Le risque de transmission du VIH varie selon la pratique sexuelle

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Le principal risque de transmission du VIH est lors d’un rapport anal réceptif, avec un risque estimé selon certaines études à 1,4%. C’est principalement dû à la forte concentration de cellules immunitaires sur la paroi rectale. Le deuxième risque majeur concerne le partage de moyens d’injection contaminés comme des seringues avec un risque de 0,63%. Un rapport vaginal réceptif comporte quant à lui un risque de 0,08%.


Tous les commentaires (71)

a écrit : Je me permets de rebondir: "Les thérapies sont lourdes", c'est vrai et elles aussi très chères. Il faut compter plus de 1 000 € par mois, rien qu'en médicaments (donc sans compter le suivi médical, les analyses...), et elles sont (heureusement pour les malades) supportées par la collectivité. Tes informations ne doivent pas être très à jour, les prix sont bien inférieurs à ça.

Quant à ceux qui qualifient les trithérapies de lourdes, sachant que c'est souvent un comprimé par jour et pas forcément tous les jours, je me demande bien ce qu'ils faudrait pour qu'ils ne qualifient pas une thérapie de "lourde". Si la prise d'un comprimé par jour pour soigner une maladie chronique c'est une thérapie lourde, les diabétiques insulino-dépendants qui doivent se piquer pour mesurer leur glycémie plusieurs fois par jour et s'injecter de l'insuline (et qui en dehors de cette contrainte vivent tout à fait normalement et d'autant plus qu'il y a maintenant des appareils automatiques) c'est une thérapie *très* lourde, et les dialyses et les chimiothérapies sont bien sûr des thérapies *très très* lourdes, voire *très très très* lourdes... Peut-être que dans cette échelle on peut trouver parmi les thérapies que vous ne jugeriez pas lourdes : l'infusion de tilleul le soir pour mieux dormir et les bonbons aux plantes suisses pour dégager le nez ?

a écrit : Tes informations ne doivent pas être très à jour, les prix sont bien inférieurs à ça.

Quant à ceux qui qualifient les trithérapies de lourdes, sachant que c'est souvent un comprimé par jour et pas forcément tous les jours, je me demande bien ce qu'ils faudrait pour qu'ils ne qualifient pas
une thérapie de "lourde". Si la prise d'un comprimé par jour pour soigner une maladie chronique c'est une thérapie lourde, les diabétiques insulino-dépendants qui doivent se piquer pour mesurer leur glycémie plusieurs fois par jour et s'injecter de l'insuline (et qui en dehors de cette contrainte vivent tout à fait normalement et d'autant plus qu'il y a maintenant des appareils automatiques) c'est une thérapie *très* lourde, et les dialyses et les chimiothérapies sont bien sûr des thérapies *très très* lourdes, voire *très très très* lourdes... Peut-être que dans cette échelle on peut trouver parmi les thérapies que vous ne jugeriez pas lourdes : l'infusion de tilleul le soir pour mieux dormir et les bonbons aux plantes suisses pour dégager le nez ? Afficher tout
Donne moi tes chiffres plutôt.

a écrit : Donne moi tes chiffres plutôt. Tu parles du prix ? Alors par exemple Odefsey coute 495 euros (je viens de vérifier le prix sur le Vidal) la boite de 30 comprimés, et sachant qu'on peut le prescrire à raison de 4 jours par semaine, ça revient à 360 euros par mois, c'est le 1/3 de ce que tu annonçait !

Plus de 1000 euros par mois et plusieurs comprimés par jour, c'était il y a au moins 5 ans.

Pour la lourdeur des thérapies, je peux te dire que ça représente moins d'1 gramme par jour alors ça ne parait pas très lourd.

Bien sûr, ce n'est qu'un exemple, ce traitement n'est pas adapté pour tout le monde et il y a des cas plus graves que d'autres, mais il ne faut pas non plus trop noircir le tableau si on veut donner une information honnête.

a écrit : Tes informations ne doivent pas être très à jour, les prix sont bien inférieurs à ça.

