La marque de voiture de sport anglaise Aston Martin tient son nom de son fondateur Lionel Martin et de la course Aston Clinton, qu'il remporta en 1914. La marque fut créée afin de concurrencer les voitures de courses Bugatti.
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La marque de voiture de sport anglaise Aston Martin tient son nom de son fondateur Lionel Martin et de la course Aston Clinton, qu'il remporta en 1914. La marque fut créée afin de concurrencer les voitures de courses Bugatti.
Tous les commentaires (96)
C'est une histoire de 3 nations et d'un homme de génie (et de son fils).
Sais-tu pourquoi la voiture n'était pas équipée de phares ?
Car Armand Esders ne souhaitait pas rouler de nuit mais il y avait quand-même l'équipement électrique fourni dans un coffret placé dans le coffre de la voiture.
Vitesse + radar = amende = argent pour l'Etat
En revanche, il a été un des plus importants fabricants de tracteurs de l'après-guerre. Ce n'est que plus tard qu'il a fabriqué des voitures, car il n'était pas totalement satisfait de sa Ferrari.
Les Vantage sont DB 7, DB 9, DBS.
La Rapide est sur la base des DB 9 mais s'appelle S.
Quant à la Laes Vanquish, elle reprend la base DB 7 Vantage sans garder les initiales, probablement une volonté d'Ulrich Bez, PDG d'Aston Martin depuis l'été 2000.
Tu as oublié la Volante qui est une DB 9, quelques modèles sont des Vanquish Volante.
C'est pour lui prouver qu'il pouvait faire mieux que Ferruccio Lamborghini créa ses propres voitures.
Voitures de course.
- les Km que j'ai pu faire sur Autobahn m'ont fait comprendre que les portions illimitées apparaissent plus ou moins selon le Land (Strasbourg-Cologne quasiment 130 tout du long, Strasbourg-Munich open bar facilement). Les limitations apparaissent souvent aux abords des échangeurs lorsque la circulation tend à se densifier soudainement. En agglomération, les voies rapides ont parfois des limitations variables en fonction du trafic. Il existe aussi des deux voies illimitées. Les gens sont globalement assez disciplinés, la file la plus à gauche n'est empruntée que par les "rouleurs" et celle de droite par les poids lourds et les véhicules plus lents, mais le phénomène d'instructions de voies par négligence et nombrilisme qu'on peut systématiquement constater en France n'existe quasiment pas en Allemagne. Les radars ne sont pas implantés à 52% sur des emplacements non accidentogènes comme ici, la conduite y est réellement plus sereine. Mais tout n'est pas si rose. Les zones de travaux à 80Km/h fleurissent par endroits, tous les conducteurs ne sont pas exemplaires au volant même si mes coups de sang au volant en Allemagne ont été marginaux comparés à la France.
Ce modèle fonctionne car il est basé sur l'autophilie allemande, c'est le prolongement de son appareil productif automobile. Concernant la sécurité routière, elle est davantage basée sur la responsabilisation individuelle que sur la punition collective.
-À ce propos, la vitesse, visiblement jugée comme facteur principal d'accident en France, ne l'est pas, en attestent les chiffres allemands, eu egard aux vitesses pratiquées et au nombre de radars implantés. C'est évidemment un facteur aggravant car, pour avoir été victime d'un accident de la circulation (non responsable), j'étais content que le véhicule n'arrive pas trop vite. Néanmoins, cet accident aurait pu être évité, même en allant plus vite, la personne regardant visiblement son téléphone mobile en plein rond-point au lieu de constater que je laissais traverser un piéton (qui aurait pu être renversé par ma voiture poussée par celle qui me percuta) à la sortie de celui-ci... Bel exemple, sans alcool ni stup ni vitesse élevée. Ce qui tue ou blesse les gens, c'est l'alcool, les stups, la fatigue et l'inattention. Je roule des milliers de Km par mois, et je constate des tonnes de petites incivilités (clignotants) qui pourraient declencher des tonnes d'accrochages du plus mineur au plus sérieux. Nous avons simplement atteint en France les limites d'une politique de sécurité routière erronée, basée sur la punition collective automatisée au détriment de la responsabilisation des conducteurs.
Il y a 40 ans, il y avait 16000 morts sur les routes chaque année, mais n'oublions pas qu'il n'y avait aucune sécurité passive et active. La mortalité routière a fortement baissé grâce aux progrès techniques qui pardonnent les erreurs ou sauvent de ces dernières en cas d'accident les gens qui continuent de les commettre en 2015. L'abaissement de la vitesse était une raison principalement énergétique en 73 (choc pétrolier) et a permis de mettre de l'ordre en ville, où certains continuent de frôler des piétons à 80 en 2015. Tant que la politique actuelle visera à collecter de l'argent sous le bienfaiteur prétexte de la sécurité routière, le problème restera entier...
Enfin, pour en revenir à ce commentaire sur la vitesse des véhicule, je rejoins veux qui disent également que c'est pour l'image de marque et l'usage privé ainsi que pour la sensation de liberté. Je n'aime pas me sentir bridé tout court dans ma vie.