La première exécution par la guillotine eut lieu le 25 avril 1792. La foule venue assister à ce « spectacle », habituée aux longues exécutions publiques, fut déçue par la rapidité et l’efficacité de la guillotine récemment inventée, et décida de huer le bourreau.
Tous les commentaires (69)
Et toi, tu arrives en pourfendeur de Dieu sait quoi : "même un con peut comprendre" (attention, on est tous le con de quelqu'un ;)... Tu vas livrer où là ?
Et tout ça pour finir par dire comme moi que sa conclusion n'était pas bonne. En m'apostrophant plus loin sur NoMatters. Elle est forte celle-là, non ? :)
Bon, tu m'as semé le doute pour NoMatters, je vais quand même en parler à ma mère :)
C'est ce qu'il voulait dire. Une fois que la ligne rouge est franchie, c'est trop tard pour faire marche arrière.
C'est un peu comme le trafic de drogue, un mec qui se fait chopper avec 1 kg de cocaine où 500, législativement c'est pareil, la peine est identique/maximale, donc autant y aller franco. Y'a une certaine logique.
C'est comme si dans 200 ans on disait que tous les francais étaient dans la rue le 17 novembre 2018...
Les exécutions en public étaient un spectacle avant, que ce soit dissuasif probablement parce que:
-Regarde, mon fils, ce qui t'arrivera si tu est vilain
Evidemment que c'était dissuasif, mais apparemment cela n'a jamais empêché certains de prendre le risque autant que, (exemple actuel) malgré les peines très lourdes aujourd'hui, y'a encore une poignée de tarés sur les routes qui s'obstinent à rouler à 150 sur la nationale et/où avec 2grammes dans le sang et qui pleurent à chaude larmes quand on leur annule leur permis (j'ai un pote, ca fait deux fois qu'il se le fait annuler mais il continue à boire comme un trou au volant, il en a rien a f... un jour ca va mal se terminer)
De mon point de vue tu répondais toi-même à ta propre question.
--------------------------------------------------
Maintenant: ce qu'en disent les chiffres:
Avant la création de la police scientifique et les brigades d'investigations, on arrivait à chopper environ 1 meurtrier sur 5, aujourd'hui c'est 4 sur 5 (y'a encore du boulot). Statistiquement, le nombre de crimes majeurs a baissé, les "pros" de la criminalité cherchent plus aujourd'hui à faire dans le feutré, cherchant au maximum à éviter les crimes de sang, et SURTOUT de tirer sur la police car dans ce dernier cas, y'a environ 99% de chances qu'ils se fassent chopper.
Par contre, la nouvelle génération de criminels, on a l'impression qu'ils cherchent plus à gagner le championnat du monde de la connerie qu'à se remplir les poches de fric... les crimes mineurs (braquage de l'épicerie du coin pour 150 balles, car-jacking avec violence, cambriolages avec violence, violence totalement gratuite...)
BREF, le fait est que les crimes majeurs aient baissé, oui, mais je mettrai plutôt ça sur l'éducation et l'augmentation du niveau de vie ajouté au risque très accru de se faire chopper.
Pour l'anecdote, je peux les comprendre, si je vais voir un film au cinoche, que le gentil tue le méchant au début du film d'une balle dans la tête et qu'après y'a 1h30 de générique de fin, je risque d'être un peu déçu... ^^
désolé pour le roman^^
Je ne crois pas vraiment que c’est le fait de condamner à mort par guillotine qui était dissuassif. Entre se faire couper la tête en quelques dixième de secondes, survivre la tête coupée peut être 15 secondes ou pourrir dans une geôle pendant 15 ans avant de mourir du typhus ou de la gangrène, le choix est vite fait pour ma part.
Par contre avant la guillotine, avec les milles et unes façons de torturer quelqu’un, j’aurais peut être plus réfléchi.
Je trouve que dans le débat général, on oublie l’aspect religieux. Se faire condamner à mort c’est faire une croix sur le paradis et ça peut être qu’à l’époque c’était dissuassif.
First Time ?
Je viens de voir la vidéo de la dernière exécution... C'est impressionnant.
Les gens regardent comme si c'était normal et s'en vont l'air de rien. Moi j'ai sursauté. Et de voir le corps être éjecté. En arrière est impressionnant. C'est bizarre de prendre le temps d'aller voir une exécution comme si on allait voir un spectacle.