Quant à ceux qui qualifient les trithérapies de lourdes, sachant que c'est souvent un comprimé par jour et pas forcément tous les jours, je me demande bien ce qu'ils faudrait pour qu'ils ne qualifient pas
une thérapie de "lourde". Si la prise d'un comprimé par jour pour soigner une maladie chronique c'est une thérapie lourde, les diabétiques insulino-dépendants qui doivent se piquer pour mesurer leur glycémie plusieurs fois par jour et s'injecter de l'insuline (et qui en dehors de cette contrainte vivent tout à fait normalement et d'autant plus qu'il y a maintenant des appareils automatiques) c'est une thérapie *très* lourde, et les dialyses et les chimiothérapies sont bien sûr des thérapies *très très* lourdes, voire *très très très* lourdes... Peut-être que dans cette échelle on peut trouver parmi les thérapies que vous ne jugeriez pas lourdes : l'infusion de tilleul le soir pour mieux dormir et les bonbons aux plantes suisses pour dégager le nez ? Afficher tout
Même plus besoin de se piquer le doigt grâce aux transmetteurs et capteurs.
C’est un patch dans le bras ou le ventre a changer tous les 10 jours et un patch dans le ventre ou la cuisse a changer tous les 3/4 jours pour le patch avec canule pour l’injection d’insuline. La mesure de glycémie est automatisée mais l’injection n’est automatisée, selon des schémas préétablis, que pour l’insuline basale (équivalente à la production d’insuline en continu du pancréas). Pour l’insuline dite de bolus (pic d’insuline au moment des repas) et les éventuelles baisses ponctuelles de basale (en cas d’activité intense comme le sport), il faut appuyer soi même sur deux ou trois boutons et calculer soit même les doses. On est bien loin aujourd’hui de la thérapie éprouvante mais c’est un tout petit peu plus contraignant que 1 comprimé par jour effectivement ;). Cela reste moins long que de faire chauffer l’eau pour l’infusion au tilleul.

a écrit : Même plus besoin de se piquer le doigt grâce aux transmetteurs et capteurs.
C’est un patch dans le bras ou le ventre a changer tous les 10 jours et un patch dans le ventre ou la cuisse a changer tous les 3/4 jours pour le patch avec canule pour l’injection d’insuline. La mesure de glycémie est automatisée mais l
’injection n’est automatisée, selon des schémas préétablis, que pour l’insuline basale (équivalente à la production d’insuline en continu du pancréas). Pour l’insuline dite de bolus (pic d’insuline au moment des repas) et les éventuelles baisses ponctuelles de basale (en cas d’activité intense comme le sport), il faut appuyer soi même sur deux ou trois boutons et calculer soit même les doses. On est bien loin aujourd’hui de la thérapie éprouvante mais c’est un tout petit peu plus contraignant que 1 comprimé par jour effectivement ;). Cela reste moins long que de faire chauffer l’eau pour l’infusion au tilleul. Afficher tout
C'est ce que je disais en parlant d'appareils automatiques. Et comme ces appareils fixés sur des patches sont étanches, on peut même se baigner avec !

a écrit : Tu parles du prix ? Alors par exemple Odefsey coute 495 euros (je viens de vérifier le prix sur le Vidal) la boite de 30 comprimés, et sachant qu'on peut le prescrire à raison de 4 jours par semaine, ça revient à 360 euros par mois, c'est le 1/3 de ce que tu annonçait !

Plus de 1000 euros par moi
s et plusieurs comprimés par jour, c'était il y a au moins 5 ans.

Pour la lourdeur des thérapies, je peux te dire que ça représente moins d'1 gramme par jour alors ça ne parait pas très lourd.

