George Sand, un nom provocateur

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George Sand, de son vrai nom Amantine Aurore Lucile Dupin de Francueil, choisit son pseudonyme par opportunisme et provocation. Son premier livre, publié sous le nom de Jules Sand (adapté de celui de son amant Jules Sandeau) ayant connu un certain succès, elle décida de conserver "Sand".

Elle choisit le prénom "George" pour son étymologie ("celui qui travaille la terre"), en supprimant le "s", afin de semer le doute sur son genre, consciente qu'un homme avait alors plus de chances de connaitre le succès.


Commentaires préférés (3)

"Le premier accroc coûte deux cents francs" est une phrase codée signalant le Débarquement de Provence (15 août-11 septembre 1944).

C'est aussi le titre d'un recueil de quatre nouvelles publiées à la fin 1944, dont la première fut initialement éditée dans la clandestinité en 1943: "les amants d'Avignon", sous l'identité de Laurent Daniel.
"Laurent Daniel" n'était autre que le nom d'emprunt de Elsa Triolet, compagne de Louis Aragon, et qui entreront dans la Résistance dans la région de Lyon et dans la Drôme.
Le choix de cette identité masculine, est un hommage à Laurent et Danielle Casanova, autre couple de Résistants.

Elsa Triolet recevra le Prix Goncourt en 1945, devenant la première femme Lauréate de ce prestigieux Prix Littéraire.

a écrit : Qui lit encore Elsa Triolet ? Et Aragon, d'ailleurs ! Faudra que j'essaie, mais les écrivains de cette génération ont généralement pris un sacré coup de vieux... Oui surtout que ça n’a pas grand chose à avoir en soit ^^’

On aurait pu aussi parler de sa relation passionnelle avec Alfred de Musset entre 1833 et 1835 et leurs correspondances qui étaient quelque peu.. chaud bouillant!

Un petit aperçu d’une de leurs lettres codée plus que connue et qui se lit en une une phrase sur deux pour être décryptés, je vous met l’entière puis le texter décoder!

L’entier: 

Je suis très émue de vous dire que j'ai
bien compris l'autre soir que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais bien que ce soit
là une preuve que je puisse être aimée
par vous. Je suis prête à vous montrer mon
affection toute désintéressée et sans cal-
cul, et si vous voulez me voir aussi
vous dévoiler sans artifice mon âme
toute nue, venez me faire une visite.
Nous causerons en amis, franchement.
Je vous prouverai que je suis la femme
sincère, capable de vous offrir l'affection
la plus profonde comme la plus étroite
en amitié, en un mot la meilleure preuve
dont vous puissiez rêver, puisque votre
âme est libre. Pensez que la solitude où j'ha-
bite est bien longue, bien dure et souvent
difficile. Ainsi en y songeant j'ai l'âme
grosse. Accourrez donc vite et venez me la
faire oublier par l'amour où je veux me
mettre

Le décoder :

Je suis très émue de vous dire que j'ai

toujours une envie folle de me faire

baiser et je voudrais bien que ce soit

par vous. Je suis prête à vous montrer mon

cul, et si vous voulez me voir aussi

toute nue, venez me faire une visite.

Je vous prouverai que je suis la femme

la plus profonde comme la plus étroite

dont vous puissiez rêver, puisque votre

bite est bien longue, bien dure et souvent

grosse. Accourrez donc vite et venez me la

mettre.

a écrit : Oui surtout que ça n’a pas grand chose à avoir en soit ^^’

On aurait pu aussi parler de sa relation passionnelle avec Alfred de Musset entre 1833 et 1835 et leurs correspondances qui étaient quelque peu.. chaud bouillant!

Un petit aperçu d’une de leurs lettres codée plus que connue et qui s
e lit en une une phrase sur deux pour être décryptés, je vous met l’entière puis le texter décoder!

