Les pubs volants après le débarquement

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En Normandie, peu après le débarquement, on a vu apparaître des « flying pubs » (pubs volants). Des avions de la RAF effectuèrent des aller-retour entre l’Angleterre et la Normandie, chargés de bière afin de ravitailler les troupes qui n’en recevaient pas assez à leur goût. Ils remplirent d'abord les réservoirs de carburant avec le précieux liquide mais le goût de la bière était altéré. Des pilotes de Spitfire vont donc bricoler des tonneaux remplis de bière pour les installer sous les ailes.


Commentaires préférés (3)

a écrit : Je trouve toujours fascinant de constater le lien très étroit que notre espèce partage avec l’alcool.
Pourquoi autant avec l’alcool ?

J’essaye de m’imaginer comment ça se serait passé si on avait remplacé les fûts de bières par du cannabis ou avec un autre psychotrope relaxant :)
Notre espèce partage des liens étroits avec toutes les substances psychotropes. L'alcool est simplement l'une des rare à être aujourd'hui légale.

Pour supporter l'enfer de la guerre (que ce soit l'effroi, la douleur et surtout l'ennui), on peut tout de même imaginer qu'il fallait une dose suffisante de psychotropes. Les soldats de Napoléon étaient accrocs au Hashish. Durant la première guerre mondiale, la cocaïne était légale et consommée en grande quantité dans les tranchées. Durant la seconde, les soldats étaient accros aux amphétamines et à la méthamphétamine.
Pour le Vietnam, c'était plutôt de la dextroamphetamine (mais il y avait aussi alcool, canabis, héroïne, opium).

Les amphétamines sont aujourd'hui encore utilisés par les pilotes de l'US Air force sous forme de pilule de Dexedrine. Les combattants de Daech et potentiellement du Hamas prennent eux du Captagon (qui supprime la peur et rend agressif). On suppose que les soldats russes et ukrainiens sont actuellement sous héroïne et amphétamines mais l'approvisionnement est compliqué.

Bref, on peut étroitement lier ces deux fléaux : guerre et drogues. L'un permettant de supporter l'autre (avec avantages et inconvénients supplémentaires).

"Une Armée marche avec son estomac" disait Napoléon...

En parallèle de la bière, les Forces Américaines ont agi au possible, pour que ses soldats disposent de crème glacée (et de soda) jusque proche des champs de bataille, si possible.
Au delà de sa valeur nutritive, la crème glacée participait également à maintenir le moral en rappellant l'enfance, la maison et d'apporter un moment de plaisir.

L'anecdote déjà connue, du bateau surnommé "Ice cream barge" transformé en fabrique flottante de crème glacée, sillonnant entre les îles du Pacifique, le démontre assez clairement.
Et sinon, c'est ici: en.m.wikipedia.org/wiki/Ice_cream_barge#:~:text=An%20ice%20cream%20barge%20was,to%20sailors%20and%20U.S.%20Marines.

Quand un porte-avions voyait un de ses avions abattu, mais que son pilote était encore vivant, nageant maintenant dans l'océan, il ne pouvait pas se dévier et s'arrêter pour tenter de le sauver. Il était préférable que ce soit un bateau plus petit qui effectue le sauvetage, puis le raccompagne jusqu'au porte-avions. ..et le repêchage se "payait" en litres de crème glacée, pour l'équipage du petit bateau.

La crème glacée pouvait également être livrée en poudre (poudre de lait, d'œufs, de sucre et de l'arôme), à laquelle il fallait donc rajouter de l'eau, puis turbiner pour obtenir le produit fini.
Des équipages d'avions bombardiers (tant dans le Pacifique comme en Europe), très ingénieux, avait même trouvé la combine de baratter le mélange, en profitant des vibrations de l'avion durant les vols de haute altitude, là où le froid règne...

En 1943, la crème glacée est tellement présente dans les Forces Armées Americaine, qu'elles sont alors devenues le premier fabriquant des États-Unis.

Dans le sillage des Débarquement en Europe, la crème glacée va également suivre les soldats. Des dizaines de fabriques miniatures de crème glacée, situées en arrière du Front, sont là pour réconforter les troupes.

a écrit : "Une Armée marche avec son estomac" disait Napoléon...

