La bride-bavarde, une muselière pour les femmes

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La bride-bavarde, ou bride-mégère, était un instrument de torture destiné à faire taire les femmes accusées de bavardages, qui devaient défiler dans les rues en portant cette muselière en fer. Elle fut utilisée principalement en Écosse et en Angleterre aux XVIe et XVIIe siècles.

Certaines muselières étaient munies de pics dirigés vers la langue, empêchant physiquement les femmes de parler.


Tous les commentaires (74)

a écrit : sauf si tu lui casses les genoux avant. En le surprenant bien sûr, pour qu'il ait moins mal, on n'est pas des monstres. Bah normalement si tu lui casse les genoux, il sentira pas la piqûre : le cerveau marche par plus haut potentiel..du coup la douleur la plus forte a tendance a annihiler le ressenti d'une douleur plus faible (j'ai pu le tester personnellement ;)
Un peu a la manière des bronzés font du ski quand il doit la taper avec un bâton de ski pendant qui lui remboite l'épaule ou le genou (me rappel plus). Après c est mieux si la "contre douleur" est administrée une seconde avant et pas de manière répétée^^

a écrit : Lancer une seringue sur un môme, c'est pas évident non plus... Fusil hypodermique ?
Chaque problème à sa solution! ^^
Tu peux lui dire que tu vas jouer à chat/l'épervier si t'aime la chasse en plus!^^

A cette époque le bavardage et les rumeurs étaient le passé temps de certains ===> heureusement que ce temps est révolu....

a écrit : Je trouve ça intéressant qu'à l'époque déjà le fait que les femmes parlent trop était mal vu au point de créer un instrument de torture accompagné d'humiliation.
Ça prouve bien que les stéréotypes datent pas d'hier... Et que ça n'a pas autant changé que ce qu'on pourrait penser (à pa
rt la méthode)
Anecdote aussi intéressante que triste je trouve
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Les hommes parlent trop aussi et ils manquent souvent de franchise et mentent très souvent.
Enfin, le commérage existe aussi bien chez l’homme que la femme. Après, faut juste ne pas se voiler la face.

a écrit : Je suis assez d’accord pour les 2 premières lignes.
Un instrument de torture est destiné spécifiquement à provoquer de vives douleurs physiques.
Alors que là ça empêchait juste de parler mais ça n’était pas destiné à provoquer spécifiquement de la douleur physique.
Même les piques vers la langue, il
ne sont pas là pour faire souffrir mais pour dissuader de parler, autrement dit le simple fait de ne pas parler fait échapper à la douleur, ce n’est donc pas de la torture.

C’est comme si on disait que les menottes ou les boulets aux pieds étaient des instruments de torture...


Dédicace à tout ceux qui vont s’offusquer et faire semblant de ne pas comprendre la différence (pourtant réelle) entre ça et un instrument de torture.
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Je ne suis pas d'accord avec votre définition de la torture, car ce n'est pas purement physique. Avec une rapide recherche il s'agit de faire souffrir une personne physiquement, mentalement, de manière intentionnelle. On a bien des méthodes de torture modernes qui consistent à faire écouter certaines chansons sans arrêt qui font perdre la tête aux torturés. Et n'est ce pas de la torture que de torturer ou tuer vos proches sous vos yeux ? Pourtant vous ne subissez pas de douleur physique.

Mais effectivement, les menottes n'étant pas un instrument destiné à faire souffrir intentionnellement, on ne peut pas dire qu'elles sont un instrument de torture.

Pour la muselière, étant donné qu'elle avait pour objectif d'humilier les femmes sur la place publique, ne peut-on pas dire que c'est de la torture mentale ? D'autant plus qu'elle n'était destiné qu'aux femmes, qui étaient déjà beaucoup victimes de discriminations sexistes... Donc, je ne sais pas, je pense que la question mérite d'être posée.

a écrit : Les hommes parlent trop aussi et ils manquent souvent de franchise et mentent très souvent.
Enfin, le commérage existe aussi bien chez l’homme que la femme. Après, faut juste ne pas se voiler la face.
"Tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux et lâches, méprisables et sensuels ; toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées ; le monde n'est qu'un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange"
Et non y plus de mais de nos jours ;)
(Avec le bonjour d'Alfred...de Musset)

a écrit : Je suis assez d’accord pour les 2 premières lignes.
Un instrument de torture est destiné spécifiquement à provoquer de vives douleurs physiques.
Alors que là ça empêchait juste de parler mais ça n’était pas destiné à provoquer spécifiquement de la douleur physique.
Même les piques vers la langue, il
ne sont pas là pour faire souffrir mais pour dissuader de parler, autrement dit le simple fait de ne pas parler fait échapper à la douleur, ce n’est donc pas de la torture.

