Durant les procès de la Grèce antique, les témoins plaçaient leur mains sur leurs testicules pour garantir la sincérité de leurs propos. En effet "testis" voulant dire témoin et "culus" choses, ils étaient censés garantir la vérité.
Nos applications mobilesFacebookTwitterFeeds16394 anecdotes - 294 lecteurs connectés
Durant les procès de la Grèce antique, les témoins plaçaient leur mains sur leurs testicules pour garantir la sincérité de leurs propos. En effet "testis" voulant dire témoin et "culus" choses, ils étaient censés garantir la vérité.
Commentaires préférés (3)
Du coup pour les femmes ?
Ça a plus de gueule que sur la bible, même si c'est vachement patriarcal comme délire.
Tous les commentaires (36)
Du coup pour les femmes ?
Ça a plus de gueule que sur la bible, même si c'est vachement patriarcal comme délire.
Et la conquête de l'Amérique par les Espagnols a entré dans notre vocabulaire un autre mot «(pseudo)juridique» : «avocat» provient de l'espagnol «aguacate», qui dérive du mot Aztèque ahuacatl qui signifie "testicule", par comparaison à la forme de cet organe
C'est connu, mais tu sais pourquoi les femmes se grattent la tête au réveil?
Ben justement parce qu'elles n'ont pas de couilles.
Une anecdote dont on s'en battra pas les c.....
C'est peut être ce que cherchait à nous dire Mickael Jackson. Plus sérieusement, la racine testis se retrouve de nombreuses fois en francais : tester, tête, testament, têtons,.. (disparition du 's' + accent circonflexe)
"Culus" signifie "choses", alors c'est de là que viens l'expression "aller au fond des choses"...
Du coup dans la Grèce antique ils jurent en disant "sur mes couilles" ??
Ça alors! Ça n'est pas sans rappeler la Bible, plus exactement la genèse 47:29, ou Jacob fait jurer Joseph de l'enterrer au Pays de ses pères, et lui demande de poser sa main sous sa cuisse pendant qu'il jure...
La femme athénienne est une éternelle mineure d’âge, qui ne possède ni droit juridique, ni droit politique. Toute sa vie, elle doit rester sous l’autorité d'un tuteur : d’abord son père, puis son époux, voire son fils (si elle est veuve) ou son plus proche parent. Ce tuteur l'accompagne dans chaque acte juridique, il s'exprime pour elle et défendait "ses" intérêts. Aucun juge ne s'adresse directement à la femme concernée. On la désigne poliment en citant les hommes auxquels elles sont apparentées ou mariées. Une femme nommée directement par son identité propre est généralement considérée comme indigne ou ayant enfreint délibérément les lois. À part ça...
La place des femmes n'était pas la même partout, mais elle n'était généralement pas très enviable, car elles étaient souvent placées sous la tutelle de leur mari et n'étaient pas reconnues comme citoyennes, et donc n'avaient pas de pouvoir politique formel. Cependant dans certains cas, des femmes se sont arrangées pour s'accaparer un grand pouvoir de manière informelle.
L'exemple le plus intéressant est sans doute celui des veuves spartiates. En effet, si elles ne pouvaient participer de manière officielle à la vie politique de la cité, une particularité (qui comme tant d'autres faisait que les spartiates étaient considérés comme de grands tarés par le reste des Grecs) était qu'elles pouvaient hériter... Et comme Sparte était une cité de guerriers, figurez-vous que les hommes avaient tendance à mourir plus jeunes que les femmes. Au fil des générations, certaines femmes ont ainsi accumulé des fortunes inimaginables, au point d'être des dizaines de fois plus riches que les rois de Sparte. Et lorsque ceux-ci avaient besoin d'argent pour leurs campagnes militaires ou politiques, ils étaient bien obligés de se tourner vers ces riches héritières... Qui pouvaient alors en profiter pour faire avancer leurs propres agendas politiques. C'est donc paradoxalement dans cette cité tournée à 100% vers la guerre que les femmes étaient souvent les mieux traitées et avaient le plus d'influence.
Je le jure sur mes couilles