J’ai cherché à me reprensenter 3,7 milliards de litres d’huile. Voilà ce que j’ai trouvé :

« Six espèces végétales seulement assurent plus de 90 % de la production mondiale d'huile pour la consommation humaine : palme, soja, colza, tournesol, arachide, coton. [...] Environ 15 % de la production d'huiles végétales alimentaires est destiné à l'industrie (hors alimentaire et biocarburants). »

Production mondiale d’huiles végétales en millions de tonnes (année 2010) :

Huile de palme : 45,1 – 34 % ;
Huile de soja : 39,8 – 30 % ;
Huile de colza : 22,5 – 17 % ;
Huile de tournesol : 12,6 – 9,5 % ;
Huile d’arachide : 5,1 – 3,9 % ;
Huile de coton : 4,6 – 3,5 % ;
Huile de maïs : 2,3 – 1,7 % ;

Total : 132,0 – 100 %

En 2010, on produisait environ 132 millions de tonnes d’huile végétale, soit environ 147 milliards de litres (1 L d’huile = 0,9 kg). En supposant qu’en 2010, ce qui a été produit a été consommé, la décharge romaine peut ainsi “nourrir” 7 milliards d’habitants, la planète entière, pendant 9 jours.

Le sujet de l’huile est très intéressant. Je ne savais pas que l’huile de coton et de maïs existaient et j’ai appris que la production d’huile d’olive est négligeable. Mais il y a encore plein de choses intéressantes dans cet article fr.m.wikipedia.org/wiki/Huile_alimentaire qui mériterait plusieurs anecdotes.

Minas a écrit : Ne pouvait-on pas les réutiliser pour faire du transport ... d'huile ? Prémices de la société de consommation ? Je pense que l’huile imbibe légèrement l’argile qui est poreux, et du coup la veille huile resterai en permanence, devenant rance et menaçant la qualité de la cargaison suivante..

Minas a écrit : Ne pouvait-on pas les réutiliser pour faire du transport ... d'huile ? Prémices de la société de consommation ? Même si ces amphores vides auraient pu servir une nouvelle fois comme emballage pour de l'huile, le coût financier aurait été largement déficitaire.
Mis à part le temps utilisé pour les transporter jusqu'à son lieu d'origine, la valeur financière de ces amphores aurait été bien maigre, car c'est très largement le contenu qui représentait une richesse, ...pour cuisiner, mais surtout pour s'éclairer (lampes à huile..)
Tout capitaine sensé aurait donc largement préféré du fret ayant une valeur marchande plus élevée que des amphores vides ne lui rapportant ni "trois francs, six sous".

Aujourd'hui, bien que l'Insustrie a réussi à obtenir des bouteilles de verre affichant un poids de près de 40% inférieur à celles des années 70, le transport de bouteilles de verre, continue d'occuper la même place dans un camion. C'est en partie pour celà que les consignes ont disparu, au profit du plastique.
Seules les bouteilles d'alcool fort et de vin, continuent d'être mises en bouteille de verre, car personne ne pourrait concevoir un whisky de 12 ans d'âge ou un Grand Cru dans un tetra brick ou une bouteille plastique. Ça, ce n'est "acceptable" que pour le plus bas de gamme.
Un autre produit qui ne déroge par au verre, ce sont les confitures. Cependant, je crois que c'est surtout relationné au processus de stérilisation du contenu.

Parmi les emballages présentant des intérêts certains pour le recyclage, il y a ceux en alu et en acier. Ils sont facilement séparables par aimantation, avant de retourner vers une fonderie.
Un autre est le brick, très versatile comme contenant, et dont le carton, l'alu et le plastique sont facilement séparables et recyclables.
De plus ces deux emballages sont assez facilement compactables pour le transport.
Pour le plastique, le problème réside surtout dans la diversité DES plastiques utilisés comme emballage. Or, actuellement l'on ne sait pas trop comment les séparer par catégories, dans les centres de tri.
Là le mieux serait de les séparer à la source, mais nous ne sommes pas à Kamikatsu, au Japon...
youtu.be/-LpctQuMSs0

J’ai cherché à me reprensenter 3,7 milliards de litres d’huile. Voilà ce que j’ai trouvé :