C’est comme si on disait que les menottes ou les boulets aux pieds étaient des instruments de torture...


Dédicace à tout ceux qui vont s’offusquer et faire semblant de ne pas comprendre la différence (pourtant réelle) entre ça et un instrument de torture.
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Être menotté durant 2-3h, ok ! Mais si on te laisse menotter plus longtemps, je pense que tu l’assimilerais a de la torture aussi.
Je pense que porter ce masque doit être sacrément usant.
Il y a des tortures qui se font sur la durée mais qui ne font pas mal sur le coup mais tu peux en ressortir handicapé

a écrit : Non toujours pas :ce que tu décris s'appelle l'algophobie(non il n'y a pas que les développeurs informatiques qui peuvent l'avoir un peu comme thevenou^^)
et ça se soigne aux anxio ou avec une therapie!
(Perso je peux rester plusieurs jours sans parler et promis je suis pas masochistes... juste mysanthrope)
;-)
Encore pas d'accord, parce que personne te force à parler. ;)

a écrit : Les hommes parlent trop aussi et ils manquent souvent de franchise et mentent très souvent.
Enfin, le commérage existe aussi bien chez l’homme que la femme. Après, faut juste ne pas se voiler la face.
Mais tout a fait, en vrai y'a pas de différence entre les commérages des hommes et ceux des femmes, sauf la terminologie:

Les hommes dissertent, les femmes bavardent...

En vrai et là je suis sérieux, ce qu'on aurait du interdire, c'est les engueulades de couples en public...
-Mais vous allez fermer vos gueules oui?! ^^

a écrit : Encore pas d'accord, parce que personne te force à parler. ;) ^^. Bah si on le force a parler je vais m'arranger que la torture se retourne contre mon bourreau qui va m'entendre jacasser!(un peu comme à l'image de mes longs commentaires souvent ;?
Y a un dicton qui dit "si un jour quelqu'un t'beeeppp ne bouge pas si tu veux pas qu'il jouisse".

a écrit : Je suis assez d’accord pour les 2 premières lignes.
Un instrument de torture est destiné spécifiquement à provoquer de vives douleurs physiques.
Alors que là ça empêchait juste de parler mais ça n’était pas destiné à provoquer spécifiquement de la douleur physique.
Même les piques vers la langue, il
ne sont pas là pour faire souffrir mais pour dissuader de parler, autrement dit le simple fait de ne pas parler fait échapper à la douleur, ce n’est donc pas de la torture.

C’est comme si on disait que les menottes ou les boulets aux pieds étaient des instruments de torture...


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Je dirais que c'est un outil de dissuasion et d'humiliation

a écrit : Je trouve ça intéressant qu'à l'époque déjà le fait que les femmes parlent trop était mal vu au point de créer un instrument de torture accompagné d'humiliation.
Ça prouve bien que les stéréotypes datent pas d'hier... Et que ça n'a pas autant changé que ce qu'on pourrait penser (à pa
rt la méthode)
Anecdote aussi intéressante que triste je trouve
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C'est surtout intéressant de voir qu'à l'époque déjà elles nous les brisaient et que même la torture n'a pas corrigé leur vice ! C'est dire s'il est profondément ancré ! :D

a écrit : Je suis assez d’accord pour les 2 premières lignes.
Un instrument de torture est destiné spécifiquement à provoquer de vives douleurs physiques.
Alors que là ça empêchait juste de parler mais ça n’était pas destiné à provoquer spécifiquement de la douleur physique.
Même les piques vers la langue, il
ne sont pas là pour faire souffrir mais pour dissuader de parler, autrement dit le simple fait de ne pas parler fait échapper à la douleur, ce n’est donc pas de la torture.

