Pour déneiger, on pulvérise de l'eau chaude au Japon

Proposé par
le

Tous les commentaires (29)

a écrit : En fait, je pensais a Brigitte Bardot, pas à Brigitte Macron.

Mais tu a quel âge??? Tu est majeur, j'espère?! ... (autant Epoxy a 12 ans... va savoir!)
Ben oui...
(Mais faut pas le dire à ma Maman)

a écrit : L'avantage indéniable de ce système, par rapport au salage des routes, est qu'il fait appel à un ressource locale, et qui, de plus a un impact minimal sur l'Environnement.

Sachez que le sel répandu sur la voirie durant un épisode de neige et de verglas.... se retrouve dans le sol et les co
urs d'eau. Nos amis Canadiens en savent grandement quelque chose.
Aussi, a un fabricant de sucre à partir de la betterave, lui est venu l'idée de faire usage du jus résiduel, afin de se prémunir de verglas et de neige sur les routes.
Il s'agit en réalité d'un mélange de sucre et de sel, qui a montré son efficacité jusqu'à des températures de -28 degrés Celsius.
Ceci ne supprime par l'emploi de sel, mais a au moins le mérite de diminuer son tonnage par deux.

Tout comme l'épandage d'eau chaude sur la voirie, il existe aussi au Japon (Sapporo, par exemple) le principe de "route chauffante", alimentée d'eau hydrothermale.
L'Islande -pays possédant d'immenses ressources en matière de géothermie- en fait usage pour chauffer des portions de routes, rues et trottoirs. Une anecdote SCMB était consacrée au sujet, en 2013.

La Belgique a également étudié ce sujet, mais en optant pour l'usage de billes de paraffine incorporées au revêtement de la route. Les résultats ne semblent pas avoir été assez probants, pour avoir eu une application commerciale.

Actuellement, plusieurs projets et applications de routes chauffantes, existent de par le monde, dont en France.
A la différence du système montré dans l'anecdote, il n'y a pas d'aspersion d'eau, mais de chauffage, au même titre que celui du chauffage au sol, dans une maison.
Le coût d'installation du réseau souterrain est assez prohibitif et ne peut donc être envisageable que sur des portions d'asphalte pouvant présenter un risque pour la sécurité routière : un endroit ombragé durant toute la journée, ou un péage d'autoroute (où il faut ralentir ou freiner), par exemple.
S'il est possible de faire usage d'une chaleur résiduelle issue d'un site Industriel proche, ça peut être financièrement rentable.
De même, il est possible de capter la chaleur de la route en été, puis de la stocker en sous-sol et de l'utiliser durant la période hivernale.
Afficher tout
Ce système de sol chauffant se fait pas mal en montagne.
Je sais qu’en Haute-Savoie (département voisin du mien) il y a bcp de maison qui en sont équipées de façon à rentrer tranquillement l’hiver (accès au garage en montée)

a écrit : Ça à l'air plutôt pas mal comme idée, et ça permet de "lessiver" les routes, sécurisant la circulation des deux roues. Ça pulverise fort, là c'est vrai vu la vidéo en 2 roues jon se sent "secure".

Une version plus nature : du petit gravier est répondu sur la route. Quand il est pris dans la glace, il forme une surface où il y a des prises pour les pneus. Vu et vécu en montagne.

a écrit : Une version plus nature : du petit gravier est répondu sur la route. Quand il est pris dans la glace, il forme une surface où il y a des prises pour les pneus. Vu et vécu en montagne. C'est effectivement ce qu'ils font en Norvège. Les graviers ont commencé à être ramassés début avril. Assez bluffant, par contre car glass repart carglass remplace... Ça fait pas mal de mini impacts sur nationales et autoroutes!

a écrit : C'est effectivement ce qu'ils font en Norvège. Les graviers ont commencé à être ramassés début avril. Assez bluffant, par contre car glass repart carglass remplace... Ça fait pas mal de mini impacts sur nationales et autoroutes! Salut @Mirnette.
J'ose la question: ce n'est pas toi qui nous avait commenté une fois, comme quoi tu habites en Norvège ?

Tu veux dire que les Services de voirie, "balayent" les routes actuellement, afin de collecter ces gravillons ?
Est-ce qu'ils sont stockés d'une année sur l'autre, pour leur réutilisation ?

a écrit : Punaise, l'hiver 99, on s'en souviendra tous ! Pas pire que l'hiver 2010.

Je me souviens d'un épisode neigeux de cette année où la route, sèche et dégagée le matin, devint impraticable par la neige en fin d'après-midi. Certains collègues ont mit 8 heures pour parcourir ... 25 km.

En fin de cette même semaine, j'ai du prendre la route pour me rendre à un mariage à 300 km. Parti le vendredi à 16h, je suis arrivé le lendemain vers 10h (j'ai dû "dormir" dans la voiture sous un pont) grâce au verglas et à l'abondance de neige qui était telle que je ne distinguait la route des champs que grâce au GPS.

M'en souviendrais de cet hiver là :/

a écrit : Pas pire que l'hiver 2010.

Je me souviens d'un épisode neigeux de cette année où la route, sèche et dégagée le matin, devint impraticable par la neige en fin d'après-midi. Certains collègues ont mit 8 heures pour parcourir ... 25 km.

En fin de cette même semaine, j'ai du pr
endre la route pour me rendre à un mariage à 300 km. Parti le vendredi à 16h, je suis arrivé le lendemain vers 10h (j'ai dû "dormir" dans la voiture sous un pont) grâce au verglas et à l'abondance de neige qui était telle que je ne distinguait la route des champs que grâce au GPS.

M'en souviendrais de cet hiver là :/
Afficher tout
M'en souviens clairement beaucoup moins de 2010. En 99, notre chère forêt des Landes a été décimée par la tempête. Je me souviens avoir pleuré régulièrement cette année là à chaque fois que je passais devant une zone en particulier...où il n'y avait plus aucun arbre !

a écrit : M'en souviens clairement beaucoup moins de 2010. En 99, notre chère forêt des Landes a été décimée par la tempête. Je me souviens avoir pleuré régulièrement cette année là à chaque fois que je passais devant une zone en particulier...où il n'y avait plus aucun arbre ! Il faut dire que je vis dans le nord de la France, plus propice à la neige et au verglas de l'anecdote ... et ou nous avons aussi vécu la tempête "du siècle"... ;-)