Agatha Christie est l'une des écrivaines les plus célèbres (et de loin la plus traduite) au monde. Mais elle est également pionnière dans une autre discipline beaucoup plus surprenante : elle est l'une des premières Britanniques à avoir pratiqué le surf, en 1922.
C'est à l'occasion d'un tour du monde réalisé en 1922 avec son mari de l'époque qu'elle a découvert et pratiqué ce sport, en Afrique du Sud ainsi qu'à Hawaï. Cette expérience est relatée dans ses mémoires.
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Et j'insiste, la logique mathématique ne peut pas s'appliquer telle quelle aux sciences humaines, parce que l'humain est irrationnel. Cela créé des singularités. Le socialisme scientifique (URSS) en est l'exemple parfait, ou sinon renseignez vous sur le Phalanstère de Fourier.
Ce que je trouve injuste c'est de voir, à l'heure actuelle, des personnes (majoritairement des hommes) qui s'insurgent à l'idée qu'on puisse féminiser ces termes, ou voir plus haut, que ça rend carrément fou...
Au 21ème siècle, il me paraît insensé que cela sucite tant de polémique, c'est tout.
Donc ça revient à ce que je dis, peu importe si c'est l'Académie Française qui s'est contenté de dire "bon comme on l'utilise pas, on le jarte" ou si ce sont les locuteurs qui s'en sont chargé au fil des années, la finalité est la même.
Et justement, je ne vois pas en quoi l'accueil devrait être moqueur, ou même chaleureux, ces mots existent, ils sont utilisés de nouveau, point barre. J'ai même du mal à comprendre que ce soit sujet à débat, pour tout te dire.
La langue française a choisi de genrer ses termes (contrairement à l'anglais qui se contente de dire "his/her" sans changer le mot qui suit, beaucoup plus simple), autant le faire correctement, non ?
Mais je suis d'accord avec toi pour Jacobson, nul besoin de l'invoquer lorsqu'il s'agit de la théorie signifiant-signifié puisque c'est Saussure qui en est l'auteur...
Pour revenir sur l’écriture féminisée, je ne suis pas contre le principe mais contre l’application. Si le projet avait été exposé comme une modification possible de la langue et adopté en tant que tel « naturellement » (et ici je veux dire sans contrainte), aucun problème. En revanche, l’imposer serait si dangereux! En effet toute modification « forcée » de la langue qui n’a pas de visée de précision scientifique ou juridique par exemple a tendance à idéologiser le langage. Ainsi même par souci d’égalité - et honnêtement il y a peut être plus urgent que l’écriture féminisée - imposer cette vision serait délétère et dangereux.