« Six espèces végétales seulement assurent plus de 90 % de la production mondiale d'huile pour la consommation humaine : palme, soja, colza, tournesol, arachide, coton. [...] Environ 15 % de la production d'huiles végétales alimentaires est destiné à l'industrie (hors alimentaire et biocarburants). »

Production mondiale d’huiles végétales en millions de tonnes (année 2010) :

Huile de palme : 45,1 – 34 % ;
Huile de soja : 39,8 – 30 % ;
Huile de colza : 22,5 – 17 % ;
Huile de tournesol : 12,6 – 9,5 % ;
Huile d’arachide : 5,1 – 3,9 % ;
Huile de coton : 4,6 – 3,5 % ;
Huile de maïs : 2,3 – 1,7 % ;

Total : 132,0 – 100 %

En 2010, on produisait environ 132 millions de tonnes d’huile végétale, soit environ 147 milliards de litres (1 L d’huile = 0,9 kg). En supposant qu’en 2010, ce qui a été produit a été consommé, la décharge romaine peut ainsi “nourrir” 7 milliards d’habitants, la planète entière, pendant 9 jours.

Le sujet de l’huile est très intéressant. Je ne savais pas que l’huile de coton et de maïs existaient et j’ai appris que la production d’huile d’olive est négligeable. Mais il y a encore plein de choses intéressantes dans cet article fr.m.wikipedia.org/wiki/Huile_alimentaire qui mériterait plusieurs anecdotes.

Ne pouvait-on pas les réutiliser pour faire du transport ... d'huile ? Prémices de la société de consommation ?

Ou sinon, pour se le représenter autrement : prenons 1 million d’habitants pour Rome (:O) entre 27 ap. J.-C et 250 ap. J.-C (période d’utilisation de la décharge).

Un habitant consommait chaque jour en moyenne 0,05 L = 5 cL d’huile.

Aydr a écrit : J’ai cherché à me reprensenter 3,7 milliards de litres d’huile. Voilà ce que j’ai trouvé :

« Six espèces végétales seulement assurent plus de 90 % de la production mondiale d'huile pour la consommation humaine : palme, soja, colza, tournesol, arachide, coton. [...] Environ 15 % de la production d';huiles végétales alimentaires est destiné à l'industrie (hors alimentaire et biocarburants). »

Production mondiale d’huiles végétales en millions de tonnes (année 2010) :

Huile de palme : 45,1 – 34 % ;
Huile de soja : 39,8 – 30 % ;
Huile de colza : 22,5 – 17 % ;
Huile de tournesol : 12,6 – 9,5 % ;
Huile d’arachide : 5,1 – 3,9 % ;
Huile de coton : 4,6 – 3,5 % ;
Huile de maïs : 2,3 – 1,7 % ;

Total : 132,0 – 100 %

En 2010, on produisait environ 132 millions de tonnes d’huile végétale, soit environ 147 milliards de litres (1 L d’huile = 0,9 kg). En supposant qu’en 2010, ce qui a été produit a été consommé, la décharge romaine peut ainsi “nourrir” 7 milliards d’habitants, la planète entière, pendant 9 jours.

Le sujet de l’huile est très intéressant. Je ne savais pas que l’huile de coton et de maïs existaient et j’ai appris que la production d’huile d’olive est négligeable. Mais il y a encore plein de choses intéressantes dans cet article fr.m.wikipedia.org/wiki/Huile_alimentaire qui mériterait plusieurs anecdotes. Afficher tout Y'a aussi l'huile de noix, de pépins de raisin, de chanvre, d'amandes, de noix... en fait on peut faire de l'huile avec n'importe quelle graine où presque mais évidement certaines sont très marginales.

@Minas, non, les amphores étaient souvent jetables, servaient à l'importation de liquides vers le centre de l'empire depuis les provinces par bateau qui ne repartaient pas à vide mais pas forcément avec des liquides à transporter dans l'autre sens.

Certaines amphores étaient récupérées pour stocker autre chose une fois vide mais visiblement, celles qui avaient contenu de l'huile ne pouvaient pas contenir autre chose (vin, céréales, bière où je ne sais quoi) et vu que l'huile était importée, ces amphores finissaient à la décharge.

