Prenez garde au Drop bear en Australie

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En Australie, le "Drop Bear" est une sorte de Koala carnivore et agressif, qui se jette sur les touristes depuis la cime des arbres. Cet animal, imaginaire bien sûr, est l'équivalent de notre dahu. Pour s'en protéger, on peut appliquer du dentifrice derrière les oreilles ou mettre des fourchettes dans les cheveux.


Commentaires préférés (3)

Après comme en Australie 90% des animaux (et même certaines plantes) ont la capacité de tuer un humain ça ne m’étonne pas que même leurs animaux imaginaires soit dangereux.

Jamais entendu parler du drop bear
Je vis pourtant en Australie et en couple avec une australienne (qui n'en a jamais entendu parler non plus)

Ecosse, le haggis. Le haggis sauvage vivrait dans les Highlands, ressemblant à un oiseau dont les ailes se seraient atrophiées au cours de son évolution. Parfois, le haggis sauvage possède deux pattes, trois, voire quatre, vivant exclusivement dans un environnement montagneux, et aurait développé certains de ses membres plus que d’autres, un peu à la manière du dahu. Il ne peut que courir, et uniquement dans le sens des aiguilles d’une montre autour de la montagne ou inversement selon le côté le plus court. Ainsi pour attraper le haggis, les Écossais prétendent qu’il suffit de tourner dans le sens opposé. Attention qu’il ne soit pas près d’un plan d’eau pour le chasser car il nage très bien, se servant de ses pattes pour se propulser dans l’eau et atteindre la vitesse prodigieuse de 35 nœuds, empêchant ainsi sa capture lorsqu’il est dans l’eau. Le plus gros haggis connu aurait pesé 25 tonnes, et aurait été capturé en 1893 au pied du Ben Lomond, une montagne des Highlands.

Wyoming, le jackalope. Tout commence dans les années 30, de retour de chasse, deux frères, chasseurs et taxidermistes rentrent à leur atelier. L’un deux pose un lièvre qui glisse et tombe par terre à côté d’une paire de bois de cerf. Les deux frères décident alors de donner vie à ce lièvre à cornes : le jackalope (Lepus cornutus), un lièvre à cornes.
Ils vendent leur œuvre à un propriétaire d’hôtel, et allez savoir pourquoi, mais très vite la population de Douglas est fascinée par cette « anomalie de la nature ». La vente de têtes de "jackalopes empaillés" prend de l'ampleur et devient un vrai business local. L’animal devient le symbole de logos d'entreprises, le héros d'histoires et de dessins animés pour enfants...
Mais attention, tout comme le dahu, le jackalope, se chasse avec des règles très strictes : La Chambre de commerce de Douglas distribue depuis quelques années des permis de chasse au jackalope aux touristes comme aux habitants de la région, le chasseur doit avoir un Q.I entre 50 et 72 et il ne peut chasser que le 31 juin entre minuit et 2 heures du matin. Et depuis 2005 des législateurs du Wyoming tentent de faire reconnaître officiellement l'existence du jackalope et en faire l'animal symbolique de tout l'État, mais le sénat a repoussé à plusieurs reprises cette demande.

Canada, la truite à fourure. La truite à fourrure est une espèce de poisson qui possède une épaisse couche de fourrure pour se réchauffer dans les eaux froides où elle vit (principalement dans les régions du nord de l'Amérique du Nord, mais surtout au Canada, au Colorado, au Wyoming et au Montana). Un certain nombre de théories sont apparues pour expliquer le manteau luxuriant de cette créature, certains disent que la créature a évolué son manteau épais pour se protéger du froid extrême des eaux du nord, d’autres disent que cette espèce de truite doit sa fourrure à quatre jarres de « tonique » qui ont été accidentellement renversées dans une rivière du Colorado dans les années 1870.
Mais une autre explication veut qu’en fait cette légende soit issue d’un micro-organisme, la Saprolegnia, qui infecte parfois les poissons, provoque des mycoses sous forme d’un duvet sur la peau et donne ainsi l’impression de fourrure. Ce qui est extraordinaire c’est que depuis près de 300 ans, les scientifiques se penchent sur cette espèce, l’un de 1ers spécimens aurait même été offert à Louis XV par le chevalier Grégoire de Fronsac et que même de nos jours il existe des associations de défense et de sauvegarde de ce poisson exceptionnel déjà en voie d'extinction.

Source: www.lechasseurfrancais.com/chasse/dahus-a-travers-monde-60165.html


Tous les commentaires (14)

Sauf que notre dahu est bien plus amical et maladroit

Je pense que là-bas, pour y être allé, le dentifrice c’est dans la bouche qu’ils devraient le mettre…

Après comme en Australie 90% des animaux (et même certaines plantes) ont la capacité de tuer un humain ça ne m’étonne pas que même leurs animaux imaginaires soit dangereux.

Sommes nous sûr qu'il soit imaginaire ?
Personne ne croyait Al Gore, mais finalement l'Homoursporc existe !!

Jamais entendu parler du drop bear
Je vis pourtant en Australie et en couple avec une australienne (qui n'en a jamais entendu parler non plus)

Quand c'est en Australie, tout est possible, alors, sommes- nous vraiment sûrs que le DropBear n'existe pas?