En parallèle de la bière, les Forces Américaines ont agi au possible, pour que ses soldats disposent de crème glacée (et de soda) jusque proche des champs de bataille, si possible.
Au delà de sa valeur nutritive, la crème glacée pa
rticipait également à maintenir le moral en rappellant l'enfance, la maison et d'apporter un moment de plaisir.

L'anecdote déjà connue, du bateau surnommé "Ice cream barge" transformé en fabrique flottante de crème glacée, sillonnant entre les îles du Pacifique, le démontre assez clairement.
Et sinon, c'est ici: en.m.wikipedia.org/wiki/Ice_cream_barge#:~:text=An%20ice%20cream%20barge%20was,to%20sailors%20and%20U.S.%20Marines.

Quand un porte-avions voyait un de ses avions abattu, mais que son pilote était encore vivant, nageant maintenant dans l'océan, il ne pouvait pas se dévier et s'arrêter pour tenter de le sauver. Il était préférable que ce soit un bateau plus petit qui effectue le sauvetage, puis le raccompagne jusqu'au porte-avions. ..et le repêchage se "payait" en litres de crème glacée, pour l'équipage du petit bateau.

La crème glacée pouvait également être livrée en poudre (poudre de lait, d'œufs, de sucre et de l'arôme), à laquelle il fallait donc rajouter de l'eau, puis turbiner pour obtenir le produit fini.
Des équipages d'avions bombardiers (tant dans le Pacifique comme en Europe), très ingénieux, avait même trouvé la combine de baratter le mélange, en profitant des vibrations de l'avion durant les vols de haute altitude, là où le froid règne...

En 1943, la crème glacée est tellement présente dans les Forces Armées Americaine, qu'elles sont alors devenues le premier fabriquant des États-Unis.

Dans le sillage des Débarquement en Europe, la crème glacée va également suivre les soldats. Des dizaines de fabriques miniatures de crème glacée, situées en arrière du Front, sont là pour réconforter les troupes.
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Je me coucherai 3 fois moins bête ce soir , merci à TybsXckz et toi , pour la crème des commentaires ;)


Tous les commentaires (17)

Je trouve toujours fascinant de constater le lien très étroit que notre espèce partage avec l’alcool.
Pourquoi autant avec l’alcool ?

J’essaye de m’imaginer comment ça se serait passé si on avait remplacé les fûts de bières par du cannabis ou avec un autre psychotrope relaxant :)

a écrit : Je trouve toujours fascinant de constater le lien très étroit que notre espèce partage avec l’alcool.
Pourquoi autant avec l’alcool ?

J’essaye de m’imaginer comment ça se serait passé si on avait remplacé les fûts de bières par du cannabis ou avec un autre psychotrope relaxant :)
Notre espèce partage des liens étroits avec toutes les substances psychotropes. L'alcool est simplement l'une des rare à être aujourd'hui légale.

Pour supporter l'enfer de la guerre (que ce soit l'effroi, la douleur et surtout l'ennui), on peut tout de même imaginer qu'il fallait une dose suffisante de psychotropes. Les soldats de Napoléon étaient accrocs au Hashish. Durant la première guerre mondiale, la cocaïne était légale et consommée en grande quantité dans les tranchées. Durant la seconde, les soldats étaient accros aux amphétamines et à la méthamphétamine.
Pour le Vietnam, c'était plutôt de la dextroamphetamine (mais il y avait aussi alcool, canabis, héroïne, opium).

Les amphétamines sont aujourd'hui encore utilisés par les pilotes de l'US Air force sous forme de pilule de Dexedrine. Les combattants de Daech et potentiellement du Hamas prennent eux du Captagon (qui supprime la peur et rend agressif). On suppose que les soldats russes et ukrainiens sont actuellement sous héroïne et amphétamines mais l'approvisionnement est compliqué.

Bref, on peut étroitement lier ces deux fléaux : guerre et drogues. L'un permettant de supporter l'autre (avec avantages et inconvénients supplémentaires).

a écrit : Notre espèce partage des liens étroits avec toutes les substances psychotropes. L'alcool est simplement l'une des rare à être aujourd'hui légale.