D'ailleurs, aujourd'hui, les bouteilles d'huile (plastique comme verre) ne sont pas recyclables, à moins de les nettoyer vigoureusement, mais ca ne vaut pas le coup.
Poubelle.

Nicontrarié a écrit : Y'a aussi l'huile de noix, de pépins de raisin, de chanvre, d'amandes, de noix... en fait on peut faire de l'huile avec n'importe quelle graine où presque mais évidement certaines sont très marginales.

@Minas, non, les amphores étaient souvent jetables, servaient à l'importation de liquides vers le centre de l'empire depuis les provinces par bateau qui ne repartaient pas à vide mais pas forcément avec des liquides à transporter dans l'autre sens.

Certaines amphores étaient récupérées pour stocker autre chose une fois vide mais visiblement, celles qui avaient contenu de l'huile ne pouvaient pas contenir autre chose (vin, céréales, bière où je ne sais quoi) et vu que l'huile était importée, ces amphores finissaient à la décharge.

D'ailleurs, aujourd'hui, les bouteilles d'huile (plastique comme verre) ne sont pas recyclables, à moins de les nettoyer vigoureusement, mais ca ne vaut pas le coup.
Poubelle. Afficher tout Depuis plusieurs années les bouteilles d'huile (verre comme plastique) sont recyclable.

Pas besoin de les nettoyer vigoureusement, il faut juste que ça soit vide. Tu trouveras l'info partout sur le net.

Raspa a écrit : Depuis plusieurs années les bouteilles d'huile (verre comme plastique) sont recyclable.

Pas besoin de les nettoyer vigoureusement, il faut juste que ça soit vide. Tu trouveras l'info partout sur le net. Effectivement, m'enfin personne ne me l'a dit avant toi, merci :)

Ces amphores, principalement transportées par voie maritime depuis le sud de l'Espagne, contenaient de l'huile d'olive.
3,7 milliards de litres, correspondent à la production Espagnole actuelle d'huile d'olive... durant 2 années et demi.
C'est tout simplement ahurissant !
------------------------
La plus imposante colline artificielle créée par l'homme, se trouve en Allemagne. La Sophienhöle. (La colline de Sophie)
Il s'agit d'un "terril" de déchets issus d'une mine de lignite, s'étendant sur 13 Km2, et culminant a 301 mètres de hauteur.

Pour rester en Allemagne, mais pour des raisons bien autres que l'activité Minière, existent aussi les "Schuttberg".
Ce sont des collines artificielles où furent entassés, suite aux bombardements stratégiques de la Seconde Guerre Mondiales, les millions de tonnes de débris des édifices détruits.
fr.m.wikipedia.org/wiki/Schuttberg

Minas a écrit : Ne pouvait-on pas les réutiliser pour faire du transport ... d'huile ? Prémices de la société de consommation ? Je pense que l’huile imbibe légèrement l’argile qui est poreux, et du coup la veille huile resterai en permanence, devenant rance et menaçant la qualité de la cargaison suivante..

Minas a écrit : Ne pouvait-on pas les réutiliser pour faire du transport ... d'huile ? Prémices de la société de consommation ? Même si ces amphores vides auraient pu servir une nouvelle fois comme emballage pour de l'huile, le coût financier aurait été largement déficitaire.
Mis à part le temps utilisé pour les transporter jusqu'à son lieu d'origine, la valeur financière de ces amphores aurait été bien maigre, car c'est très largement le contenu qui représentait une richesse, ...pour cuisiner, mais surtout pour s'éclairer (lampes à huile..)
Tout capitaine sensé aurait donc largement préféré du fret ayant une valeur marchande plus élevée que des amphores vides ne lui rapportant ni "trois francs, six sous".

Aujourd'hui, bien que l'Insustrie a réussi à obtenir des bouteilles de verre affichant un poids de près de 40% inférieur à celles des années 70, le transport de bouteilles de verre, continue d'occuper la même place dans un camion. C'est en partie pour celà que les consignes ont disparu, au profit du plastique.
Seules les bouteilles d'alcool fort et de vin, continuent d'être mises en bouteille de verre, car personne ne pourrait concevoir un whisky de 12 ans d'âge ou un Grand Cru dans un tetra brick ou une bouteille plastique. Ça, ce n'est "acceptable" que pour le plus bas de gamme.
Un autre produit qui ne déroge par au verre, ce sont les confitures. Cependant, je crois que c'est surtout relationné au processus de stérilisation du contenu.

