Le bouffon avait officiellement le droit de se moquer du roi

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Associé aujourd'hui à l’image de clown ou de larbin, le bouffon au Moyen Âge jouissait pourtant d’un privilège unique dans le royaume : il était le seul à pouvoir légitimement se moquer du roi, ce qu’il faisait souvent. Cela n’était toutefois pas sans risques et certains ont payé parfois de leur vie une plaisanterie mal supportée.

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a écrit : Il n'y a pas de limite entre humour et politique. Les Guignols de l'Info en sont un exemple moderne français typique.

Humour + politique = art engagé. Faire de la politique et faire de l’humour politique, ce n’est pas vraiment pareil.

a écrit : Rien à voir mais ton image de profil c'est tiré de quoi ?? Merci Le marginal
Avec belmondo et la sublime Jacqueline Bisset

a écrit : Le marginal
Avec belmondo et la sublime Jacqueline Bisset Non ça c'est moi et c'est Le Magnifique !! Je demandais à Kepotx quelle est sa photo de profil, c'est un dessin, tiré d'un jeu vidéo on dirait

a écrit : On muselle (et non "musèle") les humoristes en France ? Des exemples ?

Je trouve plutôt que les humoristes français sont très mauvais et surtout bien peu courageux. A part quelque-uns comme Jérémy Ferrari pour ne citer que lui, bien peu osent dénoncer les choses par l'humour. Et quand le sketch est bien écrit et que l'on comprend que c'est de l'humour, on peut clairement dire et dénoncer tout ce que l'on veut sans offenser personne. Afficher tout Hahaha tu trouves sérieusement Jérémy Ferrari drôle et courageux ? Mon pauvre...

a écrit : Si tu entend e'core parler de Dieudonné, c'est qu'il n'est pas tant muselé que ça. Le fait que certaines salles de spectacles n'aient pas toujours voulues de lui ne signifie pas qu'il est censuré par un état, la preuve il se produit encore régulièrement et tout à fait légalement Un de ses spectacles a été censuré par le conseil d'État en 2014. C'est l'exact inverse sinon, les salles veulent de lui mais reçoivent les interdictions des villes ou des préfectures... Je précise que je n'aime pas l'humour de Dieudonné mais tu dis n'importe quoi.

a écrit : Hahaha tu trouves sérieusement Jérémy Ferrari drôle et courageux ? Mon pauvre... Je t'en prie, étaye ton propos, parce que là niveau argumentation, on est proche du néant.

a écrit : Dommage que Sir Macron n est pas de bouffon attitré ;) Il en a 70 000 000

a écrit : Rien à voir mais ton image de profil c'est tiré de quoi ?? Merci Un fanart de A song of Ice and Fire

Du coup le président qui se moque du peuple... fait de lui un clown et le peuple roi?

a écrit : Si je dis Dieudonné tu vas me traiter d'antisémite? On ne sait jamais.. Je me rends compte qu'il y a des mots ou des noms qu'on ne peut plus prononcer dans cette liberté d'expression sans attiser l'hystérie générale. Oui.
Quand on s'entoure de Faurisson, Lepen, Soral, qu'on les fait monter sur scène pour qu'ils s'expriment.
Que l'on organise des concours de quenelles sur des sites comme Auschwitz, ou l'école ozar hatorah ou des enfants se sont fait tués à bout portant, oui, on est antisémite.
Soutenir de telles personnes au non de la liberté d'expression, franchement ça dépasse l'entendement.


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a écrit : Je t'en prie, étaye ton propos, parce que là niveau argumentation, on est proche du néant. Tu as besoin d'arguments pour qualifier l'humour c'est tu es un robot. Triste personnage

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a écrit : Tu as besoin d'arguments pour qualifier l'humour c'est tu es un robot. Triste personnage En français, ça donne quoi ?

a écrit : Tu as besoin d'arguments pour qualifier l'humour c'est tu es un robot. Triste personnage L’humour c’est comme l’Art, il y en a de toute sorte et chacun aime certains et pas d’autres. Ainsi si pour l’Art, la beauté est dans les yeux de celui qui regarde, on peut dire que la drôlerie est dans les oreilles de celui qui écoute (et/ou dans les yeux aussi puisque le comique peut également être visuel).

Ce faisant, dénier arbitrairement l’humour d’un comique parce que VOUS ne le trouvez pas drôle n’apporte pas grand chose. De fait, des arguments qui permettraient de comprendre votre position seraient des plus utiles au débat.
En conclusion, le robot serait plutôt celui qui se montre incapable à la fois, d’une part, de comprendre que certains ont un humour différent du sien et, d’autre part, de partager son propre vécu de l’humour.