En 1577, la galerie du château de Chenonceau accueillit pour l’inaugurer un bal érotique assez osé. Les servantes y circulaient seins nus et les dames étaient drapées seulement d'un léger voile. Cette audace visait à taire les rumeurs d'homosexualité d'Henri III, alors sans héritier.
Le roi de France aimait alors s'entourer de mignons, et avait donné peu de temps auparavant, une fête sur le thème du travestissement où tous les hommes se déguisaient en femme, et toutes les femmes en homme.
Commentaires préférés (3)
Henri III n'était certainement pas homosexuel mais bisexuel, toujours est-il qu'il a eu énormément de conquêtes féminines.
D'ailleurs contrairement à ses prédécesseurs, réellement amoureux et pour, très certainement, casser les pieds à sa mère Catherine de Médicis, Henri choisira sa future épouse. Il épousera Louise de Lorraine-Vaudémont, future reine de France, princesse Lorraine de basse extraction. Elle ressemblait apparemment comme deux gouttes d'eau à son premier amour, Marie de Clève, promise à un autre et qui mourra en couche à 21 ans.
Il sera assassiné au matin du 1er août 1589 d'un coup de couteau au bas-ventre sur sa chaise percée, alors qu'il recevait son procureur général accompagné d'un moine dominicain (l'assassin). Il décèdera dans la nuit du lendemain après une péritonite aggravée, persuadé jusqu'au bout et malgré son agonie qu'il allait s'en tirer.
Il était le dernier représentant de la maison capétienne des Valois, laquelle a régné sur la France pendant plus de 200 ans.
L'homosexualité présumée de Henri III semble remise en cause par les historiens aujourd'hui. Elle était véhiculée par ses nombreux opposants car il était attentionné sur son look, propre, et lançait des "modes", comme une perle à l'oreille, etc... Le fait qu'il n'ait pas eu d'enfant aussi, bien sûr.
Mais en réalité, on lui porte de nombreuses conquêtes féminimes dans les courtisanes, et un amour fou pour Marie de Clèves dont il ne se serait jamais remis de la mort.
Dernier Roi des "Valois", après avoir été Roi de Pologne, il a été assassiné par un moine !
Il y a un sacré pas entre bisexuel et non binaire, surtout si on lit sa biographie.
Pour le reste, de son court règne il ne fera pas grand chose et la France s'enfonce encore plus dans la guerre civile.
Tous les commentaires (25)
On note à la fin de la première source que ça n'a pas vraiment servi à grand chose : "le Roi restant impassible, l’objectif ne fut cette fois pas tout à fait atteint…"
Henri III n'était certainement pas homosexuel mais bisexuel, toujours est-il qu'il a eu énormément de conquêtes féminines.
D'ailleurs contrairement à ses prédécesseurs, réellement amoureux et pour, très certainement, casser les pieds à sa mère Catherine de Médicis, Henri choisira sa future épouse. Il épousera Louise de Lorraine-Vaudémont, future reine de France, princesse Lorraine de basse extraction. Elle ressemblait apparemment comme deux gouttes d'eau à son premier amour, Marie de Clève, promise à un autre et qui mourra en couche à 21 ans.
Il sera assassiné au matin du 1er août 1589 d'un coup de couteau au bas-ventre sur sa chaise percée, alors qu'il recevait son procureur général accompagné d'un moine dominicain (l'assassin). Il décèdera dans la nuit du lendemain après une péritonite aggravée, persuadé jusqu'au bout et malgré son agonie qu'il allait s'en tirer.
Il était le dernier représentant de la maison capétienne des Valois, laquelle a régné sur la France pendant plus de 200 ans.
C'est marrant, on m'en a pas trop parlé de celui là à l'école..pourtant c'est so french ! Fier d'avoir eu un roi non binaire.
L'homosexualité présumée de Henri III semble remise en cause par les historiens aujourd'hui. Elle était véhiculée par ses nombreux opposants car il était attentionné sur son look, propre, et lançait des "modes", comme une perle à l'oreille, etc... Le fait qu'il n'ait pas eu d'enfant aussi, bien sûr.
Mais en réalité, on lui porte de nombreuses conquêtes féminimes dans les courtisanes, et un amour fou pour Marie de Clèves dont il ne se serait jamais remis de la mort.
Dernier Roi des "Valois", après avoir été Roi de Pologne, il a été assassiné par un moine !
Confondre expression de monarchie et identité de monarchie en 2020...
Il y a un sacré pas entre bisexuel et non binaire, surtout si on lit sa biographie.
Pour le reste, de son court règne il ne fera pas grand chose et la France s'enfonce encore plus dans la guerre civile.
Henri III a également eu la syphilis, non ?
une partouze où toutes les règles sont proscrites, avant c'était pour le gratin, maintenant tout le monde y a droit!
VIVA la révolution! ^^
Étonnant qu'aucune sextape ne soit encore sortie à propos de cette soirée !!
:)
Pas de photo, pour mieux se rendre compte ?
Ça s'écrit "minion".
Attention à ne pas donner des idées à certains, il ne faudrait pas qu'il y ait une recrudescence d'adhésions LGBTOQ+ à l'Action française !
« Étymologiquement, le mot est une apocope de « pédéraste », un terme employé à l'origine pour désigner la relation particulière entre un homme mûr et un jeune garçon dans la Grèce antique, non seulement dans le domaine sexuel mais aussi éducatif. Apparu en langue française au xvie siècle au sens d’« amour des garçons », il connaît rapidement une série de glissements sémantiques qui l’éloigneront considérablement de sa signification première. C'est au xixe siècle que le terme de pédéraste se diffuse plus largement en prenant la valeur erronée d'« homosexuel »[3]. Le diminutif « pédé » apparaît quant à lui vers 1836[3], suivi de sa féminisation « pédale » vers 1935[4], pédoque en 1953[3] et péd en 1972[3]. On voit apparaître dès la fin des années 1990 une nouvelle actualisation du terme relative au rapide développement du verlan : « dep »[5]. »
Copier coller de la page wikipedia du terme pédé.
Cela est une insulte depuiiiiiis très longtemps. Donc on évite de l’utiliser. Merci.
Le rêve !