Il a existé parmi les samouraïs, au moins à partir du XVe et jusqu'au XIXe siècle, une pratique homosexuelle pédérastique appelée shudō de wakashudō ("la voie des hommes"). Le shudō était considéré comme bénéfique pour le garçon au contraire de l'amour pour une femme, qui le féminiserait.
Tenu en haute estime, le shudō était encouragé chez les samouraïs, et devint également populaire chez les classes moyennes. Par ses aspects pédagogiques, militaires et aristocratiques, le shudō s'apparente fortement à la pédérastie grecque.
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Cela concerne une population en particulier. Il suffit juste d ouvrir les yeux. Mais encore faut-il le vouloir.
C'est d'autant plus vrai que tout le monde s'en fout, qu'il y a un déni et un tabou dû à la volonté de non stigmatisation de la population concernée.
Parce que savoir qui, où, et faire deux trois reportages ça n'a jamais résolu un problème de société.
C'est un phénomène très révélateur de la puissance des traditions. Des femmes mutilées et qui pour la grande majorité en ont souffert toute leur vie, qui infligent cela à leur enfant, le plus souvent la mort dans l'âme.
Du coup les débats interminables sur un bout de bite qui au final ne change pas grand chose, j'ai du mal à y voir une priorité.
de ce que l'on lit des femmes victimes, beaucoup redoutent les vacances à l'étranger même si je reste persuadé que cela se pratique encore en occident.
Il est vrai que quelques condamnations pour acte de mutilation pourraient en ramener plus d'un à un peu plus de respect des femmes.
Si l'adulte est le "maître samouraï" ici alors aujourd'hui avec nos lois actuelles cette relation est illégale. Toutefois, Nico peut écrire à peu près ce qu'il veut sur le sujet, je ne vois pas quel ennui il pourrait avoir.