L’entier: 

Je suis très émue de vous dire que j'ai
bien compris l'autre soir que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais bien que ce soit
là une preuve que je puisse être aimée
par vous. Je suis prête à vous montrer mon
affection toute désintéressée et sans cal-
cul, et si vous voulez me voir aussi
vous dévoiler sans artifice mon âme
toute nue, venez me faire une visite.
Nous causerons en amis, franchement.
Je vous prouverai que je suis la femme
sincère, capable de vous offrir l'affection
la plus profonde comme la plus étroite
en amitié, en un mot la meilleure preuve
dont vous puissiez rêver, puisque votre
âme est libre. Pensez que la solitude où j'ha-
bite est bien longue, bien dure et souvent
difficile. Ainsi en y songeant j'ai l'âme
grosse. Accourrez donc vite et venez me la
faire oublier par l'amour où je veux me
mettre

Le décoder :

Je suis très émue de vous dire que j'ai

toujours une envie folle de me faire

baiser et je voudrais bien que ce soit

par vous. Je suis prête à vous montrer mon

cul, et si vous voulez me voir aussi

toute nue, venez me faire une visite.

Je vous prouverai que je suis la femme

la plus profonde comme la plus étroite

dont vous puissiez rêver, puisque votre

bite est bien longue, bien dure et souvent

grosse. Accourrez donc vite et venez me la

mettre.
Afficher tout
La réponse de Musset à Sand vaut le détour, aussi :
"Quand je mets à vos pieds un éternel hommage,
Voulez-vous qu'un instant je change de visage ?
Vous avez capturé les sentiments d'un coeur
Que pour vous adorer forma le créateur.
Je vous chéris, amour, et ma plume en délire
Couche sur le papier ce que je n'ose dire.
Avec soin de mes vers lisez les premiers mots,
Vous saurez quel remède apporter à mes maux."


Tous les commentaires (12)

"Le premier accroc coûte deux cents francs" est une phrase codée signalant le Débarquement de Provence (15 août-11 septembre 1944).

C'est aussi le titre d'un recueil de quatre nouvelles publiées à la fin 1944, dont la première fut initialement éditée dans la clandestinité en 1943: "les amants d'Avignon", sous l'identité de Laurent Daniel.
"Laurent Daniel" n'était autre que le nom d'emprunt de Elsa Triolet, compagne de Louis Aragon, et qui entreront dans la Résistance dans la région de Lyon et dans la Drôme.
Le choix de cette identité masculine, est un hommage à Laurent et Danielle Casanova, autre couple de Résistants.

Elsa Triolet recevra le Prix Goncourt en 1945, devenant la première femme Lauréate de ce prestigieux Prix Littéraire.

Qui lit encore Elsa Triolet ? Et Aragon, d'ailleurs ! Faudra que j'essaie, mais les écrivains de cette génération ont généralement pris un sacré coup de vieux...

a écrit : Qui lit encore Elsa Triolet ? Et Aragon, d'ailleurs ! Faudra que j'essaie, mais les écrivains de cette génération ont généralement pris un sacré coup de vieux... Oui surtout que ça n’a pas grand chose à avoir en soit ^^’

On aurait pu aussi parler de sa relation passionnelle avec Alfred de Musset entre 1833 et 1835 et leurs correspondances qui étaient quelque peu.. chaud bouillant!

Un petit aperçu d’une de leurs lettres codée plus que connue et qui se lit en une une phrase sur deux pour être décryptés, je vous met l’entière puis le texter décoder!

L’entier: 

Je suis très émue de vous dire que j'ai
bien compris l'autre soir que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais bien que ce soit
là une preuve que je puisse être aimée
par vous. Je suis prête à vous montrer mon
affection toute désintéressée et sans cal-
cul, et si vous voulez me voir aussi
vous dévoiler sans artifice mon âme
toute nue, venez me faire une visite.
Nous causerons en amis, franchement.
Je vous prouverai que je suis la femme
sincère, capable de vous offrir l'affection
la plus profonde comme la plus étroite
en amitié, en un mot la meilleure preuve
dont vous puissiez rêver, puisque votre
âme est libre. Pensez que la solitude où j'ha-
bite est bien longue, bien dure et souvent
difficile. Ainsi en y songeant j'ai l'âme
grosse. Accourrez donc vite et venez me la
faire oublier par l'amour où je veux me
mettre

Le décoder :

Je suis très émue de vous dire que j'ai

toujours une envie folle de me faire

baiser et je voudrais bien que ce soit

par vous. Je suis prête à vous montrer mon

cul, et si vous voulez me voir aussi

toute nue, venez me faire une visite.

