L'homme qui refusa d'être un Beatles

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Chas Newby aurait pu être le 5e Beatles. Cet étudiant et musicien accepta de dépanner les Beatles en jouant comme bassiste en décembre 1960 durant 4 concerts, à la suite de quoi il lui fut proposé de rejoindre le groupe. Désireux de se concentrer sur ses études, il déclina l'offre et devint professeur de mathématiques.

Quant aux Beatles, Lennon et Harrison refusant de se mettre à la basse, c'est McCartney qui endossa ce rôle à contrecœur.


Tous les commentaires (47)

a écrit : Bonsoir à tous,

Une des meilleures bassistes ,tout le monde à déjà entendu son travail je pense..sans savoir que c'est elle ..
fr.m.wikipedia.org/wiki/Carol_Kaye

Merci pour tous les commentaires
Merci d'avoir mis un nom sur la bassiste de l'album Shades de JJCale. Elle est monstrueuse dans son jeu ("mama don't", "cloudy day", etc...). Je ne la connaissais pas. JMCMB.

a écrit : Je n'aime pas trop cette façon de dire que de donner beaucoup d'argent aux "pauvres", tout d'un coup, ce serait presque "dangereux" pour eux... "Les pauvres, ils ne sauraient pas quoi en faire ; ils sombreraient dans l'alcool, la drogue, et pire encore"... Non, non, "il vaut mieux les laisser dans leur condition ; ils n'ont pas les codes pour autre chose".
C'est très pédant si un riche le dit ; et très pitoyable (je ne trouve pas le mot que je cherche exactement) si c'est un pauvre. Et en plus c'est faux ;) Déjà, l'Immense majorité des gros gagants aux loteries restent dans l'anonymat ; on parle donc d'une infime minorité qu'on peut suivre... Et dans cette infime minorité, on n'a qu'une poignée de cas à qui la déchéance décrite est arrivée. Mais on ne parle que d'eux comme si c'était une réalité récurrente, alors que le pourcentage est infinitésimal.
Sinon, je suis d'accord, sur le fait que tu décris en répondant à @Tyb, de faire la différence entre la richesse et la gloire. Etre reconnu partout me ferait carrément chier, moi aussi, mais avoir quelques millions sur mon compte ne me dérangerait pas plus que ça ;)
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Quelques millions cela suffit déjà pour ruiner (sans mauvais jeu de mots) des couples, des amitiés, des familles, des fratries…

Quelques centaines de milliers sont bien suffisants pour sortir d’une situation précaire et envisager l’avenir avec moins de contraintes. Toutes sommes supérieurs me paraît dangereuses pour le bien-être, inutile pour le confort et source de nombreux problèmes.

a écrit : Pourquoi à contrecœur ? C'est chouette la basse. Bien plus intéressant que la guitare...
A noter qu'il était gaucher, c'est comme ça qu'on le reconnaît facilement dans les images.
En terme de variété non, faut pas abuser mdr

a écrit : Je n'aime pas trop cette façon de dire que de donner beaucoup d'argent aux "pauvres", tout d'un coup, ce serait presque "dangereux" pour eux... "Les pauvres, ils ne sauraient pas quoi en faire ; ils sombreraient dans l'alcool, la drogue, et pire encore"... Non, non, "il vaut mieux les laisser dans leur condition ; ils n'ont pas les codes pour autre chose".
C'est très pédant si un riche le dit ; et très pitoyable (je ne trouve pas le mot que je cherche exactement) si c'est un pauvre. Et en plus c'est faux ;) Déjà, l'Immense majorité des gros gagants aux loteries restent dans l'anonymat ; on parle donc d'une infime minorité qu'on peut suivre... Et dans cette infime minorité, on n'a qu'une poignée de cas à qui la déchéance décrite est arrivée. Mais on ne parle que d'eux comme si c'était une réalité récurrente, alors que le pourcentage est infinitésimal.
Sinon, je suis d'accord, sur le fait que tu décris en répondant à @Tyb, de faire la différence entre la richesse et la gloire. Etre reconnu partout me ferait carrément chier, moi aussi, mais avoir quelques millions sur mon compte ne me dérangerait pas plus que ça ;)
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Excuse-moi si j'ai pu paraître pédant ou pitoyable. Ce n'est pas forcément un avis personnel. Les sociologues pinçon-charlot qui ont étudié le sujet montre que ce n'est vraiment pas une part négligeable. Je ne sais plus les pourcentages exactes(je crois que c'est 30%).

a écrit : En tant que batteur, je ne peux qu’approuver. La section rythmique quoi !

Mais il y a des exceptions qui confirment la règle, les Doors par exemple n’avaient pas de bassiste ;-)
Bonjour, les Doors n'avait pas de bassiste sur scène car il jouait sur un piano basse. Par contre, en studio il y avait très souvent un bassiste.

a écrit : J'aurai plutôt dit que le bassiste est la sauce qui relie tous les ingrédients. Sans lui, c'est fade et sans saveur. C'est lui qui fait le lien entre le pain (le batteur) et les autres instruments de musique. Je trouve que beaucoup plus de groupe se passent de bassiste que de clavier de nos jours, car il peut combler le rôle de "bass pure" par des notes basses en octave