La France a eu des bordels militaires

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Durant le XXe siècle, l'armée française organisait des services dédiés aux relations sexuelles de ses soldats d'outre-mer : les bordels militaires de campagne. En 2003, celui de Djibouti fonctionnait encore, alors qu’en Guyane il ferma en 1995.

Les Américains perpétuèrent cette pratique au Vietnam après le retrait français.


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Je vous conseille d'écouter "Au suivant", une chanson de Jacques Brel qui en parle à sa manière

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a écrit : La rédaction des anecdotes est parfois maladroite mais là on atteint des sommets. Comment peut-on écrire "ses soldats d'outre-mer" pour désigner les soldats engagés sur des opérations extérieures ? Et justement quand c'est à propos d'une pratique dégradante ! Celui qui a écrit ça et ceux qui ont relu croyaient que c'était destiné uniquement aux soldats originaires des départements d'outre-mer ou ils ont compris que c'était pour tous les soldats, qu'ils soient bretons, parisiens, auvergnats ou ultramarins ? Et dans ce cas c'est vraiment une grosse boulette ! Est-ce qu'il serait possible de revoir cette formulation avant que ça déclenche des manifestations contre le racisme ? Afficher tout Selon le site larousse.fr , outre-mer à pour définition :
"Au-delà des mers par rapport à la France où, plus généralement , à une métropole "
Donc dans ce cas , il est utilisable .

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a écrit : La rédaction des anecdotes est parfois maladroite mais là on atteint des sommets. Comment peut-on écrire "ses soldats d'outre-mer" pour désigner les soldats engagés sur des opérations extérieures ? Et justement quand c'est à propos d'une pratique dégradante ! Celui qui a écrit ça et ceux qui ont relu croyaient que c'était destiné uniquement aux soldats originaires des départements d'outre-mer ou ils ont compris que c'était pour tous les soldats, qu'ils soient bretons, parisiens, auvergnats ou ultramarins ? Et dans ce cas c'est vraiment une grosse boulette ! Est-ce qu'il serait possible de revoir cette formulation avant que ça déclenche des manifestations contre le racisme ? Afficher tout Tu regardes trop la télé...

a écrit : Selon le site larousse.fr , outre-mer à pour définition :
"Au-delà des mers par rapport à la France où, plus généralement , à une métropole "
Donc dans ce cas , il est utilisable .
Il serait utilisable à condition que les bordels n'aient été créés que dans les colonies (puisqu'on parle de métropole dans ta définition) ce qui n'était pas vraiment le cas de Djibouti (à la fin du XXe siècle) ou du Tchad (et pour l'Indochine qui fait partie de l'Eurasie, outre-mer c'est vraiment au sens large). Mais surtout pourquoi dire "ses soldats d'outre-mer" et pas "ses soldats outre-mer" si on veut vraiment utiliser outre-mer ? Personne ici ne comprend que non seulement l'outre-mer a une définition bien précise actuellement mais que le "de" (ou le d-apostrophe quand on fait l'élision) indique la provenance et pas la localisation ou la destination ? Quand tu dis des huîtres de Marennes-Oléron ou un camembert de Normandie, c'est bien pour dire de là où ils viennent, non ? D'où ma remarque : avec des sujets un peu sensibles, comme la participation des troupes issues des colonies dans les différentes guerres menées par la France, ou même les colonies elles-mêmes ou même des départements et territoires d'outre-mer, actuels, il faut faire attention où on met les pieds et donc on fait attention à la manière dont on s'exprime et on évite de mettre un d' en trop. Il y avait plusieurs manières de le dire correctement et même en utilisant outre-mer mais "ses soldats d'outre-mer" est vraiment la pire.

a écrit : J'imagine que ce n'est pas le cas pour les troupes basées en Europe. Forcément, une allemande ou une polonaise ne vaut pas une djiboutienne ou une guyanaise... Alala, c'est joli tout ça. J'imagine qu'on ne va pas demander l'avis des femmes qui participent à ce genre de choses? Il paraît que la France n'a plus de territoires colonisés.. Afficher tout Honnêtement j'ai la flemme de sortir un pavé sur l'utilité d'un point de vue pragmatique
des BMC mais au lieu de sortir des pseudo arguments sans valeur et de déformer des propos assez objectifs, faites des recherches et tirez-en des arguments objectifs. Là nous pourrons avoir une discussion intéressante et ouverte.

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a écrit : La rédaction des anecdotes est parfois maladroite mais là on atteint des sommets. Comment peut-on écrire "ses soldats d'outre-mer" pour désigner les soldats engagés sur des opérations extérieures ? Et justement quand c'est à propos d'une pratique dégradante ! Celui qui a écrit ça et ceux qui ont relu croyaient que c'était destiné uniquement aux soldats originaires des départements d'outre-mer ou ils ont compris que c'était pour tous les soldats, qu'ils soient bretons, parisiens, auvergnats ou ultramarins ? Et dans ce cas c'est vraiment une grosse boulette ! Est-ce qu'il serait possible de revoir cette formulation avant que ça déclenche des manifestations contre le racisme ? Afficher tout Lourd lui...