Je vous prouverai que je suis la femme

la plus profonde comme la plus étroite

dont vous puissiez rêver, puisque votre

bite est bien longue, bien dure et souvent

grosse. Accourrez donc vite et venez me la

mettre.

a écrit : Oui surtout que ça n’a pas grand chose à avoir en soit ^^’

On aurait pu aussi parler de sa relation passionnelle avec Alfred de Musset entre 1833 et 1835 et leurs correspondances qui étaient quelque peu.. chaud bouillant!

Un petit aperçu d’une de leurs lettres codée plus que connue et qui s
e lit en une une phrase sur deux pour être décryptés, je vous met l’entière puis le texter décoder!

L’entier: 

Je suis très émue de vous dire que j'ai
bien compris l'autre soir que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais bien que ce soit
là une preuve que je puisse être aimée
par vous. Je suis prête à vous montrer mon
affection toute désintéressée et sans cal-
cul, et si vous voulez me voir aussi
vous dévoiler sans artifice mon âme
toute nue, venez me faire une visite.
Nous causerons en amis, franchement.
Je vous prouverai que je suis la femme
sincère, capable de vous offrir l'affection
la plus profonde comme la plus étroite
en amitié, en un mot la meilleure preuve
dont vous puissiez rêver, puisque votre
âme est libre. Pensez que la solitude où j'ha-
bite est bien longue, bien dure et souvent
difficile. Ainsi en y songeant j'ai l'âme
grosse. Accourrez donc vite et venez me la
faire oublier par l'amour où je veux me
mettre

Le décoder :

Je suis très émue de vous dire que j'ai

toujours une envie folle de me faire

baiser et je voudrais bien que ce soit

par vous. Je suis prête à vous montrer mon

cul, et si vous voulez me voir aussi

toute nue, venez me faire une visite.

Je vous prouverai que je suis la femme

la plus profonde comme la plus étroite

dont vous puissiez rêver, puisque votre

bite est bien longue, bien dure et souvent

grosse. Accourrez donc vite et venez me la

mettre.
Afficher tout
La réponse de Musset à Sand vaut le détour, aussi :
"Quand je mets à vos pieds un éternel hommage,
Voulez-vous qu'un instant je change de visage ?
Vous avez capturé les sentiments d'un coeur
Que pour vous adorer forma le créateur.
Je vous chéris, amour, et ma plume en délire
Couche sur le papier ce que je n'ose dire.
Avec soin de mes vers lisez les premiers mots,
Vous saurez quel remède apporter à mes maux."

a écrit : La réponse de Musset à Sand vaut le détour, aussi :
"Quand je mets à vos pieds un éternel hommage,
Voulez-vous qu'un instant je change de visage ?
Vous avez capturé les sentiments d'un coeur
Que pour vous adorer forma le créateur.
Je vous chéris, amour, et ma plume en d
élire
Couche sur le papier ce que je n'ose dire.
Avec soin de mes vers lisez les premiers mots,
Vous saurez quel remède apporter à mes maux."
Afficher tout
Et enfin la réponse de Sand :
"Cette indigne faveur que votre esprit réclame
Nuit à mes sentiments et répugne à mon âme"

a écrit : Oui surtout que ça n’a pas grand chose à avoir en soit ^^’

On aurait pu aussi parler de sa relation passionnelle avec Alfred de Musset entre 1833 et 1835 et leurs correspondances qui étaient quelque peu.. chaud bouillant!

Un petit aperçu d’une de leurs lettres codée plus que connue et qui s
e lit en une une phrase sur deux pour être décryptés, je vous met l’entière puis le texter décoder!

L’entier: 

Je suis très émue de vous dire que j'ai
bien compris l'autre soir que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais bien que ce soit
là une preuve que je puisse être aimée
par vous. Je suis prête à vous montrer mon
affection toute désintéressée et sans cal-
cul, et si vous voulez me voir aussi
vous dévoiler sans artifice mon âme
toute nue, venez me faire une visite.
Nous causerons en amis, franchement.
Je vous prouverai que je suis la femme
sincère, capable de vous offrir l'affection
la plus profonde comme la plus étroite
en amitié, en un mot la meilleure preuve
dont vous puissiez rêver, puisque votre
âme est libre. Pensez que la solitude où j'ha-
bite est bien longue, bien dure et souvent
difficile. Ainsi en y songeant j'ai l'âme
grosse. Accourrez donc vite et venez me la
faire oublier par l'amour où je veux me
mettre

Le décoder :

Je suis très émue de vous dire que j'ai

toujours une envie folle de me faire

baiser et je voudrais bien que ce soit

par vous. Je suis prête à vous montrer mon

cul, et si vous voulez me voir aussi

toute nue, venez me faire une visite.

