Malgré sa qualité de militaire, le général de Gaulle exprimait régulièrement son dégoût pour la consommation d'animaux qu'il avait personnellement connus. Cela obligeait par exemple son épouse à cuisiner les animaux de leur ferme en cachette, lui affirmant qu'ils venaient du marché.
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Le rapport avec sa qualité de militaire ? C'est pas parce qu'on s'engage pour potentiellement tuer des adversaires qu'on serait forcément d'accord pour buter son propre chien. La c'est plus ou moins pareil (en un peu plus curieux je le reconnais) non ?
Quel rapport avec sa qualité de militaire ? ^^
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Le rapport avec sa qualité de militaire ? C'est pas parce qu'on s'engage pour potentiellement tuer des adversaires qu'on serait forcément d'accord pour buter son propre chien. La c'est plus ou moins pareil (en un peu plus curieux je le reconnais) non ?
Tout comme Elisa Delajungle, je les comprends ;-)
Quel rapport avec sa qualité de militaire ? ^^
Je ne vois pas en quoi les militaires, plus que les autres, éprouvent un plaisir pervers à dévorer leur chien ou leur cheval. Enfin, cela aura sans doute été dit dans les premiers commentaires, qu'on ne peut pas lire pour l'instant...
Je pense que dans l esprit de la personne qui a posté cette anecdote la qualité de militaire rend insensible à la souffrance animal. Je peux comprendre ce point de vue car en temps de guerre ses ordres pouvaient faire tuer des êtres humains donc on peut juger la sensibilité à l égard des animaux (qu il a connu) paradoxale...
L'anecdote en elle même est intéressante et surprenante, mais la première phrase aurait pu être formulée autrement.
Malgré sa qualité de militaire, le Général de Gaulle exprimait régulièrement son dégoût pour le meurtre de personnes qu'il avait personnellement connues. Pour les autres, ça allait.
Il faisait moins de sentimentalisme quand il s'agissait de cuire des carottes !
Tu n'aurais pas vu le chien, dernièrement ?
Le plus troublant étant la difference de consideration entre l'animal qu'il a cottoyé qu'il répugnait à manger, et le traitement reservé aux autres, inconnus, qui ne bénéficiaient pas de cette pitié...
La logique personnel échappe souvent à la raison, même chez les grands hommes.
Même un mérou que j'aurais rencontré en plongée, avec lequel j'aurais eu un "contact", ne sera jamais à ma table le soir.
Et je ne suis pas végan, loin de là... Alors oui, je sais, Hypocrite, faux cul, tout ce qu'on voudra ; mais c'est comme ça ;)
"J'aime l'être humain, je serai incapable de faire du mal à quelqu'un à qui j'ai parlé, serré la main ou que je connais ! Par contre le SDF de la ville voisine, le migrant sur son embarcation, ou le gamin vietnamien qui fait mes pompes, je les ai jamais croisé ils peuvent bien crever je m'en fou. C'est comme ca ;)".