La Biélorussie est le dernier pays européen à encore avoir la peine de mort. La méthode de mise à mort est très particulière, car elle s'exécute par une balle dans la nuque du condamné alors que celui-ci n'aura été prévenu que quelques secondes auparavant. L'incertitude sur la date et l'heure de mise à mort font partie de la peine.
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[quote=eltharin]On en parle pas aux infos ? Il faudrait lire les journaux (même électronique sur l'iPhone par exemple ou autre smart phone et gratuit en plus) et tu verras combien les médias relaie d'infos de meurtres par semaines. Sur le dernier mois (et y'en a sûrement eu plus), j'en ai vu (lu) pas loin d'une dizaine (et je parle uniquement avec une arme à feu)[/quote]Il reste donc deux solutions :
1) arrêter les infos et relativiser en comparant avec la sécurité qui était de mise au siècle dernier
2) aller chez l'armurier et te construire une panic-room
les victimes qui ont été tuées par certains des condamnés n avaient pas été prévenu elles non plus :-(
UE : union européenne
C'est une bonne idée ça.. Donner la nationalité Biélorusse aux auteurs d'actes criminels sur le sol français .. Allez vous faire juger en biélorussie maintenant !!
condamner qqun à écouter du Francis lalane jusqu'à ce que mort s'en suive. voilà une mise à mort inhumaine. ;o) badinter mon hero.
parabolik, ton avatar est subtil, j'avais pas remarquer au 1er coup d'oeil ton manekendrouille. excellent.
comme en chine. car c est la methode la moins douloureuse. bien moins que l injection letal. en plus en chine ils donnent les organes aux hopitaux et la balle est facturee a la famille du mort et tout ca dans un stade payant.
La peine de mort n'est maintenue dans certains états américains QUE parce qu'elle a effet dissuasif. En dizaines de pourcentages en moins.
Le débat est toujours le même : les gentils qui trouvent que c'est ignoble, et ils ont raison, de tuer FROIDEMENT quelqu'un. Et les autres qui savent qu'en tuant une personne on en sauve d'autres. Certains s'intéressent aux victimes, d'autres aux assassins.
qui sommes nous pour juger du droit de vivre ou pas?