Les 5 techniques d'interrogatoire du conflit nord-irlandais

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Lors du conflit nord-irlandais, l'armée britannique recourut au principe des "cinq techniques" pour ses interrogatoires : port de la cagoule aveugle, maintien debout prolongé, exposition à des forts bruits, privation de sommeil et de nourriture. La question de la qualification de ces actes comme actes de torture fut posée à la Cour Européenne des Droits de l'Homme.


Commentaires préférés (3)

Donc il y a vraiment des gens qui ont besoin de réfléchir pour savoir si priver quelqu'un de sommeil ou de nourriture, entre autres, est effectivement de la torture ?!

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La question a été soulevée une première fois en 1978, où la Cour de Strasbourg a déclaré qu'il n'y avait pas eu de torture mais des traitements "inhumains et dégradants".

En 2014 le gouvernement irlandais à demandé à la Cour Européenne des Droits de l'Homme une révision de cette décision en apportant plus d'éléments au dossier, et qui n'avaient pas été présentés lors du premier jugement. Le tribunal a rejeté cette demande de révision ...

Je me demande bien où se trouve, officiellement et légalement, la frontière entre torture et traitements inhumains ...

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a écrit : L'armée britannique n'a rien à envier aux armées des pays les plus totalitaires : fr.wikipedia.org/wiki/Bloody_Sunday_(1972) J'imagine aussi que si on creuse un minimum, aucune armée d'aucun pays n'a a envier à ses homologues !

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Donc il y a vraiment des gens qui ont besoin de réfléchir pour savoir si priver quelqu'un de sommeil ou de nourriture, entre autres, est effectivement de la torture ?!

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La question a été soulevée une première fois en 1978, où la Cour de Strasbourg a déclaré qu'il n'y avait pas eu de torture mais des traitements "inhumains et dégradants".

En 2014 le gouvernement irlandais à demandé à la Cour Européenne des Droits de l'Homme une révision de cette décision en apportant plus d'éléments au dossier, et qui n'avaient pas été présentés lors du premier jugement. Le tribunal a rejeté cette demande de révision ...

Je me demande bien où se trouve, officiellement et légalement, la frontière entre torture et traitements inhumains ...

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Tiens, le point Jul n’a pas encore été atteint après les 3 premiers commentaires.
On est en progrès.

a écrit : Tiens, le point Jul n’a pas encore été atteint après les 3 premiers commentaires.
On est en progrès.
C'est parce que les amateurs du point Jul sont pas plus malins que l'artiste qu'ils pensent insulter. T'es un optimiste toi ^^'.

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a écrit : La question a été soulevée une première fois en 1978, où la Cour de Strasbourg a déclaré qu'il n'y avait pas eu de torture mais des traitements "inhumains et dégradants".

En 2014 le gouvernement irlandais à demandé à la Cour Européenne des Droits de l'Homme une révision de cette d
écision en apportant plus d'éléments au dossier, et qui n'avaient pas été présentés lors du premier jugement. Le tribunal a rejeté cette demande de révision ...

Je me demande bien où se trouve, officiellement et légalement, la frontière entre torture et traitements inhumains ...
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Ne serait-ce pas tout simplement une question de terminologie ?

J'allais d'abord répondre que la limite était peut-être l'atteinte physique mais la privation de nourriture (et j'imagine celle du sommeil) en sont sûrement aussi.

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a écrit : L'armée britannique n'a rien à envier aux armées des pays les plus totalitaires : fr.wikipedia.org/wiki/Bloody_Sunday_(1972) J'imagine aussi que si on creuse un minimum, aucune armée d'aucun pays n'a a envier à ses homologues !

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a écrit : J'imagine aussi que si on creuse un minimum, aucune armée d'aucun pays n'a a envier à ses homologues ! J'en suis persuadé. Déjà, si c'étaient des démocrates respectueux de l'humanité, ça se saurait, ils feraient autre chose que militaires

a écrit : J'en suis persuadé. Déjà, si c'étaient des démocrates respectueux de l'humanité, ça se saurait, ils feraient autre chose que militaires C'est de l'humour?

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Écouter le dernier album de jul c'est pas de la torture peur être ?