Pour supporter l'enfer de la guerre (que ce soit l'effroi, la douleur et surtout l'ennui), on peut tout de même imaginer qu'i
l fallait une dose suffisante de psychotropes. Les soldats de Napoléon étaient accrocs au Hashish. Durant la première guerre mondiale, la cocaïne était légale et consommée en grande quantité dans les tranchées. Durant la seconde, les soldats étaient accros aux amphétamines et à la méthamphétamine.
Pour le Vietnam, c'était plutôt de la dextroamphetamine (mais il y avait aussi alcool, canabis, héroïne, opium).

Les amphétamines sont aujourd'hui encore utilisés par les pilotes de l'US Air force sous forme de pilule de Dexedrine. Les combattants de Daech et potentiellement du Hamas prennent eux du Captagon (qui supprime la peur et rend agressif). On suppose que les soldats russes et ukrainiens sont actuellement sous héroïne et amphétamines mais l'approvisionnement est compliqué.

Bref, on peut étroitement lier ces deux fléaux : guerre et drogues. L'un permettant de supporter l'autre (avec avantages et inconvénients supplémentaires).
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Et ce n'est pas uniquement lié à notre espèce.

www.newsweed.fr/9-animaux-adorer-drogue/

"Une Armée marche avec son estomac" disait Napoléon...

En parallèle de la bière, les Forces Américaines ont agi au possible, pour que ses soldats disposent de crème glacée (et de soda) jusque proche des champs de bataille, si possible.
Au delà de sa valeur nutritive, la crème glacée participait également à maintenir le moral en rappellant l'enfance, la maison et d'apporter un moment de plaisir.

L'anecdote déjà connue, du bateau surnommé "Ice cream barge" transformé en fabrique flottante de crème glacée, sillonnant entre les îles du Pacifique, le démontre assez clairement.
Et sinon, c'est ici: en.m.wikipedia.org/wiki/Ice_cream_barge#:~:text=An%20ice%20cream%20barge%20was,to%20sailors%20and%20U.S.%20Marines.

Quand un porte-avions voyait un de ses avions abattu, mais que son pilote était encore vivant, nageant maintenant dans l'océan, il ne pouvait pas se dévier et s'arrêter pour tenter de le sauver. Il était préférable que ce soit un bateau plus petit qui effectue le sauvetage, puis le raccompagne jusqu'au porte-avions. ..et le repêchage se "payait" en litres de crème glacée, pour l'équipage du petit bateau.

La crème glacée pouvait également être livrée en poudre (poudre de lait, d'œufs, de sucre et de l'arôme), à laquelle il fallait donc rajouter de l'eau, puis turbiner pour obtenir le produit fini.
Des équipages d'avions bombardiers (tant dans le Pacifique comme en Europe), très ingénieux, avait même trouvé la combine de baratter le mélange, en profitant des vibrations de l'avion durant les vols de haute altitude, là où le froid règne...

En 1943, la crème glacée est tellement présente dans les Forces Armées Americaine, qu'elles sont alors devenues le premier fabriquant des États-Unis.

Dans le sillage des Débarquement en Europe, la crème glacée va également suivre les soldats. Des dizaines de fabriques miniatures de crème glacée, situées en arrière du Front, sont là pour réconforter les troupes.

Well, c'est sans doute partiellement formulée et l'ellipse laisse à penser que les Spitfire pouvaient faire tourner leur moteur à la bière :'D j'imagine que ces avions sont dotés de plusieurs réservoirs...
Bon et puis que la boisson soit altérée par l'arrière goût laissé par l'essence est tant attendu qu'on se demande comment cette idée a pu être validée (ça ne me traverserait même pas l'esprit de mettre un comestible dans un jerrycan d'essence - même vide et rincé ça sent toujours très fort). Enfin bon, vive les tonneaux !

a écrit : "Une Armée marche avec son estomac" disait Napoléon...

En parallèle de la bière, les Forces Américaines ont agi au possible, pour que ses soldats disposent de crème glacée (et de soda) jusque proche des champs de bataille, si possible.
Au delà de sa valeur nutritive, la crème glacée pa
rticipait également à maintenir le moral en rappellant l'enfance, la maison et d'apporter un moment de plaisir.

L'anecdote déjà connue, du bateau surnommé "Ice cream barge" transformé en fabrique flottante de crème glacée, sillonnant entre les îles du Pacifique, le démontre assez clairement.
Et sinon, c'est ici: en.m.wikipedia.org/wiki/Ice_cream_barge#:~:text=An%20ice%20cream%20barge%20was,to%20sailors%20and%20U.S.%20Marines.

