Après la Seconde Guerre mondiale, la France a utilisé la "machine qui accuse" pour retrouver des criminels nazis. Cette machine, fonctionnant via un système de cartes perforées, comparait le criminel à des milliers d'autres provenant des feuilles de détention. La machine triait alors les feuilles jusqu'à sortir une liste de noms potentiels.
Tous les commentaires (23)
Fortune colossale donc pour la société, allemande, qui commercialisait les machines et les petites cartes perforées.
Fin de la guerre : les relations se rétablissent entre USA et Allemagne. La maison-mère de cette société vient récupérer les profits colossaux, c’était IBM.
(Source : l’excellent livre « IBM et l’holocauste »)