Attention, vous pourriez faire du vin

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Durant la Prohibition, des producteurs contournèrent l'interdiction avec des briques de purée de raisin. L'emballage portait la mention qu'il ne fallait surtout pas ajouter d'eau et stocker à l'écart pendant 3 semaines, car on obtiendrait du vin.


Tous les commentaires (28)

a écrit : Attention, ce trafic ne fait pas "survivre ces mêmes cités", mais enrichit des racailles qui n'y vivent pas, et qui recrutent, en fait assez peu, de complices sur place... mais qui terrorisent les 90% des populations qui ne participent ni ne profitent de ce trafic mortel (boites à lettres explosées, ascenseurs mis en panne, voitures brulées, batailles rangées dans certaines villes...) pour qu'elles se taisent
Si les petits bourgeois "rebelles" ne venaient pas se fournir en frissonnant quand ils traversent les parkings de ces cités, les trafiquants s'installeraient là où se trouvent la majorité des clients-consommateurs, c'est à dire dans les quartiers chicos. Mais là, ça feraient moche sur les photos des quartiers bobos
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J'ai fait des recherches après coup.
Il est évident que la plupart de l'argent sort des cités et est blanchi ailleurs et donc que peu en profite dans ces mêmes cités.
Mais le peu qui reste dans les cités soit directement soit indirectement doit quand même servir à une pseudo paix sociale non ?

Toutefois je ne suis pas forcément d'accord avec toi sur un point. Pour moi il y a quand même du recrutement fait au sein de la cité justement parce-qu'il faut des gens qui connaissent bien les lieux, les personnes etc...

Je me trompe peut-être et je serai ravi que tu m'éclaires ;-)

a écrit : J'ai fait des recherches après coup.
Il est évident que la plupart de l'argent sort des cités et est blanchi ailleurs et donc que peu en profite dans ces mêmes cités.
Mais le peu qui reste dans les cités soit directement soit indirectement doit quand même servir à une pseudo paix sociale non ?
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Toutefois je ne suis pas forcément d'accord avec toi sur un point. Pour moi il y a quand même du recrutement fait au sein de la cité justement parce-qu'il faut des gens qui connaissent bien les lieux, les personnes etc...

Je me trompe peut-être et je serai ravi que tu m'éclaires ;-)
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Quand SpeedRod n'y voit rien, BuzzLéclair ^^

a écrit : C'est toi qui mélange tout.

1: tu pense qu'on se défonce pour le plaisir? FAUX! On se défonce pour éteindre notre cerveau.
2: le business dans les cités (et la vente de coke dans le 16ème chez les riches où il n'y a jamais de descente de flics au passage) a été générée par l'inte
rdiction.
3 il faut bien vivre de quelquechose! Je travaille au black et je (bref)
4 on va en parler, de la dépendance aux réseaux sociaux, comme drogue dure qui produit des endorphines dans le cerveau, c'est pareil. Mais c'est non seulement légal, mais international et bouzille le citron de nos enfants dès qu'ils savent lire et ... rien, tout va bien.
5 tous ces produits sont en vente encadrée. OUI TOUS, faut juste connaitre un "bon" toubib. Trop facile d'obtenir des opioïdes de synthèse 10 fois plus puissants que l'héroïne ca s'appelle le Tranxene.

Conclusion: le plus gros dealer, c'est l'état.

P.S tu sais que j'ai pas le droit de consommer le carburant que je fabrique? C'est INTERDIT!

Dis moi pourquoi? :)
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Le Tranxene n'est pas un opioide mais une benzodiazepine. Il n'agit pas sur les mêmes récepteurs que les opiacés.
Les benzos sont effectivement des medicaments détournés de leur usage par certaines personnes et sont caractérisés par une dépendance et une tolérance (qui fait que pour avoir les mêmes effets, avec le temps on doit augmenter les doses).

a écrit : J'ai fait des recherches après coup.
Il est évident que la plupart de l'argent sort des cités et est blanchi ailleurs et donc que peu en profite dans ces mêmes cités.
Mais le peu qui reste dans les cités soit directement soit indirectement doit quand même servir à une pseudo paix sociale non ?
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Toutefois je ne suis pas forcément d'accord avec toi sur un point. Pour moi il y a quand même du recrutement fait au sein de la cité justement parce-qu'il faut des gens qui connaissent bien les lieux, les personnes etc...

