Ceslaw Bojarski était un faux monnayeur surnommé le Cézanne de la fausse monnaie car ses faux billets, et notamment les "Bonaparte" de 100 francs, étaient difficiles à distinguer des vrais. Il maitrisait toute la chaine de production de la contrefaçon, créant lui-même le papier, l'encre et les machines. Ses faux billets sont aujourd'hui très recherchés par les collectionneurs et se vendent des milliers d'euros.
Il fut arrêté suite a une perquisition ratée : un policier fit tomber un verre d'eau, qui fut absorbé immédiatement. Intrigué, il découvrit la cache, contenant les machines et 30 millions de francs.
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Il faudra quand même m'expliquer l'intérêt de payer des milliers d'euros pour un faux billets de 100 francs
"vrai" dans un tableau onirique de Salvador Dali ? Quant à mettre le vrai et la copie sur le même pied je m'étrangle de désaccord : une copie parfaite à l'atome près de son original ne sera toujours qu'une copie, car ce qui est admirable
C'est la CREATION, et donc toujours et uniquement l'ORIGINAL... le reste ne vaut RIEN du point de vue artistique, sinon du point de vue technique...
Comparaison hasardeuse : en science ou seul le vrai est beau (et non l'inverse...), si j'écris E = mc2 sur un bout de papier je ne suis pas Einstein pour autant, et même si je comprends (hypothèse) parfaitement toute la théorie de la relativité et peux l'expliquer, personne ne me donnera le prix Nobel
Car je n'ai rien trouvé, inventé, créé, découvert...
En attendant je ne sais toujours pas où tu as déniché ta si jolie et originale robe à fleurs... et même si c'est une copie, tu es (déjà) pardonnée...