Le dictateur italien Benito Mussolini a eu pour premier métier celui d'instituteur. Suivant les traces de sa mère institutrice, Mussolini exerça un temps cette fonction. Il fuira en Suisse par la suite, afin d'éviter le service militaire.
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Le dictateur italien Benito Mussolini a eu pour premier métier celui d'instituteur. Suivant les traces de sa mère institutrice, Mussolini exerça un temps cette fonction. Il fuira en Suisse par la suite, afin d'éviter le service militaire.
Commentaires préférés (3)
La dernière phrase de l'anecdote, pourrait porter à confusion.
Mussolini est revenu en Italie, suite à une amnistie qui supprimait sa condamnation à une année de prison, pour ne pas avoir effectué son service militaire. Service qu'il effectuera d'ailleurs ultérieurement, pour une période de deux ans, à Vérone.
De tout, un peu.
Quelques autres anecdotes et curiosités à propos de Benito Mussolini.
Plusieurs documents attestent que Mussolini fut, en 1917 et 1918, à la solde du MI5, les Services Secrets Britanniques, pour un salaire hebdomadaire de 100 livres sterling. Pour une personne qui avait des idées de Gauche quand il se lança en Politique, ce salaire était plus que généreux, car il représenterait aujourd'hui, un revenu de 6400 €uros, chaque semaine.
Margheritta Sarfatti était une de ses amantes. C'était une écrivaine issue d'une riche famille Juive Vénitienne. Elle écrivit la biographie de Mussolini, livre qui deviendra un succès commercial international, traduit dans de nombreuses langues, dont le Turc ou le Japonais.
Quand les Lois Antisémites apparurent en Italie en 1938, elle abandonnera son pays et son amant, pour vivre en Argentine et en Uruguay.
Sa sœur fut malheureusement arrêtée, déportée et assassinée à Auschwitz.
Alors que l'idéologie Fasciste Italienne prônait les valeurs de la famille traditionnelle, Mussolini était un véritable coureur de jupons qui n'hésitait pas a tromper et sa femme, Ida Dasler, et son amante. On lui prête d'avoir fait détruire les registres de mariage religieux de sa première femme (Ida), et l'acte de naissance de son premier fils, Benito Albino. Toujours est-il que quand il accède au Pouvoir, il fait interner Ida dans un asile, où elle décédera. Son fils Benito suivra le même chemin.
Rachelle Guido fut sa femme officielle. Elle était tout aussi infidèle que son mari. Mari qui était appelé "Il duce" par ses admirateurs... Et "il cornuto" par ses détracteurs.
Mussolini fut fusillé par les Partisans, le 28 avril 1945. Il était alors accompagné par son amante du moment, Clara Petacci. Clara fournissait Mussolini d'un médicament appelé Hormovin, produit par un laboratoire pharmaceutique Allemand. Le Hormovin est considéré comme le précurseur de l'actuel Viagra.
Elle, 29 ans plus jeune que Mussolini, coucha un millier de pages d'écriture, contant la vie publique, privée et intime du Duce, narrant jusqu'à sa brutalité, ses manies et ses vices sexuels.
Adolf Hitler et Eva Braun furent informés de la mort violente de Mussolini et de Clara Petacci.
Deux jours plus tard, le Leader nazi et son amante, se suicident.
Mussolini était un fanfaron, un bouffon, un histrionique, qui théâtralisait sa vie et ses actes publics.
De petite taille et obèse, il voulait donner une apparence autre, portant des bottes à haut-talons et des excentriques chapeaux ou couvre chef.
Durant ses discours, il faisait usage d'une gestuelle et de mimiques remplies de furie guerrière, mais interprété par un mauvais acteur de la Comedia del Arte.... Tout comme le petit moustachu de Berlin.
Tous les commentaires (33)
La dernière phrase de l'anecdote, pourrait porter à confusion.
Mussolini est revenu en Italie, suite à une amnistie qui supprimait sa condamnation à une année de prison, pour ne pas avoir effectué son service militaire. Service qu'il effectuera d'ailleurs ultérieurement, pour une période de deux ans, à Vérone.
De tout, un peu.
Quelques autres anecdotes et curiosités à propos de Benito Mussolini.
Plusieurs documents attestent que Mussolini fut, en 1917 et 1918, à la solde du MI5, les Services Secrets Britanniques, pour un salaire hebdomadaire de 100 livres sterling. Pour une personne qui avait des idées de Gauche quand il se lança en Politique, ce salaire était plus que généreux, car il représenterait aujourd'hui, un revenu de 6400 €uros, chaque semaine.
Margheritta Sarfatti était une de ses amantes. C'était une écrivaine issue d'une riche famille Juive Vénitienne. Elle écrivit la biographie de Mussolini, livre qui deviendra un succès commercial international, traduit dans de nombreuses langues, dont le Turc ou le Japonais.
Quand les Lois Antisémites apparurent en Italie en 1938, elle abandonnera son pays et son amant, pour vivre en Argentine et en Uruguay.
Sa sœur fut malheureusement arrêtée, déportée et assassinée à Auschwitz.