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a écrit : les militaires français ayant quitté Djibouti en 1977, il apparait peu clair qu'il y ait eu une BMC jusqu'en 2003, mais avec l'armée française, il faut s'attendre à tout et son contraire Djibouti est devenu indépendant en 1977 mais la France a maintenu une présence militaire, qui était bénéfique pour les deux pays. Djibouti, car la présence des français avec leurs familles faisait rentrer des devises et la France car cela lui permettait d’assurer une présence et de collecter des informations sur toute la corne de l’Afrique.
Je ne vois pas le rapport avec « tout et son contraire »

a écrit : Il serait utilisable à condition que les bordels n'aient été créés que dans les colonies (puisqu'on parle de métropole dans ta définition) ce qui n'était pas vraiment le cas de Djibouti (à la fin du XXe siècle) ou du Tchad (et pour l'Indochine qui fait partie de l'Eurasie, outre-mer c'est vraiment au sens large). Mais surtout pourquoi dire "ses soldats d'outre-mer" et pas "ses soldats outre-mer" si on veut vraiment utiliser outre-mer ? Personne ici ne comprend que non seulement l'outre-mer a une définition bien précise actuellement mais que le "de" (ou le d-apostrophe quand on fait l'élision) indique la provenance et pas la localisation ou la destination ? Quand tu dis des huîtres de Marennes-Oléron ou un camembert de Normandie, c'est bien pour dire de là où ils viennent, non ? D'où ma remarque : avec des sujets un peu sensibles, comme la participation des troupes issues des colonies dans les différentes guerres menées par la France, ou même les colonies elles-mêmes ou même des départements et territoires d'outre-mer, actuels, il faut faire attention où on met les pieds et donc on fait attention à la manière dont on s'exprime et on évite de mettre un d' en trop. Il y avait plusieurs manières de le dire correctement et même en utilisant outre-mer mais "ses soldats d'outre-mer" est vraiment la pire. Afficher tout SCMB n'est pas une tribune politique, tu es lourd comme pas possible, et quand je relis le fil, je me convainc que tu deviens ridicule. Un enfant de 5 ans seraient moins... obstiné. Ceux qui voient, comme tu le fais, le mal partout deviennent souvent des procureurs impitoyables dans des tribunaux de terreur
Bois un coup, au frais, et regarde les nuages passer dans le ciel, ça devrait aller mieux, après

a écrit : La rédaction des anecdotes est parfois maladroite mais là on atteint des sommets. Comment peut-on écrire "ses soldats d'outre-mer" pour désigner les soldats engagés sur des opérations extérieures ? Et justement quand c'est à propos d'une pratique dégradante ! Celui qui a écrit ça et ceux qui ont relu croyaient que c'était destiné uniquement aux soldats originaires des départements d'outre-mer ou ils ont compris que c'était pour tous les soldats, qu'ils soient bretons, parisiens, auvergnats ou ultramarins ? Et dans ce cas c'est vraiment une grosse boulette ! Est-ce qu'il serait possible de revoir cette formulation avant que ça déclenche des manifestations contre le racisme ? Afficher tout Ton commentaire est lourd sur le fond et sur la forme. Si vraiment pour toi il y a ici un sujet à polémique, soit tu fais un commentaire avec un peu d'humour et tu passes ton message "anti-raciste" soit tu te retiens. (Je met des guillemets à anti raciste car je pense pas que l'anecdote était "raciste", ne vas pas te chauffer là dessus non plus)

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a écrit : 1) C'est fait, mais elle n'a pas encore été publiée. 2) Si tu ne vois pas le problème dans la formulation que je dénonce c'est que tu fais partie du problème. C’est un peu violent le « si tu n’es pas d’accord avec moi tu es contre moi »... je comprends que tu aies envie de t’exprimer sur la rédaction de certaines anecdotes mais pense aussi à la rédaction de tes commentaires qui paraissent assez agressifs ..

a écrit : Il serait utilisable à condition que les bordels n'aient été créés que dans les colonies (puisqu'on parle de métropole dans ta définition) ce qui n'était pas vraiment le cas de Djibouti (à la fin du XXe siècle) ou du Tchad (et pour l'Indochine qui fait partie de l'Eurasie, outre-mer c'est vraiment au sens large). Mais surtout pourquoi dire "ses soldats d'outre-mer" et pas "ses soldats outre-mer" si on veut vraiment utiliser outre-mer ? Personne ici ne comprend que non seulement l'outre-mer a une définition bien précise actuellement mais que le "de" (ou le d-apostrophe quand on fait l'élision) indique la provenance et pas la localisation ou la destination ? Quand tu dis des huîtres de Marennes-Oléron ou un camembert de Normandie, c'est bien pour dire de là où ils viennent, non ? D'où ma remarque : avec des sujets un peu sensibles, comme la participation des troupes issues des colonies dans les différentes guerres menées par la France, ou même les colonies elles-mêmes ou même des départements et territoires d'outre-mer, actuels, il faut faire attention où on met les pieds et donc on fait attention à la manière dont on s'exprime et on évite de mettre un d' en trop. Il y avait plusieurs manières de le dire correctement et même en utilisant outre-mer mais "ses soldats d'outre-mer" est vraiment la pire. Afficher tout En fait, tout le monde a compris le sens de l'anecdote y compris toi. J'avoues ne pas comprendre le sens de ta démarche.

