Delphine Lalaurie, bourreau et assassin d’une centaine d’esclaves

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Au début du XIXe siècle, à La Nouvelle-Orléans, Delphine Lalaurie fit vivre un véritable enfer à ses esclaves. Après un incendie dans sa demeure, on découvrit des esclaves enchainés, atrocement mutilés, et plusieurs cadavres. Elle fut accusée de la mort de près d’une centaine d’entre eux.

Cette figure de la bourgeoisie louisianaise avait torturé et séquestré des esclaves durant des années. Elle prit la fuite et se réfugia à Paris, échappant à la justice.


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a écrit : Elle avait pour complice son mari, imminent médecin de la Nouvelle-Orleans, qui lui serait mort dans l’incendias selon certaines sources... ils étaient tous les 2 biens atteints du cerveau ... "imminent" médecin ? ça veut dire qu'il va devenir médecin d'une minute à l'autre ?

Je crains que dans cette histoire il soit bien difficile de démêler le vrai du faux comme souvent dans certains événements relatés et modifiés.

Qu'elle et son mari aient pu torturer et séquestrer des esclaves, je n'en doute pas même si je trouve ça assez paradoxale de leur reprocher à cette époque. Ce n'est pas comme s'il existait déjà un code des droits de l'esclave. Ensuite j'ai l'impression que cette histoire a fortement été "enjolivée" ou plutôt "aggravée" au cours des années donc impossible d'avoir les détails réels ou le décompte exacte.

a écrit : il faut le prendre comme une fable sur la dépersonnalisation de l'individu par la société J'ai connu des fables plus affables...;)
Sinon je pense qu'il y a d'autres façons de le faire, mais chacun son truc. J'avoue le gore a pas mes faveurs.

a écrit : J'ai connu des fables plus affables...;)
Sinon je pense qu'il y a d'autres façons de le faire, mais chacun son truc. J'avoue le gore a pas mes faveurs.
Le film "La grande bouffe" appartient-il au genre gore ? C'est aussi une fable gore, d'une certaine façon. Le film Human centipede traite de la dépersonnalisation autrement que sur le mode archi convenu et tellement politiquement correct d'un film comme "Brazil", par exemple, qu'on a l'impression d'avoir déjà vu 100 fois au cinéma

a écrit : Le film "La grande bouffe" appartient-il au genre gore ? C'est aussi une fable gore, d'une certaine façon. Le film Human centipede traite de la dépersonnalisation autrement que sur le mode archi convenu et tellement politiquement correct d'un film comme "Brazil", par exemple, qu'on a l'impression d'avoir déjà vu 100 fois au cinéma Afficher tout Lol. Désolé si je suis pas assez ouvert d'esprit. La grande bouffe n'est pas sanguinolent. Je ne doute pas du fond de ce film ou d'autres. Mais mine de rien la grande bouffe peut effectivement être vu comme gore pour certains. La différence est qu'il exagère des comportements "normaux". La humancentripiede il exagère des comportements anormaux de base. (Stp pas de débat sur la normalité... Ça serait stérile car je serai d'accord probablement avec toi-ca n existe pas réellement la normalité-).
Je pense qu'on peut traiter ce genre de sujets sans forcément tomber / aller au delà de la bestialité....(un chien peut se faire mourir à top bouffer... Mais aucun animal ne cousera d autres animaux ensemble...). Exemple: le mouvement du dogme95 de lars von trier avec les idiots: dérangeant mais pas "abjecte" a regarder pour la majorité. Ou des Gaspar Noé.
Le support doit rester un support et ne pas dépasser le message à mon sens. Et dans ce film, le gore me semble largement dépasser le sujet de la depersonnification: je t avoue je n'avais même pas réalisé qu'il y avait un fond.

a écrit : Peut-être que cette haine vient du fait que son père a été tué par un esclave.
Ça n'en fait pas moins une crapule par contre, selon moi...
Crapule ? Pas sûr que le mot convienne...

