
L’apprentissage était difficile car il fallait apprendre à ne pas bouger d’un cil.
Comme certains l’ont précisé, la femme devait s’épiler totalement, la pilosité pubienne rappelle l’acte sexuel.
Douchée à l’eau froide, la femme est ainsi prête. Les sushis et sashimis sont déposées sur la peau ou des feuilles.
La geisha pouvait rester de longues heures allongée sans bouger.
Il est interdit de parler ou de toucher la geisha ainsi allongée. Le contact de l’aliment sur la peau était censé transmettre une énergie particulière au sushi.
J’ai été à une soirée il y a quelques années disons un peu étrange où le buffet était déposé sur une femme nue (mais il ne s’agissait pas de sushis par contre) Bizarrement j’en garde plutôt un bon souvenir, j’avais apprécié le concept mais n’en connaissais pas l’origine jmcmb pour le coup…
Petite pensée pour la plus grande péripatéticienne nippone, Imatoumi
Aucun doute, il n’y a que des hommes dans les commentaires…
Usez de votre imagination, c’est suffisamment explicite.