Parmi les emballages présentant des intérêts certains pour le recyclage, il y a ceux en alu et en acier. Ils sont facilement séparables par aimantation, avant de retourner vers une fonderie.
Un autre est le brick, très versatile comme contenant, et dont le carton, l'alu et le plastique sont facilement séparables et recyclables.
De plus ces deux emballages sont assez facilement compactables pour le transport.
Pour le plastique, le problème réside surtout dans la diversité DES plastiques utilisés comme emballage. Or, actuellement l'on ne sait pas trop comment les séparer par catégories, dans les centres de tri.
Là le mieux serait de les séparer à la source, mais nous ne sommes pas à Kamikatsu, au Japon...
youtu.be/-LpctQuMSs0

Epoxy a écrit : Même si ces amphores vides auraient pu servir une nouvelle fois comme emballage pour de l'huile, le coût financier aurait été largement déficitaire.
Mis à part le temps utilisé pour les transporter jusqu'à son lieu d'origine, la valeur financière de ces amphores aurait été bien maigre, car c';est très largement le contenu qui représentait une richesse, ...pour cuisiner, mais surtout pour s'éclairer (lampes à huile..)
Tout capitaine sensé aurait donc largement préféré du fret ayant une valeur marchande plus élevée que des amphores vides ne lui rapportant ni "trois francs, six sous".

Aujourd'hui, bien que l'Insustrie a réussi à obtenir des bouteilles de verre affichant un poids de près de 40% inférieur à celles des années 70, le transport de bouteilles de verre, continue d'occuper la même place dans un camion. C'est en partie pour celà que les consignes ont disparu, au profit du plastique.
Seules les bouteilles d'alcool fort et de vin, continuent d'être mises en bouteille de verre, car personne ne pourrait concevoir un whisky de 12 ans d'âge ou un Grand Cru dans un tetra brick ou une bouteille plastique. Ça, ce n'est "acceptable" que pour le plus bas de gamme.
Un autre produit qui ne déroge par au verre, ce sont les confitures. Cependant, je crois que c'est surtout relationné au processus de stérilisation du contenu.

Parmi les emballages présentant des intérêts certains pour le recyclage, il y a ceux en alu et en acier. Ils sont facilement séparables par aimantation, avant de retourner vers une fonderie.
Un autre est le brick, très versatile comme contenant, et dont le carton, l'alu et le plastique sont facilement séparables et recyclables.
De plus ces deux emballages sont assez facilement compactables pour le transport.
Pour le plastique, le problème réside surtout dans la diversité DES plastiques utilisés comme emballage. Or, actuellement l'on ne sait pas trop comment les séparer par catégories, dans les centres de tri.
Là le mieux serait de les séparer à la source, mais nous ne sommes pas à Kamikatsu, au Japon...
youtu.be/-LpctQuMSs0 Afficher tout Belle explication (par contre, l'alu n'est pas magnétique^^)

Finalement, les emballages jetables ont toujours plus où moins existé depuis le début des civilisations, question de rentabilité comme tu l'explique.
Après les amphores, les tonneaux n'ont pas vraiment échappé à cette règle (sauf pour les tonneaux de vinification qui étaient réutilisés plusieurs fois), après on a eu le verre consigné tant qu'il était cher à produire mais utilisé pour ses qualités de conservation et de durabilité jamais égalées jusqu'à son industrialisation/standardisation massive (j'ai connu les grandes bouteilles de coca consignées... en Espagne), et maintenant le plastoc, léger, pas cher, fiable mais plein d'autres inconvénients.