a écrit : Lol. Désolé si je suis pas assez ouvert d'esprit. La grande bouffe n'est pas sanguinolent. Je ne doute pas du fond de ce film ou d'autres. Mais mine de rien la grande bouffe peut effectivement être vu comme gore pour certains. La différence est qu'il exagère des comportements "normaux". La humancentripiede il exagère des comportements anormaux de base. (Stp pas de débat sur la normalité... Ça serait stérile car je serai d'accord probablement avec toi-ca n existe pas réellement la normalité-).
Je pense qu'on peut traiter ce genre de sujets sans forcément tomber / aller au delà de la bestialité....(un chien peut se faire mourir à top bouffer... Mais aucun animal ne cousera d autres animaux ensemble...). Exemple: le mouvement du dogme95 de lars von trier avec les idiots: dérangeant mais pas "abjecte" a regarder pour la majorité. Ou des Gaspar Noé.
Le support doit rester un support et ne pas dépasser le message à mon sens. Et dans ce film, le gore me semble largement dépasser le sujet de la depersonnification: je t avoue je n'avais même pas réalisé qu'il y avait un fond.
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je me suis laissé dire qu'on est en train de fabriquer génétiquement des hybrides mi-humains mi-animaux, pour servir de banques d'organes. On parle actuellement de permettre des avortements au 9ème mois. Que deviennent les bébés ainsi "avortés" ? Je crois que le film human centiped est déjà dépassé par la réalité

a écrit : je me suis laissé dire qu'on est en train de fabriquer génétiquement des hybrides mi-humains mi-animaux, pour servir de banques d'organes. On parle actuellement de permettre des avortements au 9ème mois. Que deviennent les bébés ainsi "avortés" ? Je crois que le film human centiped est déjà dépassé par la réalité Vivement que j'ai mon clone comme dans "The Island" afin de remplacer mon pancréas et mon foie.

a écrit : je me suis laissé dire qu'on est en train de fabriquer génétiquement des hybrides mi-humains mi-animaux, pour servir de banques d'organes. On parle actuellement de permettre des avortements au 9ème mois. Que deviennent les bébés ainsi "avortés" ? Je crois que le film human centiped est déjà dépassé par la réalité Oui. Je ne dis pas le contraire. En fait je vois pas le lien. Tout existe. Mais pas forcément la peine d"en extrapoler le côté repulsant ;)(et comme dit après chacun son point de vue, je lui reproche pas d'exister ni même qu'il y ait un public... Juste je trouve ça déroutant/pas forcément nécessaire ;)
Et "aimer" ce type de film au delà du message genre pour l esthétisme bah là je comprends pas du tout

a écrit : "imminent" médecin ? ça veut dire qu'il va devenir médecin d'une minute à l'autre ? Imminent, dans le sens reconnu ici...

a écrit : "imminent" médecin ? ça veut dire qu'il va devenir médecin d'une minute à l'autre ? C'est nul de se moquer des erreurs des autres ... C'est bas et puéril.

a écrit : il faut le prendre comme une fable sur la dépersonnalisation de l'individu par la société Franchement des fables sur la dépersonnalisation d’un individu par la société, y’en a plein et on peut les illustrer de 1000 façons différentes et préférables à ce film.

Justifier un scénario qui se résume à un taré d’ex nazi qui coud des blondasses bouche sur trou de balle ( Avec des plans gores, des plans scatos...) en tant que «  fable de la dépersonnalisation » avec une morale, je trouve ça gros.
La pseudo morale de ce film est moins pour faire passer un message que pour justifier un scénario complètement idiot et malsain destiné à un public de tordus.

a écrit : Crapule ? Pas sûr que le mot convienne... Franchement si t'as pire en tête, je suis preneur!

a écrit : Imminent, dans le sens reconnu ici... C'est éminent alors ;)

a écrit : Le film "La grande bouffe" appartient-il au genre gore ? C'est aussi une fable gore, d'une certaine façon. Le film Human centipede traite de la dépersonnalisation autrement que sur le mode archi convenu et tellement politiquement correct d'un film comme "Brazil", par exemple, qu'on a l'impression d'avoir déjà vu 100 fois au cinéma Afficher tout Vache ! Je viens de lire la page wiki de la grande bouffe. J’ai pas été déçu du voyage c’est haut en couleurs ! Surtout les critiques.

a écrit : D’ailleurs ce personnage a été repris dans la saison des sorcières dans la série American Horror Story (où cette femme reviens à la vie à notre époque) série que je vous conseille fortement! +1 c'est exactement à quoi j'ai pensé en lisant l'anecdote... Kathy Bates campe très bien ce rôle

a écrit : C'est nul de se moquer des erreurs des autres ... C'est bas et puéril. C'est nul, extrêmement puéril, mais cela a le mérite d'être franc et... cela fait grandir.

a écrit : C'est éminent alors ;) C’est ce que je voulais écrire, mais je devais être fatiguée