Aller, puisque peu le font, je vais apporter mon soutien à raean.
L'anecdote souffre effectivement d'un problème de formulation, "ses soldats d'outre-mer" laisse penser à la provenance (même si l'on peut comprendre que ça n'est pas le cas), mais aussi qu'on parle exclusivement des DOM-TOM (parce que si outre-mer peut effectivement vouloir dire autre chose, il faut bien avouer que quand on parle de France et d'outre-mer, on pense aux DOM-TOM).
Que ça soit intentionnel ou pas n'est pas le sujet par contre (et ça ne l'est très probablement pas), mais ça reste une formulation qui gagnerait à être reformulé, et qu'on remarque plus aisément dans le contexte actuel.

a écrit : 1) C'est fait, mais elle n'a pas encore été publiée. 2) Si tu ne vois pas le problème dans la formulation que je dénonce c'est que tu fais partie du problème. Détends-toi . Recoller des phrases pseudo-intellecutelles ne sert à rien.

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a écrit : 1) C'est fait, mais elle n'a pas encore été publiée. 2) Si tu ne vois pas le problème dans la formulation que je dénonce c'est que tu fais partie du problème. Fais toi soigner !

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a écrit : La rédaction des anecdotes est parfois maladroite mais là on atteint des sommets. Comment peut-on écrire "ses soldats d'outre-mer" pour désigner les soldats engagés sur des opérations extérieures ? Et justement quand c'est à propos d'une pratique dégradante ! Celui qui a écrit ça et ceux qui ont relu croyaient que c'était destiné uniquement aux soldats originaires des départements d'outre-mer ou ils ont compris que c'était pour tous les soldats, qu'ils soient bretons, parisiens, auvergnats ou ultramarins ? Et dans ce cas c'est vraiment une grosse boulette ! Est-ce qu'il serait possible de revoir cette formulation avant que ça déclenche des manifestations contre le racisme ? Afficher tout Tu es seul à réagir comme ça, donc il n'y aura pas de manifestation. Certes la formulation aurait pu être améliorée mais avec du bon sens on comprend très bien la phrase faut pas deconner : soldats d'outre mer --> loin de chez eux (donc de la métropole pour reprendre ton cas de l'Auvergnat) --> pulsions sexuelles exacerbées --> création des BMC pour canaliser.

a écrit : Aller, puisque peu le font, je vais apporter mon soutien à raean.
L'anecdote souffre effectivement d'un problème de formulation, "ses soldats d'outre-mer" laisse penser à la provenance (même si l'on peut comprendre que ça n'est pas le cas), mais aussi qu'on parle exclusiv
ement des DOM-TOM (parce que si outre-mer peut effectivement vouloir dire autre chose, il faut bien avouer que quand on parle de France et d'outre-mer, on pense aux DOM-TOM).
Que ça soit intentionnel ou pas n'est pas le sujet par contre (et ça ne l'est très probablement pas), mais ça reste une formulation qui gagnerait à être reformulé, et qu'on remarque plus aisément dans le contexte actuel.
Afficher tout
Peut-être qu'en étant factuel et non agressif? Raean n'aurait pas autant fait réagir. Une simple remarque, l'auteur répond et modifie s'il le juge .nécessaire après exposition des arguments de chacun et on passe à autre chose.

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a écrit : Peut-être qu'en étant factuel et non agressif? Raean n'aurait pas autant fait réagir. Une simple remarque, l'auteur répond et modifie s'il le juge .nécessaire après exposition des arguments de chacun et on passe à autre chose. Bah je trouve justement que certaines des réponses à ses commentaires sont beaucoup plus agressif que les commentaires d'origines, et souvent avec peu d'arguments en dehors de "tu nous fais chier".
En outre, il n'est malheureusement pas possible pour les auteurs de modifier leurs anecdotes (ça pourrait poser problème puisqu'on pourrait modifier une anecdote publié et changer son sens, voir tout son contenu).
Je doute fortement que la formulation soit voulue, mais elle reste maladroite, et raean a raison de le signaler, outre-mer ayant un sens courant différent de "tout ce qui n'est pas en France métropolitaine".

a écrit : 1) C'est fait, mais elle n'a pas encore été publiée. 2) Si tu ne vois pas le problème dans la formulation que je dénonce c'est que tu fais partie du problème. Il n'y a que toi qui a mal compris l'anecdote ...

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a écrit : Il n'y a que toi qui a mal compris l'anecdote ... Au contraire, j'ai très bien compris puisque j'ai non seulement compris ce que l'auteur voulait dire mais j'ai aussi compris que ce n'était vraiment pas la bonne manière de le dire.

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a écrit : 1) C'est fait, mais elle n'a pas encore été publiée. 2) Si tu ne vois pas le problème dans la formulation que je dénonce c'est que tu fais partie du problème. Mais qu'est-ce qu'il t'est arrivé aujourd'hui ou dans la vie, pour être aussi grincheux?

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