C’est comme si on disait que les menottes ou les boulets aux pieds étaient des instruments de torture...


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Torture psychologique ça ne vous parles pas??? Pas besoin d'avoir mal au corps pour souffrir...
Ceci requiert plus de l'humiliation et de la soumission... Qui sont des formes de tortures !

a écrit : La pendaison que tu décrit aboutissait inévitablement à la mort, ça pouvait prendre des heures jusqu'à ce que le supplicié soit épuisé, ce n'est pas un bon exemple, mais je suis d'accord avec le fait que la torture mentale est aussi une forme de torture.

-Tant que tu ne me dit pas ce que je
veux savoir, tu entendra le générique de Boumbo en boucle!!!
^^
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Eh ben voilà, je l'ai dans la tête grâce à toi juste avant de dormir !!
Petite automobile bile bile

a écrit : Je suis assez d’accord pour les 2 premières lignes.
Un instrument de torture est destiné spécifiquement à provoquer de vives douleurs physiques.
Alors que là ça empêchait juste de parler mais ça n’était pas destiné à provoquer spécifiquement de la douleur physique.
Même les piques vers la langue, il
ne sont pas là pour faire souffrir mais pour dissuader de parler, autrement dit le simple fait de ne pas parler fait échapper à la douleur, ce n’est donc pas de la torture.

C’est comme si on disait que les menottes ou les boulets aux pieds étaient des instruments de torture...


Dédicace à tout ceux qui vont s’offusquer et faire semblant de ne pas comprendre la différence (pourtant réelle) entre ça et un instrument de torture.
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Et la torture psychologique ?

a écrit : Je suis assez d’accord pour les 2 premières lignes.
Un instrument de torture est destiné spécifiquement à provoquer de vives douleurs physiques.
Alors que là ça empêchait juste de parler mais ça n’était pas destiné à provoquer spécifiquement de la douleur physique.
Même les piques vers la langue, il
ne sont pas là pour faire souffrir mais pour dissuader de parler, autrement dit le simple fait de ne pas parler fait échapper à la douleur, ce n’est donc pas de la torture.

C’est comme si on disait que les menottes ou les boulets aux pieds étaient des instruments de torture...


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Hello, est-ce que la torture ne devient elle pas “mentale” ? Ne pas pouvoir parler.

a écrit : Je suis assez d’accord pour les 2 premières lignes.
Un instrument de torture est destiné spécifiquement à provoquer de vives douleurs physiques.
Alors que là ça empêchait juste de parler mais ça n’était pas destiné à provoquer spécifiquement de la douleur physique.
Même les piques vers la langue, il
ne sont pas là pour faire souffrir mais pour dissuader de parler, autrement dit le simple fait de ne pas parler fait échapper à la douleur, ce n’est donc pas de la torture.

C’est comme si on disait que les menottes ou les boulets aux pieds étaient des instruments de torture...


Dédicace à tout ceux qui vont s’offusquer et faire semblant de ne pas comprendre la différence (pourtant réelle) entre ça et un instrument de torture.
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Outre la douleur promise si la personne essaie de parler, il y a une stigmatisation sociale durable que je considère comme une torture, sans parler du poids et des autres inconvénients à subir cet appareil.
Pour moi, cela reste une torture.

a écrit : Je trouve ça intéressant qu'à l'époque déjà le fait que les femmes parlent trop était mal vu au point de créer un instrument de torture accompagné d'humiliation.
Ça prouve bien que les stéréotypes datent pas d'hier... Et que ça n'a pas autant changé que ce qu'on pourrait penser (à pa
rt la méthode)
Anecdote aussi intéressante que triste je trouve
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L’histoire est écrite par les vainqueurs… les stéréotypes sont construits et maintenus par ceux qui en ont le pouvoir.
J’imagine qu’il n’y a que très peu d’homme qui ont porté cet « outil » de dissuasion…

a écrit : C'est surtout intéressant de voir qu'à l'époque déjà elles nous les brisaient et que même la torture n'a pas corrigé leur vice ! C'est dire s'il est profondément ancré ! :D Je découvre grâce à ce commentaire qu’il n’est pas possible d’attribuer une note négative… que j’aurais bien mise à ce commentaire désobligeant !