La note la plus basse émise par un humain

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Tim Storms est un chanteur probablement plus connu pour sa voix que pour ses compositions. Il détient le record de la note la plus basse émise par un humain, la note G –7, (huit octaves en dessous du premier sol d’un piano), tellement basse qu’elle serait uniquement audible par certains animaux.

Tim Storms détient aussi le record du monde de « la gamme vocale la plus étendue ».


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a écrit : Indépendamment de l'explication apportée par @Tybs, le Net m'informe que "feu" s'emploie quand une personne est décédée récemment, et "défunt" quand la mort est plus ancienne.
Voici le lien qui m'a confirmé une règle de la langue française que j'ignorais, et je te re
mercie vivement, tant de me l'avoir apprise, comme de me corriger sur ce propos.
lebonusage-over--blog-com.cdn.ampproject.org/v/lebonusage.over-blog.com/amp/article-feu-et-defunt-86859314.html?amp_js_v=a6&amp_gsa=1&usqp=mq331AQHKAFQArABIA%3D%3D#aoh=16133356292252&referrer=https%3A%2F%2Fwww.google.com&amp_tf=De%20%251%24s&ampshare=http%3A%2F%2Flebonusage.over-blog.com%2Farticle-feu-et-defunt-86859314.html

Je trouve que ceci pourrait d'ailleurs être le sujet d'une anecdote.
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rouleaum.wordpress.com/2011/08/30/feufeue/

Cet article est intéressant sur le sujet et effectivement la distinction n’est pas tres claire ni tellement justifiée entre feu et défunt.

a écrit : Remarque assez intéressante, qui nous ramène au rapport entre l’homme et son environnement.

En effet, l’être humain est un être vivant qui intéragit avec son environnement, et pour appréhender cet environnement, notre corps est bourré de capteurs/récepteurs.

Ces “récepteurs” sont plus connus s
ous le nom de « sens ». Les plus connus sont les cinq sens principaux (vue, ouïe, odorat, toucher, goût), mais il en existe bien d’autres ! (jusqu’à 21 de mémoire pour certains scientifiques, merci SCMB.)

Par exemple, la proprioception (si tu fermes les yeux, tu sais où se situe ta main même si tu la bouges), l’équilibrioception (sentir l’équilibre), la thermoception (sentir les températures), la nociception (sentir la douleur) etc.

L’ouïe nous permet d’entendre des sons (qui sont des vibrations de l’air) via des capteurs au niveau de l’oreille interne qui captent les vibrations de l’air, donc les surpressions, et donc la pression de l’air. C’est pour ça que ça fait mal quand on plonge profondément (la pression augmente de 1 bar tous les dix mètres) et lorsqu’on monte en altitude (la pression diminue en altitude, jusqu’à (de mémoire) 0,6 ou 0,7 bar au sommet de l’Everest.
Cependant, notre corps a beau être ultra-performant, notre oreille ne peut pas capter tous les sons, mais seulement d’une certaine plage ([20 Hz ; 20 kHz]), et seulement si l’intensité est assez forte. D’autres animaux, qui possèdent des oreilles différentes des nôtres, peuvent capter d’autres plages de fréquences, dans les ultrasons (> 20 kHz) comme la chauve-souris, ou dans les infrasons (< 20 Hz) comme l’éléphant ou la girafe.

De même, la vue nous permet d’appréhender la lumière de notre environnement, mais on ne peut voir que la plage de longueurs d’onde [400 nm ; 800 nm].

En raisonnant toujours pareil, on ne peut sentir certaines odeurs, on ne peut sentir les champs magnétiques comme certains animaux, on ne peut sentir directement les champs électriques (certains le peuvent en sentant l’effet du champ sur les poils)...

Ainsi, l’environnement est rempli de plein d’infos que notre corps ne peut mesurer. Pour s’adapter au mieux à l’environnement, l’homme a inventé de nombreux capteurs permettant de tout mesurer (avec une précision relative). On peut donc savoir s’il y a un champ alors qu’on ne le sent pas, on peut utiliser des sonars, alors qu’on ne voit pas la différence, on peut utiliser les UV, les micro-ondes (qui voit les ondes se balader dans sa machine ?) etc. Ainsi, l’homme ne s’est pas contenté de mesurer ce qu’il ne voyait pas, mais il s’est aussi permis d’utiliser ce qu’il ne voit pas !

Par exemple, notre visage produit de la lumière en très faible quantité la nuit. Bien sûr, on ne le voit pas, mais nos machines si !
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Je me suis toujours demandée à quoi pouvaient ressembler les couleurs dont les longueurs d ondes ne sont pas perceptibles par nous...
Cest impensable dimaginer une couleur que lon ne connaît pas.
Un son encore plus grave ou plus aigu ca 'simagine' mais une couleur...

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a écrit : Je me suis toujours demandée à quoi pouvaient ressembler les couleurs dont les longueurs d ondes ne sont pas perceptibles par nous...
Cest impensable dimaginer une couleur que lon ne connaît pas.
Un son encore plus grave ou plus aigu ca 'simagine' mais une couleur...
Et encore c’est pire que ça car même dans le domaine visible on ne perçoit pas toujours toutes les couleurs. C’est ce qui arrive avec ce qu’on appelle les couleurs métamères.

a écrit : Et encore c’est pire que ça car même dans le domaine visible on ne perçoit pas toujours toutes les couleurs. C’est ce qui arrive avec ce qu’on appelle les couleurs métamères. C'est différent pour les couleurs métamères. On les perçoit mais on ne peut les distinguer.

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a écrit : C'est différent pour les couleurs métamères. On les perçoit mais on ne peut les distinguer. Tu as raison, la nuance est importante ;)