P.S, pour l'alcool fort je ne sais pas mais on trouve maintenant de très bons vins (pas des grands crus faut pas déconner) en brick, dans la restauration, on ne se gène pas pour transférer le vin dans une bouteille qui a déjà servi (tant que c'est le même vin et que la bouteille est propre, je n'y vois pas d'objection) où tout simplement en carafe comme le veut l'usage pour une certaine catégorie de vins. :)

Nicontrarié a écrit : Belle explication (par contre, l'alu n'est pas magnétique^^)

Finalement, les emballages jetables ont toujours plus où moins existé depuis le début des civilisations, question de rentabilité comme tu l'explique.
Après les amphores, les tonneaux n'ont pas vraiment échappé à cette règle (sauf pour les tonneaux de vinification qui étaient réutilisés plusieurs fois), après on a eu le verre consigné tant qu'il était cher à produire mais utilisé pour ses qualités de conservation et de durabilité jamais égalées jusqu'à son industrialisation/standardisation massive (j'ai connu les grandes bouteilles de coca consignées... en Espagne), et maintenant le plastoc, léger, pas cher, fiable mais plein d'autres inconvénients.

P.S, pour l'alcool fort je ne sais pas mais on trouve maintenant de très bons vins (pas des grands crus faut pas déconner) en brick, dans la restauration, on ne se gène pas pour transférer le vin dans une bouteille qui a déjà servi (tant que c'est le même vin et que la bouteille est propre, je n'y vois pas d'objection) où tout simplement en carafe comme le veut l'usage pour une certaine catégorie de vins. :) Afficher tout Les champs de Foucault, @Nico...

C'est ce qui est utilisé pour séparer l'aluminium du reste des emballages.
fr.m.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9parateur_%C3%A0_courants_de_Foucault

www.france-alu-recyclage.com/index.php/la-chaine-de-l-aluminium/courant-de-foucault/68-machine-a-courant-de-foucault

Epoxy a écrit : Même si ces amphores vides auraient pu servir une nouvelle fois comme emballage pour de l'huile, le coût financier aurait été largement déficitaire.
Mis à part le temps utilisé pour les transporter jusqu'à son lieu d'origine, la valeur financière de ces amphores aurait été bien maigre, car c';est très largement le contenu qui représentait une richesse, ...pour cuisiner, mais surtout pour s'éclairer (lampes à huile..)
Tout capitaine sensé aurait donc largement préféré du fret ayant une valeur marchande plus élevée que des amphores vides ne lui rapportant ni "trois francs, six sous".

Aujourd'hui, bien que l'Insustrie a réussi à obtenir des bouteilles de verre affichant un poids de près de 40% inférieur à celles des années 70, le transport de bouteilles de verre, continue d'occuper la même place dans un camion. C'est en partie pour celà que les consignes ont disparu, au profit du plastique.
Seules les bouteilles d'alcool fort et de vin, continuent d'être mises en bouteille de verre, car personne ne pourrait concevoir un whisky de 12 ans d'âge ou un Grand Cru dans un tetra brick ou une bouteille plastique. Ça, ce n'est "acceptable" que pour le plus bas de gamme.
Un autre produit qui ne déroge par au verre, ce sont les confitures. Cependant, je crois que c'est surtout relationné au processus de stérilisation du contenu.

Parmi les emballages présentant des intérêts certains pour le recyclage, il y a ceux en alu et en acier. Ils sont facilement séparables par aimantation, avant de retourner vers une fonderie.
Un autre est le brick, très versatile comme contenant, et dont le carton, l'alu et le plastique sont facilement séparables et recyclables.
De plus ces deux emballages sont assez facilement compactables pour le transport.
Pour le plastique, le problème réside surtout dans la diversité DES plastiques utilisés comme emballage. Or, actuellement l'on ne sait pas trop comment les séparer par catégories, dans les centres de tri.
Là le mieux serait de les séparer à la source, mais nous ne sommes pas à Kamikatsu, au Japon...
youtu.be/-LpctQuMSs0 Afficher tout Le verre a des qualités inégalées par les autres matériaux.... Surtout du point de vue échanges gazeux.( Oxydation, évaporation de l alcool etc...) .. C est pour ça qu il continue à être utilisé pour le vin et l huile. De plus il est 100% réutilisable

Epoxy a écrit : Les champs de Foucault, @Nico...

C'est ce qui est utilisé pour séparer l'aluminium du reste des emballages.
fr.m.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9parateur_%C3%A0_courants_de_Foucault

www.france-alu-recyclage.com/index.php/la-chaine-de-l-aluminium/courant-de-foucault/68-machine-a-courant-de-foucault Merci epoxy je ne connaissais ce système de tri

Il n'a pas l'air encore d'être en place de partout mais apparement en bonne voie de progression
Ton lien wiki dit que 19 centre de tri en sont équipés en 2017 avec pour objectif 60 pour 2022.