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a écrit : Tiens, le point Jul n’a pas encore été atteint après les 3 premiers commentaires.
On est en progrès.
Ah bah il vient d'être atteint, devin !

a écrit : qu'est-ce que c'est "jul"? Un auteur-compositeur-interprète marseillais, plusieurs fois primé disque d'or et platine, créateur de son propre label, mais comme il est dans un style qui plaît pas à tout le monde bah les gens se moquent de lui comme ils peuvent...

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a écrit : Un auteur-compositeur-interprète marseillais, plusieurs fois primé disque d'or et platine, créateur de son propre label, mais comme il est dans un style qui plaît pas à tout le monde bah les gens se moquent de lui comme ils peuvent... Traduction : un rappeur marseillais auto-produit qui vend beaucoup de disque.

Ça c’est du quantitatif, on discute pas.

Le qualitatif, pardon, mais là y’a déjà plus à dire ...

Quant aux clips, on va pas se mentir, à base de mobylette et de potes de lycée en survet’ qui prennent des pauses de « gansèstères américaings » ils font la joie de soirée entre amis tant ils ressemblent... à des parodies !

Les Inconnus ont une relève... involontaire.

Après c’est chacun son goût...

Donc toi aussi tu te crois meilleur que les autres en jugeant sur les apparences et les occupations des gens ?

Un mec qui sort de la rue, qui compose, qui écrit, qui interprète, qui devient chef d'entreprise, qui fédère une communauté (deux si on compte les anti), qui est respecté par ses pairs et les medias gravitant autour et tout ça résultant sur les plus hautes distinctions qui existent dans l'industrie de la musique c'est du quantitatif ou du qualitatif ?

Quand bien même ce serait exclusivement du quantitatif, où est le problème à partir du moment où il est resté fidèle à lui-même et ne s'est pas travesti pour des objectifs quantitatifs ?

Mais ouais, "chacun ses goûts", il paraît ouais...

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a écrit : Donc il y a vraiment des gens qui ont besoin de réfléchir pour savoir si priver quelqu'un de sommeil ou de nourriture, entre autres, est effectivement de la torture ?! Parce que dans le droit international, il me semble qu’on différencie torture, supplice et sévice.
Donc oui, il y a des gens qui sont là pour ranger un acte dans telle ou telle case.

a écrit : Parce que dans le droit international, il me semble qu’on différencie torture, supplice et sévice.
Donc oui, il y a des gens qui sont là pour ranger un acte dans telle ou telle case.
Si on prend la définition "officielle" de la torture, c'est une souffrance infligée à quelqu'un pour lui faire avouer quelque chose... Il y a quelques définitions avec la notion de "risquer de provoquer la mort"... Dans les deux cas on y est dans le cas qui nous occupe : souffrances c'est acté, et avec privation d'eau et nourriture, on ne vit pas très longtemps...
Alors je rejoins @ HORATIUSS. Je ne vois même pas comment on peut se poser la question :)

a écrit : Donc il y a vraiment des gens qui ont besoin de réfléchir pour savoir si priver quelqu'un de sommeil ou de nourriture, entre autres, est effectivement de la torture ?! La raison est simple, c'est du droit , chaque terme à une définition précise. Donc, même en considérant que la commission d'une infraction est évidente, il faut déterminer exactement quelle infraction.
De même, la présomption d'innocence impose que, même si le crime est évident, on ne peut le sanctionner tant qu'une autorité judiciaire ne la pas affirmée.

a écrit : La question a été soulevée une première fois en 1978, où la Cour de Strasbourg a déclaré qu'il n'y avait pas eu de torture mais des traitements "inhumains et dégradants".

En 2014 le gouvernement irlandais à demandé à la Cour Européenne des Droits de l'Homme une révision de cette d
écision en apportant plus d'éléments au dossier, et qui n'avaient pas été présentés lors du premier jugement. Le tribunal a rejeté cette demande de révision ...

Je me demande bien où se trouve, officiellement et légalement, la frontière entre torture et traitements inhumains ...
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La différence se situe dans la violence physique. La torture implique des sévices corporels chose que la privation de sommeil et de nourriture ne provoque pas ( saignement, amputations, etc...)

a écrit : Parce que dans le droit international, il me semble qu’on différencie torture, supplice et sévice.
Donc oui, il y a des gens qui sont là pour ranger un acte dans telle ou telle case.
Bah je voudrais pas de ce job. Enfin quand même, ça doit pas être si dure à classer, qu'est-ce qui pourrais faire hésiter quelqu'un a dire que oui, c'est de la torture ?

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