Bien sûr, ce n'est qu'un exemple, ce traitement n'est pas adapté pour tout le monde et il y a des cas plus graves que d'autres, mais il ne faut pas non plus trop noircir le tableau si on veut donner une information honnête.
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Ok, je te crois sans souci sur les prix. Quant à la lourdeur du traitement, je pense comme toi qu'elle n'existe pas. Je souligne seulement que faire peser sur la communauté une charge de 300 à 400 € par mois (x 100 000, 150 000 personnes ?) à cause d'une infection évitable, c'est dommage. Cet argent public pourrait servir à bien d'autres choses.

a écrit : Ok, je te crois sans souci sur les prix. Quant à la lourdeur du traitement, je pense comme toi qu'elle n'existe pas. Je souligne seulement que faire peser sur la communauté une charge de 300 à 400 € par mois (x 100 000, 150 000 personnes ?) à cause d'une infection évitable, c'est dommage. Cet argent public pourrait servir à bien d'autres choses. Afficher tout C'est une affirmation bien dangereuse que tu fais là. Premièrement, car c'est une infection évitable si tu as toutes les cartes en main. Si ton conjoint te trompe et attrape le sida et te le refile alors que vous ne vous protégez plus depuis des années car vous aviez fait le test, je trouve que c'est difficilement évitable. Si tu mets ta poubelle sur la route pour que les éboueurs l'enlèvent, que tu te piques avec une seringue jetés là par un autre et que tu attrapes le sida, c'est difficilement évitable. Si tu nais avec le sida... c'est difficilement évitable.

Puis sur cette pente glissante, on peut aller très loin. Ne pas soigner les cancers des poumons des fumeurs, ne pas soigner les hépatites des buveurs, ne pas soigner le diabète T2 des obèses, ne pas soigner les maladies cardiaques des personnes sédentaires, ne pas soigner les maladies des personnes non vaccinées, ne pas soigner les accidentés de la route qui roulaient trop vite, ne pas soigner les accidentés du travail qui n'avaient pas leur E.P.I., ne pas soigner les malades du COVID qui ne portaient pas leur masques....

On aurait surement plus d'argent public et cela nous servirait à construire de jolis cimetières à la sortie des villes.

Commentaire supprimé Ben justement on s'en occupe du VIH : on fait de la prévention pour éviter que les gens soient contaminés, on soigne ceux qui sont contaminés, on fait de la recherche pour faire baisser le prix des traitements et améliorer la prise en charge des patients... Qu'est ce que tu cherches à démontrer ? Parce que si tu veux montrer que soigner les gens qui auraient pu éviter d'avoir besoin de soins, ça coute cher, tu peux prendre la liste de Tybs ci-dessus (soigner les cancers des fumeurs, le diabète de ceux qui ont trop mangé, etc.) et tu verras que tu es loin de t'intéresser à ce qui coûte le plus cher à la Sécu. Et tant que tu y es, tu peux aussi classer les gens selon qu'ils auraient pu éviter ou non d'être contaminés par le VIH : ceux qui l'ont vraiment fait exprès avec des partenaires multiples sans protection, ceux qui ont été trompés par un partenaire indélicat mais qui auraient dû se méfier, ceux qui ont été contaminés par leur partenaire et qui ne pouvaient pas s'en douter, et ceux qui ont été victimes d'une transfusion ou d'un accident contaminant sans avoir eu de rapport sexuel. Et il y a peut-être aussi des sous-catégories auxquelles je n'ai pas pensé. Et pareil pour les fumeurs qui ont un cancer : ceux qui ont été incités à fumer par leur entourage et n'ont pas réussi à arrêter ensuite malgré de nombreuses tentatives ne seraient pas dans la même catégorie que ceux qui ont commencé à fumer de leur propre initiative et n'ont fait aucun effort pour arrêter de fumer. Et pareil pour le COVID-19, qui est quand même ce qui coûte le plus cher en ce moment : il faudrait calculer combien coûtent les soins de ceux qui qui n'ont pas systématiquement porté un masque depuis que c'est devenu obligatoire ou qui ont enfreint les règles du confinement. Quand tu auras bien classé tout ce petit monde dans les bonnes catégories, tu pourras juger si ma comparaison est ridicule ou si j'ai un système de pensée qui consiste à dire y'a pire ailleurs. Bon courage !