Quand un porte-avions voyait un de ses avions abattu, mais que son pilote était encore vivant, nageant maintenant dans l'océan, il ne pouvait pas se dévier et s'arrêter pour tenter de le sauver. Il était préférable que ce soit un bateau plus petit qui effectue le sauvetage, puis le raccompagne jusqu'au porte-avions. ..et le repêchage se "payait" en litres de crème glacée, pour l'équipage du petit bateau.

La crème glacée pouvait également être livrée en poudre (poudre de lait, d'œufs, de sucre et de l'arôme), à laquelle il fallait donc rajouter de l'eau, puis turbiner pour obtenir le produit fini.
Des équipages d'avions bombardiers (tant dans le Pacifique comme en Europe), très ingénieux, avait même trouvé la combine de baratter le mélange, en profitant des vibrations de l'avion durant les vols de haute altitude, là où le froid règne...

En 1943, la crème glacée est tellement présente dans les Forces Armées Americaine, qu'elles sont alors devenues le premier fabriquant des États-Unis.

Dans le sillage des Débarquement en Europe, la crème glacée va également suivre les soldats. Des dizaines de fabriques miniatures de crème glacée, situées en arrière du Front, sont là pour réconforter les troupes.
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Je me coucherai 3 fois moins bête ce soir , merci à TybsXckz et toi , pour la crème des commentaires ;)

a écrit : Je me coucherai 3 fois moins bête ce soir , merci à TybsXckz et toi , pour la crème des commentaires ;) Joli !!!!!

Merci.

a écrit : Notre espèce partage des liens étroits avec toutes les substances psychotropes. L'alcool est simplement l'une des rare à être aujourd'hui légale.

Pour supporter l'enfer de la guerre (que ce soit l'effroi, la douleur et surtout l'ennui), on peut tout de même imaginer qu'i
l fallait une dose suffisante de psychotropes. Les soldats de Napoléon étaient accrocs au Hashish. Durant la première guerre mondiale, la cocaïne était légale et consommée en grande quantité dans les tranchées. Durant la seconde, les soldats étaient accros aux amphétamines et à la méthamphétamine.
Pour le Vietnam, c'était plutôt de la dextroamphetamine (mais il y avait aussi alcool, canabis, héroïne, opium).

Les amphétamines sont aujourd'hui encore utilisés par les pilotes de l'US Air force sous forme de pilule de Dexedrine. Les combattants de Daech et potentiellement du Hamas prennent eux du Captagon (qui supprime la peur et rend agressif). On suppose que les soldats russes et ukrainiens sont actuellement sous héroïne et amphétamines mais l'approvisionnement est compliqué.

Bref, on peut étroitement lier ces deux fléaux : guerre et drogues. L'un permettant de supporter l'autre (avec avantages et inconvénients supplémentaires).
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Livre absolument stupéfiant (humour) sur le sujet :
(sérieusement, livré fabuleux)

www.nouveau-monde.net/catalogue/les-drogues-et-la-guerre/

a écrit : Je trouve toujours fascinant de constater le lien très étroit que notre espèce partage avec l’alcool.
Pourquoi autant avec l’alcool ?

J’essaye de m’imaginer comment ça se serait passé si on avait remplacé les fûts de bières par du cannabis ou avec un autre psychotrope relaxant :)
Notre cerveau est un drogué. Le développement considérable du cortex humain au cours de l’évolution lui a permis une adaptabilité supérieur à d’autres hominidés mais s’accompagne des défauts inhérent à son fonctionnement :

www.chudequebec.ca/a-propos-de-nous/publications/revues-en-ligne/spiritualite-sante/dossiers/les-dependances/qu%E2%80%99est-ce-qui-rend-le-cerveau-humain-vulnerable-a.aspx

a écrit : Notre cerveau est un drogué. Le développement considérable du cortex humain au cours de l’évolution lui a permis une adaptabilité supérieur à d’autres hominidés mais s’accompagne des défauts inhérent à son fonctionnement :

www.chudequebec.ca/a-propos-de-nous/publications/revues-en-ligne/spirituali
te-sante/dossiers/les-dependances/qu%E2%80%99est-ce-qui-rend-le-cerveau-humain-vulnerable-a.aspx Afficher tout
Ça n'a rien de spécifique au cerveau humain. Tous les cerveaux fonctionnent de façon analogue.. chimie, boucle de récompense, etc. Beaucoup d'animaux s'enivrent dès que l'occasion se présente. Le dauphin utilise le poison des poissons globes, raies, etc. Une multitude d'espèces s'alcoolisent aux fruits trop mûrs, etc.

