Le Quilombo dos Palmares était un territoire dans le Brésil actuel, fondé par des esclaves révoltés, des paysans sans terre, des Indiens d'Amérique et des soldats déserteurs. Comptant jusqu'à 30 000 membres, leur mode de vie était communautaire, et ils résistèrent pendant un siècle aux Portugais.
Commentaires préférés (3)
Apparemment, 3 000 communautés Quilombos existent encore, dont 2 400 légalisées ; c'est à dire qu'on leur a laissé en propriété les terres qu'ils occupaient.
Ces communautés semblent quand même très pauvres et peu cultivées (dû à leur éloignement des villes, des écoles...).
Une des sources relate des évènements amusants (si tant est qu'on peut rire de ça) : les Quilombos, anciens esclaves enfuis, faisaient des "raids" en ville et prenaient en otages des noirs qui étaient restés sous le joug des blancs... pour en faire leurs esclaves !
Tiens, j'avais même oublié avoir soumis l'anecdote (bien avant les récents événements ).
@rem170 une autre époque assurément.
Mais c'est aussi dit dans la source que ce n'est pas le même type d'esclavage. Ils étaient obligés de travailler certes (avec le reste de la communauté donc), mais n'étaient pas maltraités, et n'avaient pas de valeur marchande (donc ils n'étaient pas vendus).
Ça se rapproche plus d'un traitement comme prisonniers de guerre (ce qu'ils étaient) avec possibilité de rédemption plutôt qu'une exploitation pure et simple.
Le nom de "quilombo" me fait sourire, car en espagnol d'Amérique du Sud, il s'agit d'un bor*el... Lieu où des hommes monnaient les services de prostituées.
Par extension, il désigne aussi un lieu de bagarre, de brouhaha et de désordre.
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Apparemment, 3 000 communautés Quilombos existent encore, dont 2 400 légalisées ; c'est à dire qu'on leur a laissé en propriété les terres qu'ils occupaient.
Ces communautés semblent quand même très pauvres et peu cultivées (dû à leur éloignement des villes, des écoles...).
Une des sources relate des évènements amusants (si tant est qu'on peut rire de ça) : les Quilombos, anciens esclaves enfuis, faisaient des "raids" en ville et prenaient en otages des noirs qui étaient restés sous le joug des blancs... pour en faire leurs esclaves !
Tiens, j'avais même oublié avoir soumis l'anecdote (bien avant les récents événements ).
@rem170 une autre époque assurément.
Mais c'est aussi dit dans la source que ce n'est pas le même type d'esclavage. Ils étaient obligés de travailler certes (avec le reste de la communauté donc), mais n'étaient pas maltraités, et n'avaient pas de valeur marchande (donc ils n'étaient pas vendus).
Ça se rapproche plus d'un traitement comme prisonniers de guerre (ce qu'ils étaient) avec possibilité de rédemption plutôt qu'une exploitation pure et simple.
Le nom de "quilombo" me fait sourire, car en espagnol d'Amérique du Sud, il s'agit d'un bor*el... Lieu où des hommes monnaient les services de prostituées.
Par extension, il désigne aussi un lieu de bagarre, de brouhaha et de désordre.
Mais elle est appliquée qu’en Théorie, le pays merveilleux, car en Théorie tout se passe bien.