Alors que l'idéologie Fasciste Italienne prônait les valeurs de la famille traditionnelle, Mussolini était un véritable coureur de jupons qui n'hésitait pas a tromper et sa femme, Ida Dasler, et son amante. On lui prête d'avoir fait détruire les registres de mariage religieux de sa première femme (Ida), et l'acte de naissance de son premier fils, Benito Albino. Toujours est-il que quand il accède au Pouvoir, il fait interner Ida dans un asile, où elle décédera. Son fils Benito suivra le même chemin.
Rachelle Guido fut sa femme officielle. Elle était tout aussi infidèle que son mari. Mari qui était appelé "Il duce" par ses admirateurs... Et "il cornuto" par ses détracteurs.
Mussolini fut fusillé par les Partisans, le 28 avril 1945. Il était alors accompagné par son amante du moment, Clara Petacci. Clara fournissait Mussolini d'un médicament appelé Hormovin, produit par un laboratoire pharmaceutique Allemand. Le Hormovin est considéré comme le précurseur de l'actuel Viagra.
Elle, 29 ans plus jeune que Mussolini, coucha un millier de pages d'écriture, contant la vie publique, privée et intime du Duce, narrant jusqu'à sa brutalité, ses manies et ses vices sexuels.
Adolf Hitler et Eva Braun furent informés de la mort violente de Mussolini et de Clara Petacci.
Deux jours plus tard, le Leader nazi et son amante, se suicident.
Mussolini était un fanfaron, un bouffon, un histrionique, qui théâtralisait sa vie et ses actes publics.
De petite taille et obèse, il voulait donner une apparence autre, portant des bottes à haut-talons et des excentriques chapeaux ou couvre chef.
Durant ses discours, il faisait usage d'une gestuelle et de mimiques remplies de furie guerrière, mais interprété par un mauvais acteur de la Comedia del Arte.... Tout comme le petit moustachu de Berlin.
Cependant, la fin de mon commentaire, ( les deux derniers paragraphes) ne sont pas de moi, mais une traduction - certes réduite - d' un article de l'excellent auteur Alfredo Serra.
Quant à Karine, si tu savais combien je "m'en bat les coui**es"...
A savoir que c’est en grande partie grâce à l’Église catholique que Mussolini a été élu en 1924
Merci.
Il y a toute une autre liste de faits Historiques relatifs à Mussolini et au Fascisme Italien, qui sont bien plus profonds, sérieux et tristes - tres tristes ! - que je n'ai pas voulu rajouter dans ces anecdote à propos du Duce.
Malheureusement, il se trouve actuellement un 20% d'Italiens, ayant une opinion favorable envers Mussolini, et qui trouveraient donc "réducteur" de dépeindre le Duce, en les termes peu élogieux employés par Alfredo Serra, et avec lequels j'adhère totalement.
Je termine en reprenant - de forme revisitée -, une phrase de Winston Churchill.
"Une Europe qui n'apprend pas de son Histoire, est condamnée à la revivre".
Je doute que "Karine" ( Le Pen) prononcerait une telle phrase.
En réalité, je ne parle pas du tout le Catalan et communique seulement en Espagnol.
A mes yeux, le Catalan est une langue a unique finalité politique, et qui a divisé les gens... Alors que la finalité d'une langue est justement le contraire: communiquer et se comprendre.
Tu as tout à fait eu raison de me reprendre, à propos de "porter" et "prêter".
Ce n'est pas la première fois que je "francise" des mots ou expressions ( en espagnol), sans pour autant m'en rendre compte.
En préambule, dire que je suis désolé de la tournure qu'ont pris les commentaires relatifs à ton anecdote.
Non seulement Mussolini fut "plutôt" Socialiste, mais il s'engagea a fond pour cette doctrine durant plus d'une décennie, devenant membre militant du Parti, écrivant des articles et publiant des quotidiens, organisant des grèves ouvrières et défendant le syndicalisme.
Et pourtant, il sera exclu du Parti Socialiste Italien... Mais continuera dans la sphère de la Gauche Italienne.
Ce n'est qu'en 1920 qu'il bascule vers la Droite.... Mais là c'est une autre Histoire, celle qui est plus connue par le public, alors que ton anecdote voulait mettre en lumière, une période de sa vie bien différente de celle d'un dictateur.
Cette période de la vie d'un prolétaire qui gagnait son pain de petits boulots en Suisse, dont celui de maçon, participant à la construction de villas pour milliardaires. Celle d'un Mussolini qui fut même arrêté par la police Suisse pour... vagabondage alors qu'il dort dans la rue.
Surprenant.
EDIT: et Philippe passa l'aspirateur....
Les citations du genre : pour préparer l'avenir il faut tenir compte du passé etc etc ne sont que des belles phrases philosophiques. Les politiques et les grosses industries n'en ont rien à battre, il agissent dans leurs intérêts du moment sans tenir compte de ce que leur choix aura comme conséquences.
Et les conséquences nous les avons sous les yeux, accroissement de la pauvreté, insécurité, peur de l'avenir et donc montée galopante du fascisme et la peur d'une guerre civile.
Alors bien sûr que le fascisme et l'ultra nationalisme c'est l'horreur, mais j'en reviens à ma phrase d'intro et n'est-ce pas une période que nous avons déjà connu en Europe.
Donc non, nos dirigeants ne tiennent aucun compte du passé et font sans cesse les mêmes erreurs qui nous emmènent au même résultat.