Je me trompe peut-être et je serai ravi que tu m'éclaires ;-)
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il y a un vrai recrutement sur place : les guetteurs, les rabatteurs, les coursiers, les nourrices... Ce sont des "petites mains", ceux qui touchent le moins. Mais cela fait quand même des compléments parfois conséquents pour des familles souvent pauvres. La majorité du pognon sort des cités certes, mais ce qui y reste n'est pas anecdotique.

J'avoue vu le reportage d'un ancien flic du 93 (pas retrouvé le lien désolé) qui expliquait que certaines mairies recrutaient également des gars du quartier pour assurer une communication entre mairie et les réseaux drogue de la cité... et ainsi acheter une certaine paix sociale en filant du pognon aux bonnes personnes... discutable mais efficace.

a écrit : il y a un vrai recrutement sur place : les guetteurs, les rabatteurs, les coursiers, les nourrices... Ce sont des "petites mains", ceux qui touchent le moins. Mais cela fait quand même des compléments parfois conséquents pour des familles souvent pauvres. La majorité du pognon sort des cités certes, mais ce qui y reste n'est pas anecdotique.

J'avoue vu le reportage d'un ancien flic du 93 (pas retrouvé le lien désolé) qui expliquait que certaines mairies recrutaient également des gars du quartier pour assurer une communication entre mairie et les réseaux drogue de la cité... et ainsi acheter une certaine paix sociale en filant du pognon aux bonnes personnes... discutable mais efficace.
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Tu parles peut-être d'Olivier Norek qui est devenu écrivain qui a fait toute sa carrière à la SDPJ du 93.
Ses romans policiers sont très bons.
Dans sa série de livres avec le capitaine Coste il aborde ce sujet notamment dans "territoires" (2e livre de la série).
Même si il glisse forcément des choses vues, subies...cela ne reste que des romans.

Mais je recommande fortement les 4 livres de sa série Capitaine Coste pour les amateurs de policiers (attention à les lire dans l'ordre car on y retrouve les mêmes perso et donc leurs évolutions)

Du même auteur "impact" est très bien aussi.
Il utilise des faits réels écologiques (les notes indiquent les sources) pour son histoire.

a écrit : Tu parles peut-être d'Olivier Norek qui est devenu écrivain qui a fait toute sa carrière à la SDPJ du 93.
Ses romans policiers sont très bons.
Dans sa série de livres avec le capitaine Coste il aborde ce sujet notamment dans "territoires" (2e livre de la série).
Même si il glisse forcém
ent des choses vues, subies...cela ne reste que des romans.

Mais je recommande fortement les 4 livres de sa série Capitaine Coste pour les amateurs de policiers (attention à les lire dans l'ordre car on y retrouve les mêmes perso et donc leurs évolutions)

Du même auteur "impact" est très bien aussi.
Il utilise des faits réels écologiques (les notes indiquent les sources) pour son histoire.
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Bonjour, ce n'était pas dans un livre mais c'est peut-etre le même gars, je ne m'en souviens plus.
je note les livres, j'aime bien les policiers écrits par d'anciens flics. Même si ça reste romancé, ils mettent un volume de vérités parfois difficiles à lire mais intéressant.

a écrit : Si tu consommes du cbd légal contenant un tout petit peu de thc (en restant dans la légalité...) et que tu es contrôlé positif au thc alors tu es en tort (même si tu peux prouver que tu consommes uniquement du cbd)
Cela vient d'être confirmé par le conseil d'état.

https://www.service-public
.fr/particuliers/actualites/A16677#:~:text=Vous%20%C3%AAtes%20consommateur%20de%20CBD,arr%C3%AAt%20du%2021%20juin%202023 Afficher tout
Oui tu confirmes ce que j’ai dit ;)
Ce qui compte c’est la concentration. Après entre la salive et le sang il y a peut être une marge (sans conviction je ne suis pas laborantin) qui pourrait donner raison au consommateur.

Mais oui, si après le test, le retour du laboratoire est positif, il s’agit d’une preuve formelle car quelque soit le mode d administra ce qui importe c’est le risque lié à la consommation.

Dans la même veine il y avait des livres principalement pour femmes durant le Moyen-Âge qui contournaient la censure en disant attention il ne faut surtout pas faire telle chose ou prendre tel produit qui résulterait en une contraception déplaisante à Dieu ou même un avortement