C'est un running gag des Australiens avec les backpackers surtout, ils jouent sur la peur de leurs animaux et changent tout le temps ce qu'il faire pour s'en protéger, manger de la Vegemite, s'uriner dessus etc...

a écrit : Jamais entendu parler du drop bear
Je vis pourtant en Australie et en couple avec une australienne (qui n'en a jamais entendu parler non plus)
Peut-être cette légende est-elle limitée à certains états ?

Ecosse, le haggis. Le haggis sauvage vivrait dans les Highlands, ressemblant à un oiseau dont les ailes se seraient atrophiées au cours de son évolution. Parfois, le haggis sauvage possède deux pattes, trois, voire quatre, vivant exclusivement dans un environnement montagneux, et aurait développé certains de ses membres plus que d’autres, un peu à la manière du dahu. Il ne peut que courir, et uniquement dans le sens des aiguilles d’une montre autour de la montagne ou inversement selon le côté le plus court. Ainsi pour attraper le haggis, les Écossais prétendent qu’il suffit de tourner dans le sens opposé. Attention qu’il ne soit pas près d’un plan d’eau pour le chasser car il nage très bien, se servant de ses pattes pour se propulser dans l’eau et atteindre la vitesse prodigieuse de 35 nœuds, empêchant ainsi sa capture lorsqu’il est dans l’eau. Le plus gros haggis connu aurait pesé 25 tonnes, et aurait été capturé en 1893 au pied du Ben Lomond, une montagne des Highlands.

Wyoming, le jackalope. Tout commence dans les années 30, de retour de chasse, deux frères, chasseurs et taxidermistes rentrent à leur atelier. L’un deux pose un lièvre qui glisse et tombe par terre à côté d’une paire de bois de cerf. Les deux frères décident alors de donner vie à ce lièvre à cornes : le jackalope (Lepus cornutus), un lièvre à cornes.
Ils vendent leur œuvre à un propriétaire d’hôtel, et allez savoir pourquoi, mais très vite la population de Douglas est fascinée par cette « anomalie de la nature ». La vente de têtes de "jackalopes empaillés" prend de l'ampleur et devient un vrai business local. L’animal devient le symbole de logos d'entreprises, le héros d'histoires et de dessins animés pour enfants...
Mais attention, tout comme le dahu, le jackalope, se chasse avec des règles très strictes : La Chambre de commerce de Douglas distribue depuis quelques années des permis de chasse au jackalope aux touristes comme aux habitants de la région, le chasseur doit avoir un Q.I entre 50 et 72 et il ne peut chasser que le 31 juin entre minuit et 2 heures du matin. Et depuis 2005 des législateurs du Wyoming tentent de faire reconnaître officiellement l'existence du jackalope et en faire l'animal symbolique de tout l'État, mais le sénat a repoussé à plusieurs reprises cette demande.

Canada, la truite à fourure. La truite à fourrure est une espèce de poisson qui possède une épaisse couche de fourrure pour se réchauffer dans les eaux froides où elle vit (principalement dans les régions du nord de l'Amérique du Nord, mais surtout au Canada, au Colorado, au Wyoming et au Montana). Un certain nombre de théories sont apparues pour expliquer le manteau luxuriant de cette créature, certains disent que la créature a évolué son manteau épais pour se protéger du froid extrême des eaux du nord, d’autres disent que cette espèce de truite doit sa fourrure à quatre jarres de « tonique » qui ont été accidentellement renversées dans une rivière du Colorado dans les années 1870.
Mais une autre explication veut qu’en fait cette légende soit issue d’un micro-organisme, la Saprolegnia, qui infecte parfois les poissons, provoque des mycoses sous forme d’un duvet sur la peau et donne ainsi l’impression de fourrure. Ce qui est extraordinaire c’est que depuis près de 300 ans, les scientifiques se penchent sur cette espèce, l’un de 1ers spécimens aurait même été offert à Louis XV par le chevalier Grégoire de Fronsac et que même de nos jours il existe des associations de défense et de sauvegarde de ce poisson exceptionnel déjà en voie d'extinction.

Source: www.lechasseurfrancais.com/chasse/dahus-a-travers-monde-60165.html

a écrit : Peut-être cette légende est-elle limitée à certains états ? Peut-être que c'est une blague un peu désuète, comme le dahu en France, et que plein de gens la connaisse pas, comme le dahu.

Plusieurs détails, si je peux me permettre. On propose également aux gens bernés de s’enduire une mèche de cheveux de Vegemite, version australienne de la Marmite. Je ne vais pas tenter de vous expliquer ce que c’est mais c’est noir, ça pue vaguement et surtout ça n’est pas bon. Curieusement, les australiens et les néo-zélandais en sont friands.
Je me suis laissé raconter que cette histoire était née d’une particularité des eucalyptus. Ce sont des arbres à croissance rapide dont des branches énormes peuvent casser net et tomber. Le drop bear aurait été inventé pour éviter que les gamins se promènent dans ce type de forêts.

a écrit : Peut-être que c'est une blague un peu désuète, comme le dahu en France, et que plein de gens la connaisse pas, comme le dahu. je répondais à un commentaire qui signalait au contraire la meconnaissance de cette légende en Australe. je pense qu'en France, une grande majorité connaît le dahut

a écrit : Je pense que là-bas, pour y être allé, le dentifrice c’est dans la bouche qu’ils devraient le mettre… Quel étrange remarque raciste...

Binational australien, je n'ai jamais entendu cette histoire! Marrant :)