Je vous prouverai que je suis la femme

la plus profonde comme la plus étroite

dont vous puissiez rêver, puisque votre

bite est bien longue, bien dure et souvent

grosse. Accourrez donc vite et venez me la

mettre.
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En fait cette lettre n'a pas été écrite par George Sand, c'est une histoire inventée

m.20minutes.fr/amp/a/3237211

a écrit : Oui surtout que ça n’a pas grand chose à avoir en soit ^^’

On aurait pu aussi parler de sa relation passionnelle avec Alfred de Musset entre 1833 et 1835 et leurs correspondances qui étaient quelque peu.. chaud bouillant!

Un petit aperçu d’une de leurs lettres codée plus que connue et qui s
e lit en une une phrase sur deux pour être décryptés, je vous met l’entière puis le texter décoder!

L’entier: 

Je suis très émue de vous dire que j'ai
bien compris l'autre soir que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais bien que ce soit
là une preuve que je puisse être aimée
par vous. Je suis prête à vous montrer mon
affection toute désintéressée et sans cal-
cul, et si vous voulez me voir aussi
vous dévoiler sans artifice mon âme
toute nue, venez me faire une visite.
Nous causerons en amis, franchement.
Je vous prouverai que je suis la femme
sincère, capable de vous offrir l'affection
la plus profonde comme la plus étroite
en amitié, en un mot la meilleure preuve
dont vous puissiez rêver, puisque votre
âme est libre. Pensez que la solitude où j'ha-
bite est bien longue, bien dure et souvent
difficile. Ainsi en y songeant j'ai l'âme
grosse. Accourrez donc vite et venez me la
faire oublier par l'amour où je veux me
mettre

Le décoder :

Je suis très émue de vous dire que j'ai

toujours une envie folle de me faire

baiser et je voudrais bien que ce soit

par vous. Je suis prête à vous montrer mon

cul, et si vous voulez me voir aussi

toute nue, venez me faire une visite.

Je vous prouverai que je suis la femme

la plus profonde comme la plus étroite

dont vous puissiez rêver, puisque votre

bite est bien longue, bien dure et souvent

grosse. Accourrez donc vite et venez me la

mettre.
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Malheureusement cette lettre n'a très probablement pas été écrite par George Sand, ni la réponse par Alfred de Musset, ce ne serait qu'un canular...
www.planet.fr/culture-litterature-la-vraie-correspondance-coquine-entre-george-sand-et-alfred-de-musset.487324.29337.html

a écrit : Malheureusement cette lettre n'a très probablement pas été écrite par George Sand, ni la réponse par Alfred de Musset, ce ne serait qu'un canular...
www.planet.fr/culture-litterature-la-vraie-correspondance-coquine-entre-george-sand-et-alfred-de-musset.487324.29337.html
Ah ben ça brise quelque chose en moi, un peu comme quand on m’a dit que le père Noël n’existait pas :(

Ils devaient quand même avoir la capacité de le faire je suppose !

On est sure que ce ne soit pas d’eux ? Ou c’est une hypothèse ?

J’irais faire un tour sur le lien, merci beaucoup pour la précision en tout cas !

a écrit : En fait cette lettre n'a pas été écrite par George Sand, c'est une histoire inventée

m.20minutes.fr/amp/a/3237211
Si tel est le cas il faut vite supprimer mon commentaire avant que ça n’induise plus de monde dans la fosse que j’ai creusé par ignorance

a écrit : En fait cette lettre n'a pas été écrite par George Sand, c'est une histoire inventée

m.20minutes.fr/amp/a/3237211
Il n'y a pas de preuve formelle qu'elle n'ai pas été de sa mains, seulement des doutes. Affirmer qu'elle est fausse et aussi hasardeux que l'inverse finalement.

En fait, le prénom "George", sans le S final est un prénom féminin.