a écrit : Ben justement on s'en occupe du VIH : on fait de la prévention pour éviter que les gens soient contaminés, on soigne ceux qui sont contaminés, on fait de la recherche pour faire baisser le prix des traitements et améliorer la prise en charge des patients... Qu'est ce que tu cherches à démontrer ? Parce que si tu veux montrer que soigner les gens qui auraient pu éviter d'avoir besoin de soins, ça coute cher, tu peux prendre la liste de Tybs ci-dessus (soigner les cancers des fumeurs, le diabète de ceux qui ont trop mangé, etc.) et tu verras que tu es loin de t'intéresser à ce qui coûte le plus cher à la Sécu. Et tant que tu y es, tu peux aussi classer les gens selon qu'ils auraient pu éviter ou non d'être contaminés par le VIH : ceux qui l'ont vraiment fait exprès avec des partenaires multiples sans protection, ceux qui ont été trompés par un partenaire indélicat mais qui auraient dû se méfier, ceux qui ont été contaminés par leur partenaire et qui ne pouvaient pas s'en douter, et ceux qui ont été victimes d'une transfusion ou d'un accident contaminant sans avoir eu de rapport sexuel. Et il y a peut-être aussi des sous-catégories auxquelles je n'ai pas pensé. Et pareil pour les fumeurs qui ont un cancer : ceux qui ont été incités à fumer par leur entourage et n'ont pas réussi à arrêter ensuite malgré de nombreuses tentatives ne seraient pas dans la même catégorie que ceux qui ont commencé à fumer de leur propre initiative et n'ont fait aucun effort pour arrêter de fumer. Et pareil pour le COVID-19, qui est quand même ce qui coûte le plus cher en ce moment : il faudrait calculer combien coûtent les soins de ceux qui qui n'ont pas systématiquement porté un masque depuis que c'est devenu obligatoire ou qui ont enfreint les règles du confinement. Quand tu auras bien classé tout ce petit monde dans les bonnes catégories, tu pourras juger si ma comparaison est ridicule ou si j'ai un système de pensée qui consiste à dire y'a pire ailleurs. Bon courage ! Afficher tout Ce que je cherche à démontrer est simple.
Ton propos laisse penser, malgré toit peut-être, que ce n'est pas bien grave de contracter le VIH, parce qu'il existe des médicaments efficaces qui permettent de vivre normalement, et de ne plus être contagieux, et que ce traitement n'est pas lourd.
Or dans la mesure où il est POSSIBLE d'éviter d'être contaminé (et pas absolument certain) de l'éviter, autant faire ce qu'il est POSSIBLE de faire pour éviter de contracter le VIH. Car cela représente une charge pour la société. Et c'est valable pour tout ce qu'il est possible d'éviter: tabagisme, alcoolisme, COVID...
Les exemples que tu cites (contamination accidentelle, contamination par son partenaire...) sont bons et viennent en fait soutenir ce que je dis. Car les responsables de ces contaminations sont punis par la loi s'il est démontré qu'il y a eu une négligence coupable de la part de ceux qui ont contaminé.
D'ailleurs, quand on perd un emploi de façon volontaire (démission non légitime), on n'est pas indemnisé, on n'est pas soutenu par la collectivité et il n'y a rien de choquant ou d'injuste là-dedans.