a écrit : Je me coucherai 3 fois moins bête ce soir , merci à TybsXckz et toi , pour la crème des commentaires ;) D’accord avec toi Sherwood, il est heureux qu’on les ai , ces 2 là, ils élèvent clairement le niveau de l’appli.

a écrit : Ça n'a rien de spécifique au cerveau humain. Tous les cerveaux fonctionnent de façon analogue.. chimie, boucle de récompense, etc. Beaucoup d'animaux s'enivrent dès que l'occasion se présente. Le dauphin utilise le poison des poissons globes, raies, etc. Une multitude d'espèces s'alcoolisent aux fruits trop mûrs, etc. C’est tout à fait correct, mais comme le commentaire ne parlait que du rapport entre l’homme et l’alcool, à 1h54 du matin je me suis permise de faire court. Mais en effet j’aurais dû dire:
Tous les cerveaux sont des drogués…

Lors des premiers essais du coup le carburant était.. dans les tonneaux ?

Merci à tous pour ces supers réponses fortes intéressantes , je me questionnais quelles seraient mes futurs lectures, c’est tout trouvé :)
Merci à cette application de pouvoir exister !

a écrit : Notre espèce partage des liens étroits avec toutes les substances psychotropes. L'alcool est simplement l'une des rare à être aujourd'hui légale.

Pour supporter l'enfer de la guerre (que ce soit l'effroi, la douleur et surtout l'ennui), on peut tout de même imaginer qu'i
l fallait une dose suffisante de psychotropes. Les soldats de Napoléon étaient accrocs au Hashish. Durant la première guerre mondiale, la cocaïne était légale et consommée en grande quantité dans les tranchées. Durant la seconde, les soldats étaient accros aux amphétamines et à la méthamphétamine.
Pour le Vietnam, c'était plutôt de la dextroamphetamine (mais il y avait aussi alcool, canabis, héroïne, opium).

Les amphétamines sont aujourd'hui encore utilisés par les pilotes de l'US Air force sous forme de pilule de Dexedrine. Les combattants de Daech et potentiellement du Hamas prennent eux du Captagon (qui supprime la peur et rend agressif). On suppose que les soldats russes et ukrainiens sont actuellement sous héroïne et amphétamines mais l'approvisionnement est compliqué.

Bref, on peut étroitement lier ces deux fléaux : guerre et drogues. L'un permettant de supporter l'autre (avec avantages et inconvénients supplémentaires).
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Il y a par exemple ce cas d'un soldat finlandais, premier surdosage documenté de methamphetamine, où il a pris toutes les pilules de sa patrouille. La conséquence : il a parcouru 400km en ski sans manger et après avoir semé l'ennemi russe et avoir été blessé par une mine... Après une semaine, il avait toujours le cœur qui battait à 200bpm et il pesait plus que 43kg.

en.m.wikipedia.org/wiki/Aimo_Koivunen

A lire. Édifiant ! :
allthatsinteresting.com/aimo-koivunen

a écrit : Lors des premiers essais du coup le carburant était.. dans les tonneaux ? Mais non, andouille! Le carburant aurait eu un goût de bière! ^^

Bon un peu plus sérieusement, les avions de chasse sont parfois équipés de réservoirs supplémentaires fixés sous les ailes, qui sont largués une fois vides (TIMBEEEER!), finalement, c'est un peu la même technique, c'est juste plus réfléchi que des tonneaux en bois d'arbre.

a écrit : Mais non, andouille! Le carburant aurait eu un goût de bière! ^^

Bon un peu plus sérieusement, les avions de chasse sont parfois équipés de réservoirs supplémentaires fixés sous les ailes, qui sont largués une fois vides (TIMBEEEER!), finalement, c'est un peu la même technique, c'est juste plus r
éfléchi que des tonneaux en bois d'arbre. Afficher tout
Tu veux dire que les pilotes siphonnaient les tonneaux en vol avant de les larguer une fois vidés ? ^^