J'ai chercher combien de centre de tri il y a en France, apparement un peu plus de 200 en 2014 et c'est en diminution

www.futura-sciences.com/planete/dossiers/developpement-durable-centres-stockage-dechets-france-2469/

Epoxy a écrit : Ces amphores, principalement transportées par voie maritime depuis le sud de l'Espagne, contenaient de l'huile d'olive.
3,7 milliards de litres, correspondent à la production Espagnole actuelle d'huile d'olive... durant 2 années et demi.
C'est tout simplement ahurissant !<br /> ------------------------
La plus imposante colline artificielle créée par l'homme, se trouve en Allemagne. La Sophienhöle. (La colline de Sophie)
Il s'agit d'un "terril" de déchets issus d'une mine de lignite, s'étendant sur 13 Km2, et culminant a 301 mètres de hauteur.

Pour rester en Allemagne, mais pour des raisons bien autres que l'activité Minière, existent aussi les "Schuttberg".
Ce sont des collines artificielles où furent entassés, suite aux bombardements stratégiques de la Seconde Guerre Mondiales, les millions de tonnes de débris des édifices détruits.
fr.m.wikipedia.org/wiki/Schuttberg Afficher tout Le plus haut terril d'Europe se trouve en France, à quelques dizaines de kilomètres de chez moi d'ailleurs, dans le Pas-de-Calais. À Loos-en-Gohelle pour être exact.
Quant au Sophienhöhle, comme son nom l'indique c'est un trou, une grotte plus exactement.
Est-ce que tu ne confondrais pas avec autre chose ?

milooser a écrit : Je pense que l’huile imbibe légèrement l’argile qui est poreux, et du coup la veille huile resterai en permanence, devenant rance et menaçant la qualité de la cargaison suivante.. Comme un verre à pastis.
L'odeur et l'arôme de l'anis imprègne tellement le verre que celui-ci ne doit servir qu'au pastis. Même propre, le verre conserve toujours une odeur particulière.

Vivement les beaux jours...

NOmatters a écrit : Le plus haut terril d'Europe se trouve en France, à quelques dizaines de kilomètres de chez moi d'ailleurs, dans le Pas-de-Calais. À Loos-en-Gohelle pour être exact.
Quant au Sophienhöhle, comme son nom l'indique c'est un trou, une grotte plus exactement.
Est-ce que tu ne confondrais pas avec autre chose ? Sophienhöhe....

fr.wikipedia.org/wiki/Sophienh%C3%B6he

NOmatters a écrit : Le plus haut terril d'Europe se trouve en France, à quelques dizaines de kilomètres de chez moi d'ailleurs, dans le Pas-de-Calais. À Loos-en-Gohelle pour être exact.
Quant au Sophienhöhle, comme son nom l'indique c'est un trou, une grotte plus exactement.
Est-ce que tu ne confondrais pas avec autre chose ? J'ai mal orthographié le mot, pardon.
Merci à @Tybs d'avoir rectifié.

Note que j'ai placé "terril" entre guillemets, car je n'ai pas réussi à savoir si cette terminologie peut être appliquée à cette colline d'Allemagne.

Sinon, oui, les terrils qui se trouvent près de chez toi, sont les plus hauts d'Europe.

Epoxy a écrit : J'ai mal orthographié le mot, pardon.
Merci à @Tybs d'avoir rectifié.

Note que j'ai placé "terril" entre guillemets, car je n'ai pas réussi à savoir si cette terminologie peut être appliquée à cette colline d'Allemagne.

Sinon, oui, les terrils qui se trouvent près de chez toi, sont les plus hauts d'Europe. Pourtant elle semble correspondre à la définition d’un terril.

Rip tonton david : mets de l’huile !
...
...
Jusqu’à 3,7 milliards de litres, c’est fou !

TybsXckZ a écrit : Pourtant elle semble correspondre à la définition d’un terril. Ne lui en veut pas, il pense en espagnol, mais il n'a pas tord, les terrils, c'est des tas de déchets, il faut les voir comme ça, même si c'est que des cailloux.