a écrit : Ce que je cherche à démontrer est simple.
Ton propos laisse penser, malgré toit peut-être, que ce n'est pas bien grave de contracter le VIH, parce qu'il existe des médicaments efficaces qui permettent de vivre normalement, et de ne plus être contagieux, et que ce traitement n'est pas lourd.
Or dans la mesure où il est POSSIBLE d'éviter d'être contaminé (et pas absolument certain) de l'éviter, autant faire ce qu'il est POSSIBLE de faire pour éviter de contracter le VIH. Car cela représente une charge pour la société. Et c'est valable pour tout ce qu'il est possible d'éviter: tabagisme, alcoolisme, COVID...
Les exemples que tu cites (contamination accidentelle, contamination par son partenaire...) sont bons et viennent en fait soutenir ce que je dis. Car les responsables de ces contaminations sont punis par la loi s'il est démontré qu'il y a eu une négligence coupable de la part de ceux qui ont contaminé.
D'ailleurs, quand on perd un emploi de façon volontaire (démission non légitime), on n'est pas indemnisé, on n'est pas soutenu par la collectivité et il n'y a rien de choquant ou d'injuste là-dedans.
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Si tu crois avoir compris dans mes commentaires que ce n'est pas bien grave, je te conseille de relire mes commentaires. Evidemment il vaut mieux éviter d'être contaminé par ce virus et en se protégeant des contaminations par voie sexuelle, on se protège par la même occasion d'autres inconvénients (hépatites, grossesses non désirées, etc.). Mais il ne faut pas non plus agiter l'épouvantail d'une infection dont le traitement serait lourd car à force de crier au loup quand il n'y a pas de raison, ça ne marche plus. Alors quand on ne cherche pas à infantiliser les gens, on n'essaie pas de leur faire croire que le traitement du VIH est un traitement lourd en pensant que c'est la meilleure manière de les inciter à se protéger. Et ton discours est même contre-productif car en stigmatisant les porteurs du VIH comme tu le fais, il y a des gens qui vont préférer ne pas savoir et vont éviter de se faire tester, alors qu'on devrait savoir, si on est bien informé, que la meilleure prévention c'est de détecter et traiter tous les porteurs du virus pour que l'épidémie s'arrête naturellement car les personnes sous traitement ne sont plus contagieuses. Et donc il faut plutôt inciter les gens à se faire dépister, en plus, bien sûr de les inciter à se protéger des contaminations. Essayer de faire peur en disant que le traitement est lourd ou stigmatiser les porteurs en disant que leur traitement coûte cher va avoir l'effet exactement inverse : les gens vont éviter de se faire tester.

a écrit : Si tu crois avoir compris dans mes commentaires que ce n'est pas bien grave, je te conseille de relire mes commentaires. Evidemment il vaut mieux éviter d'être contaminé par ce virus et en se protégeant des contaminations par voie sexuelle, on se protège par la même occasion d'autres inconvénients (hépatites, grossesses non désirées, etc.). Mais il ne faut pas non plus agiter l'épouvantail d'une infection dont le traitement serait lourd car à force de crier au loup quand il n'y a pas de raison, ça ne marche plus. Alors quand on ne cherche pas à infantiliser les gens, on n'essaie pas de leur faire croire que le traitement du VIH est un traitement lourd en pensant que c'est la meilleure manière de les inciter à se protéger. Et ton discours est même contre-productif car en stigmatisant les porteurs du VIH comme tu le fais, il y a des gens qui vont préférer ne pas savoir et vont éviter de se faire tester, alors qu'on devrait savoir, si on est bien informé, que la meilleure prévention c'est de détecter et traiter tous les porteurs du virus pour que l'épidémie s'arrête naturellement car les personnes sous traitement ne sont plus contagieuses. Et donc il faut plutôt inciter les gens à se faire dépister, en plus, bien sûr de les inciter à se protéger des contaminations. Essayer de faire peur en disant que le traitement est lourd ou stigmatiser les porteurs en disant que leur traitement coûte cher va avoir l'effet exactement inverse : les gens vont éviter de se faire tester. Afficher tout Je suis d'accord.